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Jumia et AIG capitalisent 300 millions d’euros

Africa Internet Group, société mère de Jumia, le premier site de e-commerce en Afrique, sécurise plus de 300 millions d’euros auprès de MTN, Rocket Internet, AXA et Goldman Sachs

Africa Internet Group (« AIG »), société mère de Jumia le premier site de e-commerce en Afrique, a annoncé aujourd’hui avoir sécurisé plus de 300 millions d’euros. Cette levée de fonds inclut le précédent investissement d’AXA, un leader mondial de l’assurance et de la gestion d’actifs.

Ce tour de financement est mené par deux investisseurs existants, MTN et Rocket Internet, ainsi qu’un nouvel investisseur, Goldman Sachs. Le capital supplémentaire viendra renforcer le bilan d’AIG pour permettre au groupe de tirer profit de la croissance considérable de Jumia et de capitaliser sur les opportunités de développement en Afrique.

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« Cet investissement est une reconnaissance du succès de Jumia et nous apporte une flexibilité stratégique essentielle pour soutenir nos efforts et pour offrir la meilleure expérience de shopping en ligne à nos clients », ont déclaré Sacha Poignonnec et Jérémy Hodara, fondateurs et co-PDGs de Jumia et AIG. « Nous sommes très heureux de compter AXA et Goldman Sachs parmi nos investisseurs et sommes ravis du maintien de la confiance des investisseurs existants. Il s’agit pour nous d’une preuve de la qualité de nos services en Afrique et d’une affirmation du potentiel de croissance de Jumia ».

Jumia et l’ensemble des sites de e-commerce d’Africa Internet Group utiliseront ces fonds pour soutenir leur croissance et pour saisir les opportunités de développement grandissantes en Afrique.

« C’est un signe fort pour tous nos clients et tous nos vendeurs : Jumia, leader du e-commerce, est engagé sur le long terme à transformer le shopping et la vente en Côte d’Ivoire et dans toute l’Afrique. Nos actionnaires réputés nous donnent les moyens pour le faire et nous serons à la hauteur de cette ambition ! » a déclaré Francis Dufay, le Directeur Général de Jumia en Côte d’Ivoire.

Jumia, principale filiale d’AIG actuellement présente dans 11 marchés Africains, offre la possibilité aux entreprises locales africaines de développer leurs ventes de produits et services à la classe moyenne  Africaine émergente. Les autres services comprennent Kaymu, une communauté de shopping en ligne, ainsi que les marketplaces leader dans le domaine de la livraison de nourriture (Hellofood), du voyage (Jovago) et des petites annonces immobilières (Lamudi), d’emploi (Everjobs) et de véhicules (Carmudi).

Sommet énergie et infrastructure au Mozambique

Tandis que les acteurs régionaux se réunissent, le Mozambique est au cœur du développement de l’Afrique australe

Le Sommet concernant l’énergie et les infrastructures d’Afrique australe (SAEIS) d’EnergyNet se tiendra à Maputo au Mozambique du 4 au 6 mai 2016

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Gigawatt Mozambique a annoncé cette semaine un investissement de 200 millions de dollars dans le secteur énergétique au Mozambique, aux côtés de plusieurs acteurs mondiaux, dont entre autres Standard Bank et la Banque mondiale.

Cet investissement aidera à exploiter les ressources naturelles en gaz du pays, qui bénéficieront ensuite à de nombreux pays voisins du Mozambique dans la région de l’Afrique australe.

Parallèlement à plusieurs autres projets dans la région de la SADC (Communauté de développement d’Afrique australe), cet investissement sera présenté et examiné lors du prochain Sommet concernant l’énergie et les infrastructures d’Afrique australe (SAEIS) d’EnergyNet (Southern-Africa-Summit.com), qui se tiendra à Maputo au Mozambique du 4 au 6 mai 2016. Le Sommet célébrera la coopération régionale, et mettra en avant des projets énergétiques et d’infrastructure qui nécessitent un soutien des secteurs public et privé.

Le Sommet examinera quelques unes des réussites de l’Afrique australe et la manière dont celles-ci peuvent être reproduites

Veronica Bolton-Smith, Directrice régionale d’EnergyNet pour l’Afrique de l’Est et l’Afrique australe a déclaré : « le développement régional est la clé pour libérer le potentiel d’investissement énergétique de l’Afrique. Le SAEIS réunira les pays de la région de la SADC en vue d’examiner en direct des projets énergétiques et d’infrastructure qui nécessitent des investissements. »

Cette région dynamique a connu de nombreuses évolutions positives au cours des dernières années, tant au niveau du développement énergétique que de celui des infrastructures. Les progrès réalisés dans la gouvernance, le renforcement des institutions et la consolidation de la démocratie sont des facteurs qui contribuent aux indicateurs positifs recherchés par les investisseurs à long terme.

Le Sommet examinera quelques unes des réussites de l’Afrique australe et la manière dont celles-ci peuvent être reproduites. L’Afrique australe a connu des initiatives menées par le secteur privé local ainsi qu’une plus grande participation à des projets passionnants tels que le programme novateur REIPPPP de l’Afrique du Sud, une initiative qui sera explorée lors du SAEIS.

Lors du Sommet, des intervenants clés participant au projet de ligne ferroviaire Moatize/Nacala, qui reliera le Malawi et le Mozambique, prendront la parole. C’est un projet d’infrastructure visant à redéfinir l’Afrique australe et son potentiel d’investissement.

Le potentiel africain dans les jeux de hasard

Le potentiel du secteur des jeux de hasard africain sera étudié et mis à l’honneur au sommet WrB Africa (Africa.WrBriefing.com), organisé le 11 et 12 avril au Sheraton Lagos Hotel au Nigeria.

Dans le cadre des WrB series organisées par Clarion Events, WrB Africa est le premier sommet visant à explorer les opportunités et à encourager la création d’un cadre règlementaire, dans l’optique de créer une industrie des jeux de hasard prospère et durable en Afrique subsaharienne.

« Nous avons lancé WrB Africa pour ceux qui souhaitent exploiter l’énorme potentiel de cette région, mais qui se méfient des complexités de l’environnement règlementaire. Peut-être ont-ils déjà des activités dans une région africaine en rapide croissance et veulent-ils passer à l’étape suivante, » déclare Curtis Roach, producteur principal de conférences pour l’évènement.

Nous avons lancé WrB Africa pour ceux qui souhaitent exploiter l’énorme potentiel de cette région

Les délégués auront un programme très chargé. En outre, ils pourront faire du réseautage et des affaires avec plus de 30 sociétés majeures sur le marché, et ils auront l’opportunité d’apprendre directement auprès des principales entreprises basées en Afrique de l’Est, de l’Ouest et centrale, et des principaux organismes règlementaires du continent.

Lanre Gbajabiamila, président directeur du Lagos State Lottery Board (LSLB), sera parmi les intervenants et dirigera une session inaugurale.

Les intervenants incluent John Kamara, directeur de Global Gaming Africa, Tarimba Abbas, directeur général du Tanzania Gaming Board, Edward Lalumbe, directeur de l’exploitation du Gauteng Gambling Board et Matthias Jacek Wojdyla, directeur des affaires internationales de la FIFA.

Gbajabiamila est optimiste quant à la croissance continue des jeux de hasard à Lagos et au Nigeria tout entier, grâce notamment aux développements technologiques et à la passion du public pour le sport.

« L’industrie des jeux de hasard nigériane évolue et est en pleine croissance. De plus en plus d’états et d’individus prennent conscience des opportunités qui existent dans cette industrie en matière de divertissement, de profits et d’emploi. Nous sommes très heureux de nous associer avec WrB Africa, il s’agit d’un évènement formidable très attendu par le marché, et je suis impatient de voir les opportunités qui en découleront pour l’industrie des jeux de hasard subsaharienne. »

Rory Credland, directeur de l’évènement, a ajouté : « ça sera fantastique de rassembler autant de personnes venues du monde entier pour discuter de jeux de hasard responsables et de la manière dont nous pouvons créer un futur durable pour l’un des marchés de l’industrie du jeu de hasard ayant le plus de potentiel. »

Le WrB Africa se déroulera au Sheraton Lagos Hotel à Lagos (Nigeria) du 11 au 12 avril. Plus d’informations, dont le programme, la liste des intervenants et les informations pour les réservations sont disponibles sur africa.wrbriefing.com

Le Prix Anzisha passe à 100 000 €

Le Prix Anzisha pour les plus jeunes entrepreneurs d’Afrique a augmenté le montant de sa récompense pour atteindre les 100 000 $ et y a également ajouté une bourse de 7 500 $

Les candidatures et nominations 2016 sont à présent ouvertes

Après cinq années de succès, le prix Anzisha investit davantage pour trouver, célébrer et étendre son prix aux jeunes entrepreneurs d’Afrique. Et tandis que nous lançons notre ambitieuse recherche des 12 meilleurs entrepreneurs de cette année, renseignez-vous sur l’Anzisha Prize Tour 2016 à travers les villes du continent !

La phase de candidature du 6e Prix Anzisha (AnzishaPrize.org) est à présent ouverte et avec elle la chasse aux entrepreneurs africains de moins de 22 ans parmi les plus jeunes et les plus innovateurs socialement et commercialement. Les organisateurs appellent à davantage de nominations de la part du public cette année pour s’assurer de découvrir les meilleurs talents du continent.

L’African Leadership Academy (ALA) et la Fondation MasterCard, co-organisatrices du Prix Anzisha, sont également heureuses d’annoncer une augmentation significative de l’aide offerte aux entrepreneurs sélectionnés au cours des cinq prochaines années. Chacun des 12 finalistes recevra dorénavant une bourse de 7 500 $ ainsi que le soutien de la Youth Entrepreneur Support Unit (YES-U) au sein de l’ALA, comprenant une formation intensive lors de l’Anzisha Week, du mentorat et des services de consultation, des possibilités de voyage pour étendre son réseau et de l’équipement professionnel.

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En outre, une nouvelle catégorie de prix s’élevant à 25 000 $ a été créée pour saluer les boursiers d’Anzisha ayant créé davantage de valeur sociale et économique par le biais de leurs entreprises en mettant efficacement à profit les possibilités offertes par leur association avec ALA.

Cela porte le montant total de la cagnotte à 100 000 $ par an, le gagnant du Grand prix remportant 25 000 $, le premier finaliste remportant 15 000 $ et le second finaliste, 12 500 $. Les neuf autres finalistes recevront chacun 2 500 $.

Le prix peut être attribué à tout ressortissant africain de moins de 22 ans ayant un projet actif, à caractère social ou une entreprise à but non lucratif basés sur le continent

Koffi Assouan, gestionnaire de programme pour le Prix Anzisha à la MasterCard Foundation, a déclaré : « Si nous souhaitons obtenir les avancées économiques tant espérées pour l’avenir, il est essentiel que nous encouragions les jeunes talents entrepreneuriaux africains ». « Grâce à la mise à disposition de compétences en leadership et à l’accès aux possibilités de financement et de réseautage d’affaires, ces jeunes entrepreneurs se verront offrir l’opportunité d’atteindre leur plein potentiel et d’améliorer leur vie et celle d’autrui ».

Le prix peut être attribué à tout ressortissant africain de moins de 22 ans ayant un projet actif, à caractère social ou une entreprise à but non lucratif basés sur le continent. Les critères de jugement pour le prix ont été affinés pour 2016 afin de mieux représenter le talent entrepreneurial que recherche et souhaite soutenir le Prix Anzisha. Ces critères peuvent être trouvés dans tous les documents relatifs à la candidature pour le Prix.

La phase de candidature se clôturera le 15 avril 2016. L’équipe du Prix Anzisha souhaite encourager les nominations de la part d’enseignants, de parents et de membres de la communauté afin d’identifier les jeunes talents. Le Prix Anzisha représente l’une des opportunités panafricaines les plus accessibles et inclusives pour les jeunes. Les formulaires et informations de candidature sont disponibles en anglais, en français, en portugais et en arabe. L’équipe du Prix Anzisha se rendra sur les principaux sites à travers le continent et sollicitera les médias locaux dans toutes les régions. Les candidatures papier et électroniques sont toutes deux acceptées.

Grace Kalisha, gestionnaire du Programme Anzisha au sein de l’African Leadership Academy, a déclaré : « Le véritable impact de notre travail n’est possible que si nous parvenons à dénicher le meilleur potentiel entrepreneurial là où il se trouve. Si l’un d’entre vous a vu ou entendu parler de jeunes entrepreneurs à l’origine de projets ou d’entreprises extraordinaires, faites-le-nous savoir ! ».

Rencontrez les gagnants du Grand prix 2015 Chris Kwekowe (apo.af/lH62DD), (Nigeria), Fabrice Alomo (apo.af/qqGtfx) (Cameroun) et Mabel Sugo (apo.af/wlBgUv) (Ghana) et prenez part à notre histoire à l’adresse suivante : AnzishaPrize.org. Vous pouvez également rejoindre notre communauté toujours grandissante sur Facebook (fb.com/anzishaprize).

Forum de l’Énergie en Afrique à Londres

L’Africa Energy Forum (Forum de l’Énergie en Afrique) accueille Global Investors à Londres lors de sa 18e édition

L’Africa Energy forum est la conférence mondiale de l’investissement pour les secteurs de l’alimentation électrique, de l’énergie, des infrastructures et industriel en Afrique

La 18e édition annuelle de l’Africa Energy Forum (AEF) se tiendra du 21 au 24 juin à Londres au tout nouvel hôtel InterContinental London O2 surplombant la Tamise.

Quoi : la 18e édition annuelle de l’Africa Energy Forum (AEF)

Où : Londres InterContinental O2

Quand : du 21 au 24 juin 2016

La conférence et l’exposition verront le retour d’une application mobile de réseautage pour aider les représentants à développer leur réseau

L’Africa Energy forum est la conférence mondiale de l’investissement pour les secteurs de l’alimentation électrique, de l’énergie, des infrastructures et industriel en Afrique. Cet évènement devrait accueillir 1 000 investisseurs, 500 intervenants du secteur public, 300 fournisseurs de technologie, 270 développeurs et 70 pays au mois de juin 2016.

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Cette année, le forum est organisé à Londres pour la première fois, au nouvel hôtel InterContinental London O2 donnant sur les gratte-ciel de Canary Wharf et sur la majestueuse Tamise.La décision d’organiser le forum au Royaume-Uni cette année a été prise dans le but d’exploiter le potentiel d’investissement du Royaume-Uni et de promouvoir les relations commerciales solides entre le Royaume-Uni et l’Afrique.

Shiddika Mohamed, Directeur du groupe, a déclaré : « Nous sommes très heureux d’organiser l’AEF à Londres. Cette année, le forum a pour thème « Fusions et acquisitions », alors être à Londres, la capitale mondiale de la finance, permettra au nombre grandissant de producteurs d’électricité en Afrique de présenter leurs entreprises aux décideurs des organismes internationaux d’investissement les plus prolifiques au monde.

Le 21 juin, l’organisateur EnergyNet organisera une soirée d’ouverture typiquement anglaise avec un quiz mettant à l’honneur les mythiques culture et nourriture britanniques, ce qui permettra aux participants de faire du réseautage dans un environnement amusant et décontracté avant l’ouverture officielle du forum, le 22.

La nouveauté de cette année sera le Growing Economies Energy Forum (GEEF, Forum des puissances économiques croissantes sur l’énergie), qui se tiendra en même temps que l’Africa Energy Forum. Lors du GEEF, une journée de discussions ouvertes entre les gouvernements et le secteur privé de nouveaux marchés de l’énergie tels que l’Iran, le Pakistan, la Birmanie et le Pérou aura lieu, car ces économies croissantes offrent la possibilité d’un investissement international suite à leur développement politique et économique.

L’initiative « Student Engagement Initiative » d’EnergyNet (Initiative d’engagement des étudiants) permettra encore une fois à 50 talentueux étudiants africains d’établir des relations avec les leaders de l’industrie dans le secteur de l’énergie lors du forum.

La conférence et l’exposition verront le retour d’une application mobile de réseautage pour aider les représentants à développer leur réseau. 70 % des participants ont utilisé l’application en juin 2015, avec 1 900 messages échangés et près de 200 rencontres organisées.

Remises sur les ordinateurs, tablettes et smartphones sur Jumia

Jumia a lancé ce matin, une nouvelle série d’offres sur l’électronique baptisée « électrochoc »

Jusqu’au dimanche 6 Mars, le supermarché en ligne fera bénéficier à ses clients partout en Côte d’Ivoire, de « prix chocs » sur des smartphones, des tablettes, des ordinateurs. En prime, Jumia offre en partenariat avec MTN,  10% de réduction supplémentaires sur tous les règlements effectués via MTN mobile money

Acheter un smartphone dernière génération à moins de 20 000 Fcfa ? Ou un ordinateur portable HP à 99000 Fcfa ? Tout est possible avec la spectaculaire semaine « électrochoc » que Jumia s’apprête à faire vivre à ses clients du lundi 29 Février au dimanche 6 Mars, sur son site internet et l’application mobile. Le leader du commerce en ligne proposera les produits officiels et garantis des meilleures marques hight-tech (Apple, Huawei, HP, Alcatel, Lenovo, etc.) à des prix promotionnels : des réductions pouvant atteindre -75% et 10% de remise supplémentaire sur toutes les commandes réglées par MTN mobile money. D’ailleurs, le jeu « électrochoc » lancé la semaine dernière sur sa page facebook,  a déjà permis à plusieurs fans de repartir gracieusement avec des ipads, des iphones, des smartphones Alcatel, Huawei et Samsung.

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« L’électrochoc est un concept que nous avons créé l’an dernier en travaillant avec les meilleures marques high-tech internationales et MTN. Notre objectif est véritablement de créer un événement annuel exceptionnel, qui garantit à nos clients un accès privilégié et moins cher aux TICs. Cette année, nous avons noué des partenariats avec les marques Alcatel, Apple, HP, Infinix, Lenovo et Huawei» a commenté Francis Dufay, Directeur Général de Jumia Côte d’Ivoire

En plus des promotions en ligne continuellement toute la semaine, les visiteurs de Jumia auront droit à cinq ventes flash exceptionnelles. Du lundi au vendredi, à partir de midi très exactement, une dizaine d’appareils en quantités limitées, seront offerts à des prix « extravagants ». Par exemple, le lundi, le smartphone Huawei Y6 passera pendant quelques minutes de 89 000 Fcfa à 13 800 Fcfa ; le vendredi, le J1 Ace de Samsung sera offert à 27 000 Fcfa au lieu de 60 000 Fcfa. Le guide des ventes flash de l’électrochoc peut être consulté à l’adresse https://www.jumia.ci/jumia-electrochoc/.

 

Le sommet Africa 2016 en Egypte

12 chefs d’états Africains, 1 200 participants le sommet est une réussite

Organisé sous le haut patronage de S.E. Abel Fatah Al-Sissi, Président de la République Arabe d’Égypte, Africa 2016 est l’un des plus importants rassemblements de décideurs politiques et de chefs d’entreprises africains de l’année 2016.

Le sommet a accueilli de nombreux chefs d’Etats et ministres, ainsi que de larges délégations de chefs d’entreprises venus de toute l’Afrique.

Retour sur le sommet Africa 2016 en Vidéo

« Le forum Africa 2016 doit faire de l’Egypte la porte d’entrée pour les investissements étrangers sur les marchés africains », a dit à l’AFP Omar Ben Yedder, un des organisateurs. « L’objectif est aussi de discuter des moyens de promouvoir le commerce et les investissements en Afrique, en se concentrant sur la participation du secteur privé ».

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En juin 2015, 26 pays d’Afrique ont signé à Charm el-Cheikh un accord pour la création de la Zone tripartite de libre-échange (Tripartite Free Trade Area – TFTA), qui doit faciliter la circulation des biens et des marchandises sur la moitié orientale du continent.

Orange et Google partenaires en Afrique

Orange Afrique
Orange Afrique

Orange et Google seront partenaires en Afrique

Le leader de l’Internet mondial Google vient de s’allier dans un partenariat avec l’opérateur français Orange pour mieux conquérir le marché Africain

L’Afrique est un potentiel colossal pour les nouvelles technologies. Orange l’a bien compris et Google aussi, c’est ainsi que les deux géants s’allient dans un nouveau partenariat stratégique sur le marché Africain

L’objectif Afrique clairement revendiqué par Orange et Google

Le communiqué d’Orange évoque : « Les clients auront accès à une formule avec des prix parmi les plus compétitifs de la région et un prix d’entrée de 40 dollars pour un smartphone et un forfait de communication avec voix, SMS et données »

Un des axes est bien sur de pousser des contenus populaires dans les domaines de la mode, du sport et de la musique » ainsi que les applications Google Search, Youtube et Google Maps pré-installés.

Un pack à 40 euros avec Smartphone Rise et communication

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Dans ce partenariat le contrat Orange permettrait aux clients d’avoir accès à un « pack » comprenant un mobile Rise 31 Spécial édition qui est un modèle 3G réalisé par Alcatel et Nokia. Le Smartphone serait équipé d’office avec les services de Google.

Ce smartphone est un appareil « quad-core » puissant fonctionnant avec d’excellentes capacités de mémoire (1Go de RAM et 8Go de ROM). Il permettra d’accéder à l’ensemble de la suite Google Apps. Orange Rise 31 Special Edition est équipé d’un appareil photo de 3 mégapixels avec flash LED et une batterie de 1500mAH. Il s’agit du premier smartphone de la gamme Orange à bas prix qui fonctionne sous Android 6.0 Marshmallow.

Un parcours sans fautes pour Orange en Afrique

De l’opérateur France Télécom à Orange, l’histoire du groupe est impressionnante entre réussites et mutations. Mais un marché, avec l’avènement du mobile, permet de nouvelles perspectives au groupe: l’Afrique

Orange en Afrique c’est une présence dans 19 pays, 130 millions de clients et 4 milliards d’euros !

Ce marché émergent un moteur de croissance incroyable pour l’opérateur Français. Le principal levier est l’incroyable succès du mobile. L’Afrique en compte plus de 750 millions…

Le Mobile Banking y est pour beaucoup avec le produit phare d’Orange: Orange Money:

Orange Money permet d’ouvrir un compte bancaire virtuel sur un smartphone ou un téléphone mobile et de transférer simplement de l’argent vers un autre compte mobile.
C’est la dématérialisation du transfert d’argent.
Un miracle pour l’Afrique dont seulement 20% de la population dispose d’un compte un banque.

 

 

Elu président, Touadéra devra reconstruire la Centrafrique

Faustin-Archange Touadéra
Les premiers résultats de l'élection présidentielle en Centrafrique créditent l'ancien Premier ministre Faustin Archange Touadéra d'une courte avance, a annoncé samedi la commission électorale après dépouillement de tous les suffrages exprimés dans la capitale. Avec 30.999 voix, l'ex-chef du gouvernement, aux affaires de 2008 à 2013, devance Anicet-Georges Dologuélé, qui a également été Premier ministre et qui recueille 28.162 suffrages. /Photo d'archives/REUTERS/Luc Gnago

Le nouvel homme fort de la Centrafrique est Faustin-Archange Touadéra

Il aura la difficile tache de reconstruire la Centrafrique victime de déstabilisation depuis 2013

Faustin-archange Touadéra n’est pas un inconnu puisqu’il est l’ancien Premier ministre centrafricain. C’est donc lui le nouveau président de la Centrafrique, pays d’Afrique centrale peuplé de plus de 4,8 millions d’habitants et en proie à un conflit depuis 2013 avec la prise de pouvoir de Michel Djotodia, soudanais et putschiste reparti au Bénin laissant place à Mme Samba Panza ancienne présidente de transition.

Faustin-Archange Touadéra élu président de Centrafrique avec 62,71% des suffrages

Faustin-Archange Touadéra
Le nouveau président Centrafricain Faustin-archange Touadéra

L’état Malgache intensifie la lutte contre le trafic de bois

Assainissement de la filière bois précieux
Coopération internationale intensifiée

Les autorités malgaches ont pris conscience ces dernières années qu’il est essentiel de travailler de concert avec les instances internationales concernées par l’assainissement de la filière bois précieux.

Aussi, pour faire face aux trafics illicites de bois de rose et d’ébène, la CITES, à la demande du Gouvernement Malagasy, a adopté dès mars 2013 (lors de la COP16) l’inscription des genres  » Dalbergia spp. et Diospyros spp «  de Madagascar dans son annexe II.

ministere-environnement-ecologie-mer-foret-madagascarEn outre, lors des rencontres entre le Secrétaire Général de la CITES et le Président de la République de Madagascar en 2014,  il a été discuté les mesures urgentes à  prendre  pour faire cesser  le trafic  de  bois  en provenance  de Madagascar.

Le Président a alors fait appel à une collaboration plus étroite au niveau international afin d’optimiser les chances d’endiguer ce fléau.

Le ministre Ralava BEBOARIMISA a réitéré  cette demande de coopération internationale lors de la 66ème Session du Comité Permanent de la CITES à Genève au mois de janvier 2016. C’est dans cette optique que la CITES a demandé à l’ONUDC d’entrer en contact avec Madagascar en vue de la mise en œuvre de la boîte à outil d’analyse du Consortium International des criminalités liées aux forêts et faunes sauvages.

Une initiative qui a abouti à la venue à Antananarivo, les 15 et 16 Février 2016, d’une délégation de l’ONUDC composée de M. Jorge Rios, Chef du Programme Mondial de l’ONUDC de lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages et aux forêts, et de Mme Asma Sainkoudje, Coordinatrice Régionale Afrique du Centre et de l’Ouest du Programme Mondial de l’ONUDC de lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages et aux forêts.

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La mission a débuté par des rencontres bilatérales avec les Ministres directement concernés par la lutte contre le trafic de bois précieux dont le Ministre de l’Environnement, de l’Ecologie, de la Mer et des Forêts, le Ministre des Finances et Budget, le Ministre de la Gendarmerie, le Ministre de l’Intérieur, le Ministre de la Justice et le Ministre de la Sécurité Publique.

Par ailleurs, une partie de la journée du 16 février a été consacrée à l’atelier de présentation de la boîte à outils d’analyse de l’ICCWC aux représentants de différents ministères, le Secrétariat Exécutif du COMINTER (Comité interministériel) en charge de l’assainissement de la filière bois de rose et d’ébène, les bailleurs de fonds, les structures indépendantes de lutte contre les corruptions, les ONGs environnementaux et la société civile.

Au terme de la mission, la délégation a présenté le calendrier sur la suite de leur travail qui prévoit à très court terme la mise en place d’un Comité technique ad’hoc en charge de responsabiliser les départements concernés et de désigner les responsables de chaque ministère. Une note y afférente est à soumettre en Conseil des ministres.

Le planning, programme aussi à partir de la 2ème semaine du mois de mars 2016, l’arrivée des experts de l’ONUDC pour des enquêtes diagnostics auprès de toutes les parties prenantes. Des enquêtes qui permettront la rédaction d’un rapport d’analyse et de recommandations qui devrait être restitué, au mois de mai prochain au MEEMF, qui se chargera à son tour de la diffusion auprès de toutes les parties prenantes. L’organisation d’un atelier national sur le rapport est aussi prévue le même mois.

La mission de l’ONUDC a permis de souligner la nécessité d’une synergie entre les acteurs œuvrant au sein du COMINTER et les instances internationales engagées dans la lutte contre le trafic de bois précieux dans le monde : EIA (Environnemental Investigation Agency), CITES, ONUDC, ICCWC, et Interpol.

Pour le ministre Ralava BEBOARIMISA, les initiatives récentes ne constituent qu’un premier pas dans la mise en œuvre du plan d’actions établi par le MEEMF dans le cadre de l’application des recommandations émises lors de la réunion du CITES de janvier 2016. Mais elles démontrent également que Madagascar bénéficie d’un appui fort de la part de plusieurs partenaires dans son combat contre ce phénomène ravageur au plan écologique et qui déstabilise également notre équilibre économique.
www.ecologie.gov.mg
Twitter : @ecologie_gov_mg  @beboarimisa
Facebook : facebook.com/ecologie.gov.mg

MTN et Jumia lancent un concours pour les jeunes entrepreneurs

MTN et Jumia lancent le MTN Entrepreneurship Challenge by Jumia en Afrique

MTN, en partenariat avec MTN Solution Space et Jumia, a annoncé ce matin le lancement du MTN Entrepreneurship Challenge by Jumia.

Réunissant plus de 1000 entrepreneurs, étudiants et investisseurs, cette compétition pan-africaine inédite a pour objectif de soutenir et inspirer les jeunes talents du continent. MTNEC by Jumia invite les étudiants de plus de 60 universités de 13 pays d’Afrique à développer une solution digitale simple et intelligente permettant de répondre un problème concret du continent.

“Nous sommes très enthousiastes à l’idée de cette collaboration avec Jumia. L’Afrique est un continent de promesses. Notre objectif avec MTN Solution Space est de développer des solutions adaptées aux problèmes que rencontre l’Afrique. Nous sommes convaincus que le MTNEC by Jumia peut jouer un rôle majeur dans l’accomplissement de cet objectif. L’engagement des universités pour la réussite de ce projet a été remarquable. Cette initiative illustre l’impact positif et l’importance d’un effort collectif pour favoriser l’esprit entrepreneurial au sein de la prochaine génération de chefs d’entreprise”, explique Sarah-Anne Arnold, Directrice de MTN Solution Space.

Le Directeur en Chef du Digital de MTN Group, Herman Singh, ajoute que MTN Group est fier de soutenir et de promouvoir cette initiative

“Le MTN Entrepreneurship Challenge by Jumia reflète notre culture d’entreprise, notre histoire ainsi que nos valeurs. Nous pensons que donner de l’inspiration et accompagner les leaders de demain vers la réussite sont des moteurs clés pour la croissance d’une culture de l’entrepreneuriat sur le continent. L’Afrique a des idées et du potentiel; nous espérons dénicher les talents, les accompagner et accélérer la croissance de leurs idées pour ainsi renforcer le positionnement de MTN comme créateur de nouvelles entreprises en Afrique”, ajoute Singh.

Les candidatures sont ouvertes dès aujourd’hui et se clôturent le 27 mars 2016. Les jeunes talents des universités partenaires peuvent s’inscrire en se connectant sur www.gsb.uct.ac.za/MTNECbyJumia. Chaque candidature sera évaluée par des entrepreneurs locaux ayant réussi à établir avec succès leurs entreprises dans leurs marchés respectifs. Les équipes préselectionnées devront ensuite passer une phase de pitch au sein de leur université du 1er au 8 avril 2016. Cinq finalistes seront ensuite sélectionnés pour la demi-finale.

Les finalistes seront annoncés le 16 avril 2016 et seront invités à assister au Festival de l’Entrepreneuriat à l’Université de Cape Town Graduate School of Business en Afrique du Sud le 27 mai 2016. Ce Festival vise à donner l’opportunité aux jeunes talents d’échanger et de collaborer avec des entrepreneurs et chefs d’entreprises expérimentés au cours de différents ateliers et conférences. Les finalistes devront ensuite pitcher leurs projets au grand jury d’entrepreneurs, de chefs d’entreprise, d’investisseurs et de médias internationaux. Le projet gagnant sera annoncé à la fin du Festival.

Le grand gagnant du MTNEC by Jumia se verra récompenser d’un chèque de 25 000$ pour lancer sa startup et aura l’opportunité de travailler depuis l’un des bureaux de Jumia en Afrique. Le projet récompensé bénéficiera ainsi de l’encadrement et de l’expérience du réseau Jumia. À cela s’ajoute l’accès au Facebook Start Program d’une valeur de 15 000$, la possibilité de travailler depuis les bureaux du MTN Solution Space à l’Université de Cape Town Graduate School of Business. Les deux finalistes recevront chacun 5000$ pour lancer leurs projets.

«Le MTNEC by Jumia appuie la création d’un environnement soutenant l’esprit entrepreneurial et les startups durablement en Afrique. Son objectif principal est de stimuler l’entrepreneuriat sur le continent en permettant aux jeunes talents de lancer leurs propres projets. La clé est d’apporter un soutien complet et adapté aux entrepreneurs de demain, du financement au mentorat sur le long terme”, déclare Bankole Cardoso, Responsable de la communication de Jumia.

Pour plus d’informations sur le MTNEC by Jumia, rendez-vous sur le site internet du MTN Solution Space www.gsb.uct.ac.za, sur Jumia www.jumia.com, sur Facebook, facebook.com/uctgsbsolutions et www.facebook.com/Jumia.Africa, et sur twitter @uctgsbsolutions et @Africa_IG

Retour en Afrique pour Peugeot

« Back in the Race » Peugeot revient en Afrique

Depuis le lancement de sa stratégie de reconquête “Back in the race”, la marque au lion prépare son grand retour en Afrique.

Une usine de production ouvrira ses portes au Maroc en 2019 et d’autres projets sont prévus dans la région.

L’enjeu : vendre 1 million de véhicules dans la région Afrique / Moyen-Orient dans 10 ans.

Pour illustrer cette ambition, Peugeot décide de prendre la parole via une campagne 360° (print, presse et digital) déployée sur ses principaux marchés d’Afrique sub- saharienne (Côte d’Ivoire, Gabon, Sénégal, Cameroun).

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À l’issue d’une compétition face à Havas Afrique et Extrême Les Corsaires, l’agence Les Barbus (spécialiste des marchés africains) est choisie pour la partie création de cette campagne de publicité.

Intitulée “L’Émotion est de retour”, la campagne annonce le retour de la marque en Afrique. L’axe choisit s’appuie sur la valorisation d’une gamme adaptée aux besoins des consommateurs africains, tout en capitalisant sur l’histoire forte de Peugeot sur le continent.

 

Une campagne en 2 phases qui décline la thématique du “retour” pour chaque véhicule de la gamme :

– 301 : Retour aux sources.

– 2008 : Retour en beauté.

– 4008 : Retour en force.

– 508 : Retour en grâce.

L’agence Les Barbus confirme ainsi son assise sur le continent africain.

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TagPay lauréat du prix Kalahari en services financiers mobiles

TagPay de Taggatitude lauréat à Lagos sur les services financiers mobiles

Tagattitude, la FinTech française, a reçu le prix Kalahari pour sa plate-forme bancaire numérique, TagPay lors de la 6e édition du salon Remittance and Mobile Money Expo, à Lagos, au Nigéria.

Le prix reconnaît TagPay comme la meilleure plate-forme technologique. La plate-forme TagPay, qui intègre la technologie de transfert de données NSDT (Near Sound Data Transfer Technology), peut transformer n’importe quel appareil mobile en un outil de paiement, sans modification du matériel ni du logiciel. Qu’il s’agisse d’un téléphone mobile standard ou d’un smartphone, le client final peut enregistrer, envoyer et dépenser son argent librement, du bout des doigts.

Les fournisseurs de services financiers utilisent TagPay afin d’offrir des services directement sur les téléphones mobiles de leurs clients, grâce à une grande variété de canaux, tels qu’un serveur vocal, le web ou encore le son. Avec ce canal spécifique, il n’est pas nécessaire de dépendre du canal USSD contrôlé par les opérateurs de réseaux mobiles pour traiter les transactions mobiles.

Le prix reconnaît l’impact que peut avoir la technologie TagPay sur la création de nouveaux écosystèmes de services financiers en Afrique

La plate-forme bancaire numérique TagPay gère toutes les transactions nécessaires à une banque : transfert d’argent P2P, versements de salaires, règlement de factures et transactions au point de vente. TagPay gère également l’ensemble du réseau des agents bancaires sans agence, rendant possibles le suivi et le contrôle de toutes les opérations en temps réel à partir du siège de la banque.

En recevant son prix à Lagos, Yves Eonnet, PDG de Tagattitude, a affirmé que « c’était un grand honneur. Le prix reconnaît l’impact que peut avoir la technologie TagPay sur la création de nouveaux écosystèmes de services financiers en Afrique. Nous avons créé TagPay, en apportant ce que la technologie a de meilleur à proposer, afin d’aider les institutions financières à atteindre leurs objectifs d’inclusion financière. »

Yves Eonnet a présenté l’étude de cas de la Trust Merchant Bank, en République démocratique du Congo. Son service financier mobile, Pepele Mobile, qui utilise TagPay, aide celle-ci à toucher bien plus de monde et à proposer des services bancaires aux nombreuses populations du pays qui n’en bénéficiaient pas jusqu’à présent.

Un lien vers la vidéo de l’étude de cas sur les services financiers mobiles Pepele Mobile de la Trust Merchant Bank. (vimeo.com/140985968).

Les prix Kalahari ont été décernés lors du 6e salon Remittance and MobileMoneyExpo à Lagos, au Nigéria. Emmanuel Okoegwale, associé principal de Mobile Money Expo, a supervisé les récompenses. « Nous félicitons tous les lauréats d’aujourd’hui et espérons sincèrement que l’honneur conféré par ces prix inspirera une meilleure innovation en 2016 et au-delà », a-t-il déclaré. « MobileMoneyAfrica est fière de célébrer les 6ème prix Kalahari, qui récompensent les leaders innovants du commerce électronique, des transferts de fonds, des paiements et des services financiers mobiles. »

Les prix Kalahari visent à reconnaître la créativité, l’engagement et l’excellence au sein du secteur des paiements et des transferts de fonds numériques partout en Afrique. Les prix sont accordés aux organisations qui ont apporté des contributions importantes au secteur des services financiers mobiles en rendant ces services financiers plus abordables et plus accessibles, créant ainsi des développements marquants en Afrique.

LEMUR TROPHY, Madagascar façon authentique

« Un événement inédit au cœur de l’aventure et de l’humain pour faire découvrir Madagascar autrement », tout est dit !

LOGO-MTTMA l’initiative du Ministère du Tourisme, des Transports et de la Météorologie, le Lemur Trophy aura lieu du 29 octobre au 12 novembre 2016. Les fadas de 4×4, Buggys, motos et quads sont appelés à participer à cette première édition.

A travers cet événement, la Grande île entend faire parler d’elle plus intensément et différemment sur le créneau des grands raids internationaux qui allient sport mécanique, tourisme d’aventure et actions de solidarité.

Cette compétition d’envergure mettra en scène l’authenticité malgache avec un parcours unique qui partira d‘Antananarivo la Ville des Milles, pour rejoindre Tuléar en passant par Morondava et pour finir en apothéose sur l’Isalo, au royaume Bara, considéré comme le plus beau site du sud-ouest du pays.

Pour ‘Festiv’ les organisateurs, habitués à organiser des évènements d’envergure, le Lemur Trophy n’ambitionne pas, du moins pour l’instant, de mettre l’accent sur l’aspect courir pour gagner …

MTTM Photo Raid Madagascar

L’idée première étant de réunir une trentaine à quarantaine de participants motivés à découvrir en deux ou quatre roues une partie de Madagascar, pour apprécier la diversité et la beauté de ses paysages de ce pays considéré comme le champion mondial du « sourire » … En somme, les participants sont les bienvenus pour vivre leur passion avec en bonus des traversées authentiques qui confirment les richesses touristiques qu’offre le pays, sans oublier pour autant la sécurité durant tout le parcours.

Le Lemur Trophy aura également une dimension humanitaire avec la volonté pour les organisateurs que chaque équipage s’inscrive avec un partenaire pour que ce raid soit porteur de bienfaits (dons –vivres, équipements…)  en faveur de la population.

Eco-conduite responsable, aventure exceptionnelle solidaire et partage sont au programme. Chers amoureux de ce type d’événement à la fois vivifiant et humain, vous êtes invités à vous engager pour que Lemur Trophy soit un des meilleurs souvenirs de votre vie et que Madagascar soit l’empreinte mémorable que vous espérez.

Plus d’informations sur les itinéraires et le raid, en écrivant à contact@lemurtrophy.com

Inscriptions sur ce lien

Site web du ministère : www.tourisme.gov.mg

Collecte des déchets électronique avec MTN

Réussite pour la campagne de collecte et de recyclage des déchets électriques et électroniques

La campagne de collecte de déchets électriques et électroniques et de sensibilisation mise en œuvre par Ericsson et MTN Côte d’Ivoire s’est achevée avec plus de 70 tonnes de déchets collectés.

Cette campagne, qui a duré quatre mois, a mis l’accent sur la à sensibilisation, le changement des comportements et la réduction de l’impact environnemental résultant de l’élimination inadéquate des équipements électriques et électroniques désaffectés. Le projet a bénéficié de l’appui du Ministère de l’Environnement et du Développement durable.

MTN-ERICSSON

Bien que la clôture de la campagne, signifie la fermeture du conteneur de 20 pieds situé à l’ex Sorbonne du Plateau d’Abidjan, MTN et Ericsson s’engagent à entretenir et à intensifier la prise de conscience de plus en plus croissante de l’impact environnemental des déchets électroniques résultant de cette campagne. Ainsi, les deux sociétés, le gouvernement et d’autres parties prenantes étudient la possibilité de mettre en place une initiative à long-terme pour la gestion durable des déchets électroniques en Côte d’Ivoire.

Selon Pr N’GUESSAN Alexandre, directeur de cabinet adjoint au Ministère de l’Environnement et du Développement Durable : «L’ambition de la Côte d’Ivoire est d’être l’exemple d’un développement durable qui allie la vision d’émergence économique avec la mise en œuvre de sa stratégie. Le ministre Allah Kouadio Remy tient à vous dire tout le prix que j’attache à votre engagement dans un domaine qui est un pilier fondamental de l’économie circulaire et de la croissance verte, une source majeure d’innovation, de compétitivité et d’emplois non délocalisables. »

D’autres entreprises telles que, Corlay, Les Moulins de Côte d’Ivoire (LMCI),  le PORT AUTONOME DE SAN-PEDRO, PROSUMA, IPS, CORLAY, SIFCA, LES CENTAURES ROUTIERS, QUICKCASH, la SIR, ZETES-CI, FRANZETTI ont également pris une part active en déposant leurs déchets électroniques. Tous les déchets collectés ont été transportés vers le partenaire de recyclage agréé par Ericsson à Durban, en Afrique du Sud.

Les coûts de transport et de traitement liés à cette initiative dépassent la valeur des matières premières récupérées en raison des directives rigoureuses de l’Union Européenne relatives aux Déchets d’Equipements Electriques et Electroniques (DEEE) en matière de gestion des déchets électroniques auxquelles Ericsson se conforme. Le choix de notre partenaire en Afrique sub-saharienne s’est fait sur cette base. Plus de 95% des matériaux collectés sont recyclés.

Selon M. Jocelyn Adjoby, Secrétaire Général de  MTN Côte d’Ivoire : «  Notre objectif était d’inspirer un changement dans la façon dont notre société traite les déchets électriques et électroniques».

Fabrice Konan, Directeur Pays d’Ericsson Côte D’Ivoire : « Nos relations à long terme avec chaque opérateur majeur des télécommunications du monde permettent à des personnes, entreprises et à des sociétés de réaliser leur potentiel et de créer un avenir plus durable. MTN est un partenaire qui partage notre vision d’un avenir durable. Bien que quatre mois suffisent à peine pour changer à jamais les comportements des individus concernant le traitement des déchets électroniques, et encore moins de recueillir tous les déchets électroniques en Côte d’Ivoire, nos efforts concertés ont suscité des débats constructives sur la gestion des déchets électroniques dans le long terme. Nous pouvons en être fiers»

Le programme de gestion écologique est en pleine expansion, à la fois par l’implication de plusieurs pays et par l’augmentation des volumes de déchets récupérés pour nos clients. Les niveaux de collecte et de recyclage des produit d’Ericsson ont fortement augmenté, passant de 9 800 tonnes en 2013 à 15 900 tonnes en 2014.

Dans le cadre de la responsabilité élargie de producteur de l’entreprise, Ericsson récupère à titre gracieux les produits et offre des services d’élimination sûre des équipements usagés à tous les clients dans le monde.

En Janvier 2015, un projet similaire a été mis en œuvre par Ericsson et MTN Bénin et a permis de collecter plus de 20 tonnes de déchets électroniques. Le programme de gestion écologique d’Ericsson a, depuis son lancement officiel en 2005, permis de récupérer les déchets électroniques de plus de 107 pays.

Orisaguna, de vendeuse de rue à top modèle

C’est d’une photo accidentelle que tout à commencé.

Une photo de rue d’une femme qui porte du pain comme des millions de femmes le font en Afrique…

« Superbe. Qui est-t’elle ? », a écrit Bello dans la légende de la photo . « Tout le monde s’est demandé si cette dame est un modèle. C’était juste une coïncidence parfaite. Elle vient de se passer dans la rue alors que je photographiais. C’est arrivé si vite. « 

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« Elle devrait certainement être un modèle », poursuit-elle. «Je suis heureux de l’aider à construire un book si elle est intéressée. Elle est si belle et si bien photographié. Je vais trouver un moyen de la retrouver en quelque sorte. Les gars, vous pouvez aussi aider. « 

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D’autres personnes ont croisé cette femme, et bientôt Orisaguna a été identifié.

 

 

« Quelqu’un de spécial notre #olajumoke en une de la couverture de « ce style de journée ce matin », écrit Bello. « Ceci ne m’a fait pleurer. Elle est vraiment une femme bénie avec une histoire incroyable. Je ne peux presque pas le croire ! »

Orisaguna posé pour quelques-uns des portraits avec sa fille de 14 mois.

Bello a découvert que Orisaguna était coiffeuse et originaire d’une autre ville. Elle a déménagé à Lagos et est devenue vendeuse de pain après ne pas être en mesure de faire assez d’argent. Son mari est resté avec leur fille de 5 ans.

Ces portraits de Orisaguna ont depuis eu un effet viral au Nigeria et dans le monde, et cette semaine, une agence de mannequins nigériane a annoncé qu’ils ont signé Orisaguna à un contrat de top modèle:

Orisaguna est actuellement interviewé et photographié par d’autres magazines majeurs à travers le monde, y compris CNN International.

« Elle a vraiment inspiré tant de gens ici au Nigeria et apparemment dans le monde entier, » indique Bello. « Tout est tellement surréaliste. »

Steve le Centrafricain de Koh Lanta

Steve le Centrafricain de Koh Lanta
Steve le Centrafricain de Koh Lanta

Steve, le centrafricain à suivre dans Koh Lanta

La Centrafrique est enfin représentée dans une émission française de grande audience.

En effet Koh Lanta c’est pas moins de 7 millions de téléspectateurs par épisode soit plus de 38% de l’audience en prime time.

Père de trois enfants, Steve est un aventurier dans l’âme. De ses différents voyages en Afrique dont il est originaire, il a appris de nombreuses techniques, qu’il compte bien partager avec ses compagnons d’aventure.

Steve le Centrafricain de Koh Lanta
Steve le Centrafricain de Koh Lanta

A 33 ans, Steve est entrepreneur textile dans les Hauts-de-Seine. Père de trois enfants, Steve est un aventurier dans l’âme. De ses différents voyages en Afrique dont il est originaire, il a appris de nombreuses techniques, qu’il compte bien partager avec ses compagnons d’aventure.

Mais ce qui marque le plus c’est l’enthousiasme de Steve, sa façon d’être joyeux et optimiste, il n’hésite pas a chanter dans le premier épisode et à faire partager le fruit de l’arbre à pain, un indice qui indique d’ailleurs qu’il connait la foret centrafricaine.

 

Chez Info Afrique nous allons suivre de près le parcours de Steve avec l’espoir qu’un regard nouveau soit porté sur ce pays qui souffre.

Le lancement de la nouvelle saison du programme de télé-réalité a réuni plus de 6 millions de téléspectateurs amateurs d’aventures sous les tropiques, pour une part d’audience de 27,2%. Loin derrière, les Victoires de la musique de Vianney, Yaël Naim ont rassemblé 2,8 millions de mélomanes.

Thierry Barbaut

Le cadastre au Ghana avec la technologie Blockchain

Blockchain : révolution pour le cadastre au Ghana

Une simple adresse, un titre de propriété ?
Pas si évident en Afrique où 90% des zones rurales ne sont pas répertoriées.

Pour résoudre les problèmes liés à l’absence de registres et de cadastres, l’ONG africaine Bitland utilise la technologie blockchain, conçue pour utiliser la monnaie Bitcoin, de transaction et de sécurisation des informations.

Extension de la technologie sur le reste de l’Afrique ?

Cette innovation numérique crée un registre de propriété transparent et infalsifiable. Les particuliers peuvent ainsi bénéficier des services de l’Etat.

De son côté l’Etat quant à lui peut par exemple percevoir des taxes.

Actuellement, la blockchain est un phénomène à la pointe de l’innovation; les créations de start ups se multiplient sur le sujet, les plus vieux articles consacrés à la technologie n’ont pas plus d’un an, et les investisseurs mobilisent d’ores et déjà des sommes gigantesques pour s’assurer de ne pas louper le coche.

La blockchain est pressentie comme une innovation majeure, et de nombreux pronostics avancent même qu’elle va bouleverser nos modes de vie au même titre qu’Internet ou que l’imprimerie.

C’est pour cette raison qu’il est si important de se tenir informé sur le sujet, et ce surtout en France où l’opinion publique est encore peu avertie à ce propos.

Situer la Blockchain

En 2009 s’est créée une monnaie numérique, le Bitcoin.

Cette monnaie reposait sur une technologie qui certifiait que les Bitcoins ne pourraient pas être dupliqués, et qui s’assurait donc que cette monnaie ne serait pas falsifiable: cette technologie s’est appelée la blockchain.

Le concept ? Chaque Bitcoin est « traçable » depuis sa création grâce à des fichiers détenus et mis à jour par chaque utilisateur de la monnaie. Chacun peut dire à quel moment tel Bitcoin a transité par tel compte, ce qui veut dire que créer des faux Bitcoin est impossible sans que cela ne se voit sur la « chaîne » des transactions.

Là où la révolution commence, c’est lorsque des développeurs ont eu l’idée d’utiliser ce système pour autre chose que la monnaie Bitcoin.

Une révolution qui peut toucher tous les aspects de la vie

La blockchain est une technologie de stockage et de transmission d’informations, transparente, sécurisée, et fonctionnant sans organe central de contrôle. Par extension, une blockchain constitue une base de données publique, sécurisée et distribuée (c’est-à-dire partagée par ses différents utilisateurs, sans intermédiaire). Cette blockchain (« chaîne de blocs ») contient l’ensemble des échanges effectués entre ses utilisateurs depuis sa création, échanges dont chacun peut vérifier la validité (c’est-à-dire vérifier depuis son ordinateur si la chaîne est bonne ou si quelqu’un a tenté d’y glisser un « faux »).

Une blockchain peut donc être assimilée à un grand livre comptable public, anonyme et infalsifiable. Comme l’écrit le mathématicien Jean-Paul Delahaye, il faut s’imaginer « un très grand cahier, que tout le monde peut lire librement et gratuitement, sur lequel tout le monde peut écrire, mais qui est impossible à effacer et indestructible. »

Cette technologie peut être utile à bien d’autres domaines que la monnaie : les brevets, les votes pour des élections, les instruments financiers (dérivés, emprunts, micro-crédit…), l’immobilier, les certificats de toutes sortes (par exemple les diplômes), les données de santé, les jeux, les réservations (hôtels, restaurants…), nos clés (de domicile, de voiture…)… Les champs d’exploitation sont immenses.

De façon générale, la blockchain peut potentiellement remplacer tous les « tiers de confiance » centralisés (banques, notaires, cadastre…) par un système informatique décentralisé.

Orange lance Entrepreneur Club

Orange ouvre un nouvel espace d’information en français et en anglais dédié aux créateurs d’entreprises d’Afrique et du Moyen-Orient

Orange lance Entrepreneur Club, un nouvel espace d’information en français et en anglais dédié aux créateurs d’entreprises d’Afrique et du Moyen-Orient.

Le site (Entrepreneurclub.orange.com) renseigne les entrepreneurs et les met en relation avec les différents dispositifs d’Orange qui soutiennent l’entrepreneuriat. Entrepreneur club propose également des informations pratiques et des outils nécessaires à la création d’entreprise.Orange accompagne les start-ups de la zone Afrique et Moyen-Orient.

orange-entrepreneurclub

Les entrepreneurs d’Afrique et du Moyen-Orient contribuent au développement et au rayonnement de leurs pays. Orange collabore avec eux au quotidien en leur fournissant des accès data et voix de qualité. Orange soutient aussi petites et moyennes entreprises de la région dans le cadre de sa politique de responsabilité sociale d’entreprise, par exemple à travers le Prix Orange de l’entrepreneur social en Afrique ou encore en travaillant avec de nombreux incubateurs locaux (CTIC au Sénégal, CIPMEN au Niger, etc.).

Les entrepreneurs d’Afrique et du Moyen-Orient contribuent au développement et au rayonnement de leurs pays

Un guichet unique vers l’accompagnement par Orange

Entrepreneur Club redirige l’entrepreneur vers les dispositifs de l’écosystème adaptés à sa situation. L’entrepreneur trouve ainsi des informations pertinentes sur de nombreux aspects de son métier : environnement légal, fiches pédagogiques, bonnes pratiques, astuces, témoignages vidéo, etc.

Des entrepreneurs ont besoin d’être accompagnés, hébergés et coachés au sein d’incubateurs, d’autres souhaitent améliorer leurs options de paiement avec les API Orange, d’autres encore cherchent des financements. Outre les services B2B locaux d’Orange, l’internaute peut découvrir Imagine avec Orange, Orange Partner, Orange Developer, Orange Fab et Orange Digital Ventures.

Un kit de survie pour créateurs d’entreprises

Le créateur d’entreprise doit répondre à des questions différentes selon la maturité de sa start-up. Sur Entrepreneur Club, des entrepreneurs d’Afrique et du Moyen-Orient expérimentés témoignent sur les problèmes qu’ils rencontrent et les méthodes qu’ils utilisent pour les surmonter. Des juristes et des journalistes spécialisés proposent des fiches techniques et des conseils pratiques, dans un langage accessible à tous.

6éme NAPEC à Alger, les experts du secteur pétrolier se rencontrent

Devenu NAPEC , la 6ème North African Petroleum Exhibition & Conferences) aura lieu, du 8 au 11 mars 2016, à l’esplanade de l’Hôtel Hilton à Alger

Organisé par Petroleum Industry Communication, la sixième édition verra la participation de près de 400 exposants activant dans tous les secteurs relatifs à l’industrie pétrolière et gazière qui viennent de 30 pays.

Présentes en force lors des précédentes éditions, de grandes firmes internationales ont confirmé très à l’avance leur participation au NAPEC. Mieux encore, leurs premiers décideurs seront de la partie .La participation de la société nationale des hydrocarbures, Sonatrach, avec toutes ses filiales, en est l’irréfutable preuve de l’essor du Salon International NAPEC et l’affirmation d’une renommée bien établie en s’imposant comme le plus grand salon et plate-forme de communication en Afrique, dans le secteur Oil & Gas.

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Opportunité idéale pour des mises en relation d’affaires, de signatures de partenariats et de conclusions de contrats, le NAPEC est devenu, ce rendez-vous par excellence des pétroliers et de leurs fournisseurs qui permet aussi l’échange d’expérience et facilite le contact direct recherché par les compagnies pétrolières et leurs fournisseurs. Une telle opportunité, qui se raréfie de plus en plus en ces temps d’instabilité du marché mondial accroit l’intérêt des professionnels du secteur pour cette manifestation.

Véritable devanture pour des milliers de solutions et d’applications technologiques prisées par les opérateurs de l’industrie pétrolière et gazière , les professionnels du secteur trouveront dans ce salon, qui leur est exclusivement destiné, l’objet de leur recherche dans un espace qui leur offre l’avantage de proximité et de convivialité favorables pour la conclusion d’affaires..

Grâce au NAPEC, de nouveaux partenariats et jonctions verront le jour

entre plusieurs sociétés. Des rencontres Be to Be permettront ainsi la création de sociétés nouvelles proposant de nouveaux produits et services ouvrant la voie à un nouveau marché et de nouvelles opportunités d’emploi.

Ce Salon est aussi un point de jonction de visions et d’ambitions entre une Afrique engagée dans la réduction de la dépendance énergétique et le reste du monde en quête de nouveaux marchés. Au-delà de ces ambitions précitées, il s’agit également de faire valoir l’expertise algérienne, à travers le continent africain.

Vitrine de toutes les filières de l’énergie, le NAPEC met en relief les potentialités incommensurables de l’Algérie et de l’Afrique, et leur permet d’échanger et de renforcer leur coopération énergétique avec le reste du monde.

Au registre des pays participants, la France demeure le pays étranger le plus représenté durant ce salon avec près d’une centaine de firmes, devançant le géant chinois toujours omniprésent. Le NAPEC verra la première participation de l’Iran. La Pologne renforce sa présence en s’offrant son premier pavillon.

Parallèlement, un riche programme d’animation et de communication accompagne cette édition avec des conférences, des communications et des ateliers animés par des experts nationaux et étrangers de renom, sur des thèmes liés directement à l’actualité de l’industrie pétrolière et gazière, la chute des prix du pétrole et la recherche technologique.

Sonatrach sera à l’honneur avec une journée de communication qui lui est entièrement consacrée. Le volet technique sera largement mis en exergue à travers plusieurs communications dispensées par ses cadres et experts à la notoriété mondiale avérée.

Des ateliers d’entreprises seront animés durant ce salon sur des thèmes se rapportant aux raffineries, la sécurité industrielle, le transport, la maintenance des équipements, l’innovation et à l’évolution des technologies de pointe pour une connexion meilleure et plus sécurisée.

Petroleum Industry Communication, organisateur de cette manifestation, mise sur 25.000 visiteurs professionnels. Et pour une totale réussite de cette édition une gamme variée de services et une multitude d’offres seront assurées durant le Salon qui s’étale sur quatre jours du 08 au 11 mars 2016 à Alger.

Télécharger le programme du NAPEC

Les tendances du e-commerce avec Kaymu

Kaymu.sn publie le premier rapport détaillant les tendances e-commerce au Sénégal

L’industrie du e-commerce est encore à ses débuts mais suscite d’ores et déjà un vif intérêt pour les tiers ! Depuis deux ans, une trentaine de sites e-commerce ont rejoint le secteur et les internautes intègrent dorénavant dans leur quotidien, de nouvelles habitudes d’achat en ligne.

Du fait de la jeunesse du marché et de la transformation progressive des modes de consommation, il est encore difficile d’établir de manière objective le rapport qu’entretiennent les consommateurs Sénégalais avec acte d’achat en ligne, ainsi que son impact réel sur le marché et l’économie. C’est en sa qualité d’acteur majeur et de leader dans l’achat et la vente sur internet au Sénégal, que Kaymu.sn entend à travers cette étude définir le profil type du cyberconsommateur sénégalais et en déduire son comportement et ses habitudes d’achat.

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Qui achète le plus sur internet ? Est-ce les hommes ? Les femmes ? Qu’achètent-t-ils exactement et quels sont leurs centres d’intérêts ? Quand et par quel moyen accèdent-ils au shopping en ligne ? Ce rapport étudie, sur une durée de deux ans, un échantillon de 500.000 visiteurs. Les informations recueillies reposent principalement sur nos outils d’analyses internes et publics, renforcées par différents rapports sectoriels en marketing et en Business Intelligence.

Tout d’abord, le rapport révèle que le trafic analysé provient de visiteurs dont la tranche d’âge se situe entre 25 et 34 ans, suivis de près par les 18-24 ans.

Les hommes achètent plus que les femmes sur internet

Selon l’étude menée par Kaymu.sn, on constate que 58,5 % des transactions sont effectuées par des hommes. Fait qui brise le mythe selon lequel les femmes sont plus enclines au shopping que les hommes. Par ailleurs, il semble que le Sénégal ne soit pas le seul pays où les hommes détrônent les femmes en matière d’achat en ligne d’après une étude similaire établie par Kaymu au Maroc.

Les dakarois, rois du shopping en ligne

Sans grande surprise, le rapport permet d’observer que les Dakarois occupent la première place en termes d’achat sur internet (61%), suivis de près par les Saint-Louisiens (17%) puis les Pikinois (11%). Il est intéressant de soulever que 7% des commandes ont été néanmoins effectuées depuis d’autres villes du Sénégal, ce qui poussent notre plateforme e-commerce à adapter la livraison afin de répondre aux exigences variées des clients et d’étendre nos services sur tout le territoire national.

Les Sénégalais effectuent leurs achats via leurs ordinateurs personnels

Avec un taux de pénétration d’internet mobile d’environ 94%, il est étonnant de constater que les visites proviennent principalement des ordinateurs de bureau et des ordinateurs portables ; ceux-ci étant plus commode pour passer à l’acte d’achat tandis que les smartphones font guise de lèche vitrine. Cependant, force est de constater que les Sénégalais font de plus en plus d’achat via leurs téléphones (16,7%). Les IPhone étant les plus utilisés, suivi des tablettes Apple IPad.

La « Mode et les accessoires » en première position des catégories les plus vendues

Pour ce qui est des produits les plus commandés, l’enquête nous a révélé que les articles de mode et les accessoires sont restés, tout au long de ces deux années, à la tête des ventes.  Les bijoux/montres et les téléphones et tablettes venant en 2ème et 3ème catégorie phares.

« Dans notre métier, les données fiables c’est tout ce qu’il y a de plus important. Ce rapport, qui est le premier d’une une longue série, donne un bon aperçu des besoins sur le marché local et des indicateurs de performance clés liés du commerce électronique. Il permet aux parties prenantes de comprendre le comportement des clients et de mieux ajuster leur stratégie. Ce rapport montre surtout que nous sommes sur la bonne voie et que le commerce électronique a clairement un avenir dans nos marchés. Nous sommes très fiers du travail abattu et fier également de pouvoir mettre ces informations à disposition des acteurs du secteur » explique Sassoum Niang, Directrice de Kaymu Sénégal.

Consulter le rapport des tendances du e-commerce sur le site de Kaymu

Orange achète Millicom en RDC

Orange et Millicom ont signé un accord portant sur l’acquisition par Orange de la filiale de Millicom en RDC

Le marché mobile en RDC connaît une croissance significative et est actuellement le plus grand marché mobile d’Afrique centrale et de l’Ouest après le Nigeria avec plus de 40 millions d’abonnés. Tigo RDC correspond parfaitement à Orange étant donné la complémentarité de leurs opérations sur le plan géographique et sur le plan culturel.

Le marché mobile en RDC connaît une croissance significative et est actuellement le plus grand marché mobile d’Afrique centrale et de l’Ouest après le Nigeria

Cet accord permettrait à Orange de renforcer significativement sa présence en RDC et de devenir ainsi l’un des opérateurs leaders du pays. Il permettra aussi de créer des synergies significatives.

Cette acquisition s’inscrit dans la stratégie d’Orange en Afrique de développement et de maintien de positions de leader à travers les différents pays dans lesquels il opère sur le continent.

Cette transaction est soumise à l’approbation des autorités compétentes.

Violences : 65% des femmes d’Afrique Centrale en sont victimes

Fléau de portée mondiale, les violences à l’égard des femmes ne connaissent a priori aucune frontière géographique

Leur ampleur prend toutefois un relief particulier en Afrique, ce que plusieurs statistiques alarmantes viennent confirmer.

L’OMS estime à des millions le nombre de femmes africaines violentées, surtout dans le milieu conjugal, avec un taux de 41,6% en Afrique subsaharienne et 65,5% en Afrique centrale.

Amnesty international rapporte pour sa part qu’en Afrique du Sud, par exemple, tous les six heures, une femme est tuée par son compagnon ; au Kenya, le Procureur général déclare que la violence conjugale était à l’origine de 47% des homicides ; et au Maroc, le Haut Commissariat au Plan (HCP) note un taux de prévalence de ces violences dépassant les 50%.

Autant de chiffres qui mettent à mal les efforts mobilisés dans la lutte contre les violences faites aux femmes dont le bilan reste in fine mitigé. Cela témoigne du grand paradoxe de l’Afrique du 21ème siècle, qui a vu naître d’importants instruments internationaux pour la protection des droits humains, en même temps qu’on continue à y déplorer la violence faite à la gente féminine.

Pourquoi l’Afrique protège-t-elle mal ses femmes ?

Aujourd’hui, droit et corps entretiennent une relation évidente, érigée en valeur universelle : celle du droit intrinsèque de propriété de la femme sur son corps. La négation de ce droit condamne à la dégradation humaine et réduit au statut d’esclavagisme. Naître femme en Afrique, terre de la prépondérance du patriarcat, des coutumes et traditions archaïques, et du tas de mauvaises interprétations religieuses, n’est de nature ni à reconnaitre ce droit, ni à brider l’acharnement et l’arbitraire parfois spontané contre les femmes. L’héritage culturel est décidément lourd : la position d’infériorité des femmes va comme un «en-soi», et l’acte de violence est «normalisé».

Aux pesanteurs sociaux-culturelles, s’ajoute le sous-développement économique du continent, lequel aggrave la situation des femmes, spécialement en milieu rural elles sont généralement analphabètes, placées en position de dépendance économique, ce qui ne leur laisse d’autre option que de rester avec un mari qui les violente, mais qui peut tout au moins leur fournir un toit et de la nourriture.

Lire l’article « Le viol une arme de terreur » de sur les atrocités commises en RDC et dont le livre du docteur Mukwege évoque en détail les impacts sur une génération entière

En tant qu’atteinte au droit à l’intégrité physique et morale, et parfois même au droit à la vie, les violences à l’égard des femmes, feront l’objet d’un certain nombre de traités contraignants, et que les Etats africains ratifieront pour la plupart. On peut citer principalement : la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes de 1979, et le Protocole à la Charte africaine des droits de l’Homme et des peuples, relatif aux droits des femmes de 2003. Parallèlement à cela, des lois nationales spécifiques seront adoptées dans le même sens. Ce qui donne au total un corpus législatif considérable certes, mais qui s’est visiblement soldé par un échec, étant donné que ses prescriptions ne seront pas systématiquement appliquées.

D’aucuns avoueront que même les lois les plus avant-gardistes resteraient lettres mortes en l’absence d’un véritable Etat de droit, entendu dans le sens d’une justice indépendante et impartiale, en plus d’une alternance pacifique au pouvoir. Or, l’Etat de droit est loin d’être acquis sur le continent, compte tenu notamment de la multiplication des coups d’Etat militaires mais surtout des coups d’Etat constitutionnels, ayant la faveur d’un bon nombre de dirigeants qui tentent d’amender la Constitution de leur pays pour briguer davantage de mandats présidentiels.

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Il ne serait dès lors pas étonnant que ces mêmes dirigeants manifestent un manque de volonté à faire respecter les traités et lois interdisant les violences aux femmes, quand cela peut leur valoir une confrontation redoutable avec les autorités coutumières et religieuses, ayant leur mot à dire au moment des élections. Les violences envers les femmes sont également perpétuées à cause du comportement des agents de l’Etat (policiers, magistrats…), souvent réticents et non qualifiés pour traiter ce type de violences, en raison notamment de la coexistence fréquente de plusieurs sources de droit (positif, coutumier, musulman). Le statu quo est d’autant plus maintenu, à cause des politiques étatiques défaillantes en matière d’économie et d’éducation entre autres.

La vérité est que ces Etats, au-delà d’éventuelles mesures sélectives et au coup par coup, soit refusent délibérément de s’acquitter du devoir de faire respecter le droit de propriété des femmes sur leurs corps. Face à pareil désengagement, il reviendrait aux acteurs de la société civile d’apporter un bémol à cette aberration. Leur action nécessiterait par ailleurs des échelles d’intervention multiples.

Tout d’abord, une prise en charge holistique des victimes de violences (hébergement, soutien psychologique, accompagnement juridique…). Ensuite, l’autonomisation économique de ces dernières, seul véritable gage de leur émancipation : tant qu’elles ne seront pas financièrement indépendantes, elles ne s’en sortiront pas. Des programmes de formation et d’insertion socio-économiques doivent être développés pour les aider à défendre leur droit de propriété sur leurs corps.

En même temps, et pour revenir à notre prémisse de départ, les violences conjugales étant le résultat d’un ancrage culturel résistant aux lois positives, il serait inutile d’en promulguer davantage, sans essayer d’agir simultanément sur les mentalités, démarche qui peut porter ses fruits durablement. Pour ce faire, la société civile a du pain sur la planche : compagnes de sensibilisation pour reconnaitre le droit de propriété des femmes sur leurs corps, promouvoir la culture de l’égalité, réformes des livres scolaires perpétuant les préjugés et stéréotypes néfastes envers les femmes, introduction de programmes d’éducation sexuelle et affective pour les jeunes, sécularisation et adéquation du discours religieux, conseil et médiation conjugale pour la résolution des conflits familiaux sans recourir à la violence…

Somme toute, l’élimination des violences envers les femmes africaines est l’affaire de tous. Le tissu des destins collectifs que nous formons nous y oblige. Soutenir la société civile dans ce sens, ou prendre part à ses activités est vivement souhaitable, car la société civile, et nous ne le dirons jamais assez, demeure la bouée de sauvetage en cas de retrait de l’état ou face à ses abus. Elle est l’ultime levier de changement de toute société.

Asmâa Bassouri, doctorante en droit international, Université Cadi Ayyad Marrakech (Maroc)

Avec LibreAfrique

42% de l’énergie du Maroc grâce au solaire

Energie solaire et vapeur d’eau : star des énergies pour le Maroc

C’est au Maroc qu’est inauguré la centrale d’énergie solaire de Noor.

Au niveau technologie, le Maroc n’a pas choisi de miser sur le photovoltaïque !

Les miroirs installés en plein désert vont capter la chaleur du soleil et la diffuser grâce à une solution de transfert de chaleur chauffée à 339 degrés se trouvant dans des tuyaux sur l’armature qui ira elle-même chauffer de l’eau. Cette eau, à ébullition, deviendra de la vapeur sous pression qui alimentera des turbines. Ce sont elles qui produiront de l’électricité. Grâce à des sables en fusion, la centrale solaire continuera à produire de l’énergie jusqu’à 3 heures après le coucher du soleil, permettant d’alimenter les maisons même la nuit.

Les chiffres parlent mieux qu’un long discours:

 « 42% de l’énergie du pays sera assuré par la centrale solaire de Noor »

9 milliards d’euros

20 000 collecteurs d’énergie éléctrique par le solaire

la centrale d’énergie électrique en vidéo:

Réalité virtuelle et reportage sur les conflits

Réalité virtuelle, un mot qui nous fait penser à de nombreuses utilisations au quotidien et dans un futur proche

Imaginons l’étendue de son champ d’application : éducation, recherche, création, design… et pourquoi pas journalisme ?

La compagnie française Emissive et le photographe Karim Ben Khelifa ont ainsi mis leurs compétences en commun dans le but de nous faire côtoyer au plus près les combattants de conflits historiques.

C’est l’histoire d’une rencontre entre une jeune société spécialisée dans la réalité virtuelle et un photoreporter ayant couvert quelques-unes des guerres les plus meurtrières de ces dernières décennies. L’une crée des expériences en réalité virtuelle à destination des professionnels, l’autre souhaite donner la parole aux soldats, quel que soit leur camp. Ainsi est né The Enemy, une installation en VR d’un genre nouveau, à mi-chemin entre le photoreportage et l’interview interactive.

L’idée est ici de créer un rapport inédit entre le « spectateur » et l’intervenant, grâce à l’immersion qu’apporte un casque de VR. Nous avons d’ailleurs pu en faire l’expérience dans les locaux parisiens d’Emissive, sur une version assez peu avancée du projet, et pourtant déjà pleine de promesses.

Promiscuité incroyable

Concrètement, nous avons enfilé un Oculus Rift (DK2) largement customisé par la compagnie. Des capteurs y ont été ajoutés, tandis que deux caméras, calées de part et d’autre de la pièce, permettent de nous situer dans l’espace. Le principe rappelle bien évidemment le HTC Vive, mais l’ambition d’Emissive va plus loin, puisque la version « finale » de The Enemy sera multiutilisateur (jusqu’à 20 personnes) et prendra place dans un lieu bien plus grand. Chacun sera équipé d’un sac à dos contenant un mini PC et pourra ainsi se déplacer librement dans l’installation. Les avatars des participants seront bien entendu modélisés dans l’espace virtuel, changeant de forme au gré de leurs réactions. On arrive d’ailleurs dans la partie « étrange » du projet, puisque Emissive souhaite se servir des dernières avancées en matière de neurosciences pour analyser les émotions des utilisateurs et altérer ainsi leur apparence dans le monde virtuel.

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La démo à laquelle nous avons assisté était cependant plus limitée, puisque confinée à une toute petite pièce dans laquelle nous étions seuls. Une fois l’expérience lancée, nous nous retrouvons dans un lieu sombre, où quelques murs sont éclairés. De larges photos de conflits y sont accrochées.

En nous approchant, une courte légende apparaît, des bruits de tirs, des explosions se font entendre. En nous retournant, nous constatons qu’un homme se tient debout, de l’autre côté de la pièce. Demi-tour, quelques pas, et nous voici devant un soldat d’une trentaine d’années, modélisé de manière très réaliste. Il se met alors à parler, dans sa langue. C’est un Israélien, qui nous explique pourquoi il se bat, quelles sont ses motivations, comment il voit son avenir. Le fait de pouvoir s’approcher de son visage, tout en l’écoutant, apporte un étrange sentiment de promiscuité et renforce clairement le propos et l’intérêt qu’on lui porte.

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Après quelques minutes d’entretien, nouveau demi-tour. À l’opposé, face au soldat israélien, un jeune Palestinien attend notre venue. Le procédé est le même : quelques pas nous permettent de « déclencher » une interview du soldat. La modélisation est toujours aussi précise et rend l’impact des mots bien plus fort. On se prend alors à imaginer une nouvelle façon d’interagir et de « vivre » un sujet journalistique, via la réalité virtuelle. Bien que très courte, cette démo de The Enemy est prometteuse et l’on espère que les grandes ambitions d’Emissive et de Karim Ben Khelifa, notamment concernant les interactions avec les autres utilisateurs, pourront se réaliser.

Il va de toute façon falloir prendre son mal en patience, puisque le projet ne devrait pas être finalisé avant janvier 2017. Quoi qu’il en soit, The Enemy montre, une fois de plus, que la réalité virtuelle offre des usages qui vont au-delà du simple divertissement et peut servir à renforcer le propos le plus sérieux.

Avec Les Numériques

Gemalto au Gabon avec la simplification des modalités douanières

Gemalto va simplifier les démarches douanières au Gabon

Gemalto,  leader mondial de la sécurité, a été choisi par la Direction Générale de la Documentation et de I’Immigration, qui œuvre pour la sécurité intérieure du Gabon, afin de livrer et mettre en œuvre un système intégré de contrôle aux frontières et des visas. Ce nouveau système permettra de renforcer la sécurité nationale, d’accroître l’efficacité opérationnelle et d’améliorer l’expérience du voyageur à son entrée sur le territoire ou à son départ de cet état d’Afrique Centrale.

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Le système de gestion des visas simplifie et accélère la délivrance des documents, visas et cartes de séjours, que ces derniers soient électroniques ou non. Cette suite d’applications a été utilisée pour créer le portail e-Visa du Gabon en juillet dernier, afin de permettre aux visiteurs de déposer en ligne une demande de visa d’entrée dans le pays. Une fois l’autorisation de voyage électronique délivrée (ou ETA pour Electronic Travel Authorization), le visa est ensuite émis à l’aéroport international de Libreville, à l’arrivée des passagers.

La solution est bâtie autour d’un système centralisé de back-office Coesys Visa and Border Management System . Celle-ci prend en charge l’automatisation des requêtes vers des bases de données telles que celles d’Interpol qui alertent les autorités sur les menaces et risques potentiels. De plus, les bornes de contrôle automatisé aux frontières offrent désormais aux voyageurs une vérification rapide et en mode libre-service des passeports dans le principal aéroport du pays, qui accueille environ un million de passagers chaque année.

Nous sommes fiers d’apporter notre aide aux autorités gabonaises pour améliorer la sécurité aux frontières et la satisfaction du voyageur

Le module de renseignement frontalier utilise les données recueillies à la frontière. Il offre des outils d’investigation poussés, facile d’utilisation et intuitifs en un seul clic, pour modéliser les risques. Son application de reporting fournit également des informations précieuses pour dynamiser le tourisme et prioriser les efforts en investissements nationaux.

« La solution de Gemalto nous offre un système de gestion des frontières intégré, sécurisé et adaptable, qui a fait ses preuves sur le terrain. Elle nous permet également d’accélérer le processus de contrôle frontalier en réduisant les temps d’attente et en améliorant l’expérience des voyageurs à la douane », indique le Général Celestin Embinga, Directeur Général de la DGDI. « De plus, nous avons pu éprouver la réactivité et l’engagement de Gemalto : notre nouveau service de visas électroniques a été défini et mis en œuvre en 14 semaines seulement. »

« Nous sommes fiers d’apporter notre aide aux autorités gabonaises pour améliorer la sécurité aux frontières et la satisfaction du voyageur », ajoute Ari Bouzbib, vice-président directeur des  Programmes Gouvernementaux chez Gemalto. « Gemalto offre une solution unique, adaptable et rapide à mettre en œuvre. Nous associons ressources locales et expertise internationale au travers de partenariats avec les administrations. C’est précisément ce qu’apprécie un nombre croissant de nos clients sur le continent Africain».

Idriss Déby Itno président de l’Union Africaine

C’est donc le président du Tchad, Idriss Déby Itno qui prend le siège de l’Union Africaine

Le nouveau Président de l’Union africaine (UA), S.E. M. Idriss Deby Itno, Président de la République de Tchad, a été élu aujourd’hui samedi 30 janvier 2016, par les États membres de l’UA, durant sa 26e session ordinaire au siège de la Commission de l’UA, à Addis-Abéba en Éthiopie.

Le Président Idriss Debby a pris la relève de S.E. M. Robert Gabriel Mugabe, Président de Zimbabwe, en tant que Président de l’Union Africaine pour l’année 2016.

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Le nouveau bureau élu se présente comme suit :

Président:     S.E. M. Idriss Deby Itno, Président de la République du Tchad

Premier Vice-président : S.E. M. Yayi Boni Thomas, Président de la République du Bénin

Deuxième Vice-président :   S.E. M. Paul KAGAMÉ, Président de la République du Rwanda

Troisième Vice-président : Honorable Hamida Homa, Vice-président du Parlement de Libye

Rapporteur : S.E. M. Robert Gabriel Mugabe, Président de la République du Zimbabwe

Durant la cérémonie de passation, le Président sortant de l’UA, Président Mugabe, a remercié ses pairs et son pays pour l’appui qu’ils lui ont apporté durant son mandat.

Il a salué la Commission de l’UA sous le leadership de S.E. Dr Nkosazana Dlamini Zuma pour le bon travail  accompli en vue de poursuivre les réformes envisagées dans le cadre de l’Agenda 2063 et pour le soutien qu’elle a fourni à son équipe.

Le Président Mugabe a fait état du privilège qu’il a eu en tant que Président de l’Union pour voyager sur le continent et à l’étranger.  Ila ajouté qu’il a eu l’occasion de visiter plusieurs pays africains et qu’il a apprécié  ses rencontres avec les jeunes Africains,  qui représentent le futur de l’Afrique. « Ce fut un honneur de guider notre organisation pour mettre en œuvre sa vision de l’Afrique que nous voulons », a conclu le Président Mugabe avant de passer les symboles de l’Union à son successeur, le Président tchadien Idriss Deby. «Vous pouvez continuer à compter sur mon soutien », a promis le Président sortant.

Prenant la parole auparavant, la Présidente de la Commission de l’UA, Dr Dlamini Zuma, a remercié le Président sortant pour son excellente coopération et ses conseils durant son mandat en 2015, « y compris les aspects politiques et historiques qui ont marqué les délibérations et qui nous ont maintenus engagés », a-t-elle souligné.

Le Président de l’Union nouvellement élu a salué le Président sortant pour son esprit panafricain et son engagement en vue de placer l’Agenda 2063 de l’Afrique au centre des priorités durant son mandat. Le Président Deby a mis en exergue, dans son allocution d’acceptation, les programmes majeurs qui seront entrepris durant sa présidence. Il devra, entre autres responsabilités, assurer la mise en œuvre, par les États membres, du thème de l’année 2016 : Année des droits de l’homme en Afrique, avec un accent particulier sur les droits des femmes, ainsi que le plan décennal de mise en œuvre de l’Agenda 2063. Il mobilisera davantage le continent pour mettre en œuvre l’Agenda 2063 de l’UA dans la perspective de positionner l’Afrique en tant qu’acteur clé sur l’échiquier international.

Le crowdfunding ouvre de nouvelles perspectives

Le crowdfunfing ou « finance participative » ouvre de nouvelles perspectives

Le financement participatif, en anglais « crowdfunding », est-il un outil de financement d’avenir pour les projets de développement au Sud ?

Quand on étudie les potentialités du marché, on peut répondre oui. Le crowdfunding a permis de collecter en cumul 35 milliards de dollars à ce jour à l’échelle mondiale, pour tout type de projet (du financement de films à des start-ups, du micro-crédit, de l’évènementiel en passant du prêt à la consommation). Le potentiel de collecte est estimé à 1000 milliards de dollars à horizon de dix ans. Une étude de la Banque mondiale dédiée au financement participatif estime que sur ces 1000 milliards, 96 milliards pourraient être affectés aux pays en développement. Autrement dit, on en est à l’année zéro du crowdfunding pour les pays en développement.

Deuxième point : l’outil est incroyablement bien adapté aux collectes solidaires, faites dans un but de bienfaisance et de philanthropie (du don pour les ONG ou l’action humanitaire, du prêt solidaire, etc). Pas moins de 40 % de la collecte de fonds par le crowdfunding, tous métiers confondus, se destinent en effet à des projets solidaires – des ONG au sens large.

Mieux encore, en France et aux Etats-Unis, entre 5 % et 10 % de la collecte « solidaire » via le crowdfunding ne porte pas sur des dons mais des prêts ou de l’investissement en capital – autrement dit, de l’investissement à impact sur le développement. C’est ce que l’on appelle aujourd’hui le « crowdimpacting ». Il existe dans le monde une vingtaine de sites de micro-crédits comme Babyloan, qui permettent aux contributeurs de  récupérer leur capital, mais aussi avec des sites de prêts rémunérés ou d’investissement dans des social business. En sept ans, pas moins de 36 000 membres ont prêté 11,5 millions d’euros via Babyloan, permettant de financer 24 500 micro-entrepreneurs.

En somme, divers outils se développent en dehors des approches de dons. C’est d’autant plus intéressant que le financement de l’économie sociale et solidaire (ESS) en France passe par la finance solidaire, qui existe depuis trente ans mais ne représente que 0,02 % de la finance française, soit rien du tout !

 

D’où viendraient ces 96 milliards de dollars potentiels ?

Ils peuvent venir du grand public des pays du nord, dans une logique Nord-Sud, mais aussi des diasporas, le grand sujet actuel pour les bailleurs de fonds, compte tenu de l’importance des transferts de fonds des migrants vers leurs pays d’origine. Troisième axe : le crowdfunding Sud-Sud, qui permettrait aux résidents d’un pays du Sud de financer leur propre développement, des Maliens au Mali par exemple.

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Les transferts d’argent des migrants sont en effet colossaux. Comment le crowdfunding peut-il capter ces fonds ?

Les statistiques de la Banque mondiale nous disent que ces transferts vont s’élever à 450 milliards de dollars par an. Quand on parle d’un potentiel de 96 milliards sur dix ans de financements susceptibles d’aller à des projets de développement, cela représente des volumes financiers moyens de 9,6 milliards par an. Imaginons que 50 % de ces fonds viennent des diasporas – soit 4,5 milliards par an, seulement 1 % des flux annuels moyens transférés par les migrants. On touche au rêve de tous les bailleurs. Ce serait déjà colossal de parvenir à mobiliser pour des investissements productifs entre 2% et 3% de tout l’argent qui passe par Western Union ou Moneygram pour la consommation directe des parents restés au pays… Nous sommes convaincus que le crowdfunding peut y contribuer.

 

Pourquoi les migrants qui transfèrent de l’argent auraient intérêt à se rapprocher des plateformes de crowdfunding ? 

Les nouvelles générations évoluent dans l’envie de faire, et plus seulement d’envoyer de l’argent à la cousine de Bamako, pour aller vite. Nous avons fait un test et lancé une application temporaire pour la diaspora béninoise, qui est venue nous solliciter. Sur les 30 000 Béninois qui vivent en France, nous avons réussi à en faire venir 300. Ce n’est pas un chiffre important, mais sur les 300 personnes qui ont cliqué sur notre application, le taux de transformation s’est élevé à 50 %. Autrement dit, la moitié des gens ont décidé de prêter des montants moyens de 40 euros. Un tel taux représente du jamais vu – quand on passe au journal télévisé, on peut espérer un taux de transformation de 1%… C’est le signe qu’il se passe quelque chose.

 

Babyloan va-t-il donc s’adresser à des immigrés africains ?

Nous construisons en effet un portail qui va permettre de lancer des mini-sites thématiques. Avec Total, nous lançons Babyloan Access to Energy, consacré aux projets de microcrédit dans l’énergie, pour des panneaux solaires entre autres. Ce portail très simple va figurer dans notre site dans la thématique «  microfinance verte ».

Nous voulons aussi créer une filiale commerciale de Babyloan, visant à faire entrer les investisseurs institutionnels comme l’AFD. L’objectif est d’ouvrir un site Internet comportant 10 à 15 portails dédiés à des pays différents. Chaque portail aurait un ou deux responsables commerciaux, dont la mission serait de mobiliser les diasporas de son pays sur les applications.

Il faut lever 5 à 6 millions d’euros pour lancer notre filiale commerciale, un investissement assez lourd. Ensuite, un travail de sélection des IMF partenaires s’impose. Il va falloir trouver dans chaque pays d’Afrique francophone au moins deux ou trois IMF qui couvrent l’intégralité du territoire. Enfin, il faut trouver de vraies belles PME. Dans un premier temps, les portails ne seront accessibles qu’aux ressortissants non résidents des pays concernés, par exemple le Béninois de France, mais pas celui du Bénin. La raison ? Les règlementations de l’Union économique et monétaire de l’Ouest africain (UEMOA) interdisent à des personnes physiques de prêter, considérant qu’elles se livrent à des activités bancaires.

 

Pour attirer les investisseurs, il faut inspirer confiance. Comment faire ?

Notre modèle est intermédiaire : nous agréons les institutions de microfinance (IMF), parce que nous devons inspirer confiance dans le choix de nos partenaires. Nous réfléchissons à mettre en ligne directement des PME africaines qui sont suivies par des fonds d’investissement français ou des incubateurs d’entreprises en Afrique qui pourraient être financés en direct par Babyloan. Dans ce cas, nous ne serons plus sur des projets de 400 euros, mais 20 000 à 30 000 euros. La question qui découle de ce choix est celle-ci : comment sélectionner une PME fiable et pérenne ? D’où notre intention de travailler avec des spécialistes comme Jean-Michel Sévérino chez Investisseurs et Partenaires (I&P) par exemple, pour le premier test.

Nous allons adosser Babyloan Africa à un fonds d’investissement dédié, susceptible de lever de l’argent auprès des institutionnels et de prêter aux IMF en abondement des prêts faits par les internautes. L’idée est de dire qu’à partir d’un certain montant de prêts réalisés par les internautes, le fonds va tripler la mise sous forme de lignes de crédits complémentaires débloquées au bénéfice de nos IMF partenaires. Nous sommes le premier site de crowdfunding à avoir couplé son activité avec un fonds d’investissement, un projet mené avec le Crédit coopératif et Ecofi sur la base d’un fonds luxembourgeois. Notre idée est de rester modeste sur la mobilisation des diasporas, et d’aller voir les bailleurs de fonds pour leur proposer d’investir également en abondement. C’est un projet très complet, totalement focalisé sur les diasporas.

Avec Idées pour le développement, le Blog de l’Agence Française de Développement

Conférence du réseau Baker Tilly International en Côte d’Ivoire

Le réseau Baker Tilly International organise le 29 et 30 janvier 2016 au Sofitel Abidjan hôtel Ivoire sa toute première conférence annuelle en Afrique francophone.

Une conférence avec la participation effective d’une cinquantaine de délégués (associés et managers) représentant une vingtaine de pays d’Afrique ainsi qu’une forte délégation française.

Bâtir le succès en Afrique

Cet événement annuel du réseau dont le thème choisi cette année est « Building on success in Africa » démontre le grand intérêt qu’il porte pour le continent africain. Le réseau est présent dans 23 pays et couvre 20 autres pays. Cette conférence est l’occasion pour le 8ème réseau mondial d’audit et d’expertise comptable d’asseoir sa stratégie en Afrique et de renforcer ses lignes de services aux acteurs de la croissance économique : sociétés africaines et internationales, le secteur public, les bailleurs de fonds et enfin les opérateurs de la société civile.

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Cet engouement des membres du réseau pour la première édition en terre d’Afrique francophone montre clairement les ambitions du réseau pour le continent africain.

Un continent d’avenir

L’Afrique est en plein essor avec des taux de croissance élevés dans plusieurs pays. Le choix de la Côte d’Ivoire n’est d’ailleurs pas fortuit car ce pays représente, grâce à une croissance économique exceptionnelle depuis cinq ans, le nouveau visage du développement africain. La Côte d’Ivoire est aujourd’hui une véritable opportunité de développement pour un réseau ambitieux comme Baker Tilly International.

Un événement inédit

Cette édition 2016 de la conférence Afrique du réseau Baker Tilly international enregistre pour la première fois la présence effective du président de la région Europe Middle East Africa en la personne de Ted Verkade qui est aussi le futur CEO Mondial de réseau Baker Tilly international.

L’Agence des Nations Unies décaisse 33,8 millions pour l’agriculture en RDC

L’Agriculture en RDC recevra 33 millions de dollars de l’Agence des Nations Unies

La République démocratique du Congo et le Fonds international de développement agricole des Nations Unies (FIDA) ont signé ce jour un accord pour financer le Projet d’appui au secteur agricole dans la Province du Nord-Kivu (PASA-NK).  Ciblant les agriculteurs pauvres et les ménages dirigés par des femmes, le projet vise à accroître les revenus tout en boostant la sécurité alimentaire du pays.

Le coût total du projet  est estimé à 53 millions d’USD. Le financement comprend un prêt du FIDA d’un montant de 16,9 millions d’USD et un don additionnel d’un montant de 16,9 millions d’USD.  La contribution du Gouvernement de la RDC est de presque 6 millions d’USD, à laquelle s’ajoute la contribution des bénéficiaires à hauteur de 3,5 millions d’USD. En outre, le Gouvernement de la RDC est à la recherche de cofinancements de 9,7 millions d’USD auprès d’autres bailleurs.

L’accord de financement a été signé au siège du FIDA à Rome par Henri Yav Mulang, Ministre des finances de la République démocratique du Congo, et Kanayo F. Nwanze, Président du FIDA.

Lors de la visite officielle du Président du Fonds dans le pays l’an dernier, l’approbation et la mise en œuvre du projet ont été discutées avec des membres du gouvernement.  « Considérant la quantité de précipitations et les terres arables disponibles, le secteur agricole du pays a un potentiel considérable pour se développer et prospérer si de vrais investissements et engagements vrais sont faits,  » a déclaré Nwanze.

Bien que l’objectif principal du nouveau projet soit d’améliorer la sécurité alimentaire en RDC, il vise également à accroître les revenus des petits producteurs participant au projet et vivant à Beni, Lubero, Rutshuru, Nyiragongo et Masisi dans la province du Nord-Kivu.

Les petits producteurs ciblés par le projet sont ceux qui, généralement cultivent moins d’un hectare de terre, possèdent moins de cinq têtes de bétail et des moyens de transport rudimentaires et sont des veuves ou des femmes chefs de ménages.

Les activités du projet porteront sur le renforcement des capacités des agriculteurs, des organisations paysannes et des services agricoles provinciaux impliqués dans la production, la transformation et la commercialisation de quatre cultures: maïs, riz, pommes de terre et  café arabica. Le projet veillera à ce que les services agricoles que les agriculteurs reçoivent des organisations de producteurs soient adéquats et répondent à leurs besoins. En outre, le projet permettra d’améliorer l’accès des petits producteurs aux intrants agricoles, comme les engrais et les semences améliorées, et l’accès aux marchés. Il assistera les organisations paysannes à construire des centres de stockage et des entrepôts pour aider les producteurs à conserver leurs produits pour  vendre pendant la période de pénurie.

Le PASA-NK sera exécuté sous la tutelle du Ministère de l’agriculture et de l’élevage de la RDC. On estime que 28 400 ménages ruraux vont bénéficier du projet .

Depuis 1980, le FIDA a financé 8 projets et programmes en RDC d’un montant total de 326,2 millions d’USD, dont 183,4 millions d’USD proviennent de ses propres ressources, ayant bénéficié directement à 504 400 familles rurales.

 

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