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Burkinasara Maïa Africa et Acted en lutte contre le paludisme

BURKINASARA Burkina Faso
BURKINASARA Burkina Faso

Un très beau projet à taille humaine afin de soutenir des familles au Burkina Faso

Plus de 5.000 familles déplacées au Burkina Faso reçoivent une protection contre le paludisme grâce à une campagne de crowdfunding

OLa campagne de crowdfunding lancée sur Ulule par l’entreprise sociale Maïa Africa et les ONGs ACTED et BURKINASARA a atteint son premier objectif de collecte. Grâce aux 25.000€ de dons collectés, ACTED commence à acheminer 15.000 pots de pommade anti-moustique aux personnes déplacées internes, particulièrement vulnérables au paludisme. La campagne vise désormais la barre des 50.000€ afin de protéger 10.000 familles.

Les personnes déplacées, premières touchées par le paludisme

Le paludisme est la première cause de mortalité au Burkina Faso. Les enfants de moins de 5 ans en sont les principales victimes. L’insécurité grandissante dans le Nord et l’Est du pays a fait fuir plus d’un million de personnes, dont nombre d’enfants. Ces personnes déplacées internes sont particulièrement exposées au paludisme.

Ayant quitté leurs maisons, ces familles logent dans des habitats précaires, souvent non équipés de moustiquaires. L’OMS recommande dans ces cas de proposer des répulsifs, afin qu’ils puissent se protéger des moustiques vecteurs de la maladie.

« ACTED intervient au Burkina Faso depuis 2019. Nous apportons une aide humanitaire aux populations déplacées. Nous sommes convaincus que la protection contre le paludisme représente l’un des besoins essentiels » Audrey Brenot, représentante pays ACTED – Burkina Faso

MAÏA, une pommade anti-moustique locale et adaptée

Les familles déplacées reçoivent une pommade anti-moustique à base de beurre de karité, appelée MAÏA. Cette solution innovante conçue localement par l’entreprise sociale Maïa Africa hydrate la peau et repousse pendant plus de 8h les moustiques porteurs du paludisme. Deux publications scientifiques dans Malaria Journal attestent de l’efficacité au Burkina Faso et en Tanzanie. 

Cette solution a permis à son équipe de remporter le Patient Innovation Award, le WHO Africa Innovation Challenge, le Marathon du Sahel et du prix Meaningful Business 100.

Distribuer MAÏA aux familles déplacées 

Le partenariat noué entre Maïa Africa et les ONGs ACTED et BURKINASARA assure de protéger les familles les plus exposées. Chaque don finance l’ajout de pommade anti-moustique MAÏA dans les kits d’hygiène d’urgence distribués aux familles déplacées dans les régions du Nord, Centre-Nord et Est. L’objectif initial de la campagne était de collecter 25.000€ de dons pour protéger 5.000 ménages. Cet objectif ayant été atteint à mi-parcours, il a été relevé à 50.000€. La campagne se termine le 12 juillet prochain. La distribution commence dès début juillet pour protéger les personnes au cours de la saison des pluies (Juillet-Octobre), période où le paludisme est le plus virulent. 

A propos des partenaires

ACTED (www.acted.org)

Depuis 1993, ACTED œuvre pour un monde « Zéro Exclusion, Zéro Carbone Zéro Pauvreté ». L’association répond aux besoins humanitaires des populations dans les situations de crise, tout en favorisant des opportunités pour un développement durable. En 2019 ACTED mène plus de 500 projets auprès de 17 millions de bénéficiaires dans 37 pays avec 6000 salariés. L’association est en développement permanent, multipliant ses activités et projets. Son budget de près de 300 millions d’euros fin 2019 a été multiplié par 5 en 10 ans. 95% des fonds levés sont utilisés pour et sur le terrain afin d’ «atteindre le dernier km »

BURKINASARA (www.burkinasara.cabanova.com)

BURKINASARA est une association française humanitaire officiant au Burkina Faso depuis 2007. L’association met en œuvre des projets porteurs de résultats rapides en agissant dans le respect de la culture locale. L’association œuvre à donner une vie digne et autonome aux habitants. Elle s’est notamment impliquée dans l’accès à l’eau et la gestion des déchets. L’association est particulièrement inquiète de la situation critique d’un nombre grandissant de personnes déplacées internes (PDI) fuyant la violence et le terrorisme dans le pays. Par ce projet, l’association apporte un soutien à ces personnes en situation critique.

Maïa Africa SAS (www.maia-africa.com)

Créée en 2018, Maïa Africa est une entreprise sociale spécialisée dans le développement de nouveaux moyens de préventions contre les maladies infectieuses transmises par les moustiques, en particulier contre le paludisme. L’entreprise établie à Ouagadougou, Burkina Faso, a développé MAÏA®, une pommade anti-moustique longue durée pour protéger les familles africaines des moustiques sans changer leurs habitudes.

EdTech : Miarakap et Investisseurs & Partenaires soutiennent Sayna

Sayna
Sayna

Miarakap, société d’investissement à impact dédiée au financement et à l’accompagnement des Petites et Moyennes Entreprises à fort potentiel à Madagascar, et I&P Accélération Technologies, un programme de soutien aux startups digitales africaines porté par Investisseurs & Partenaires (I&P), s’engagent auprès de Sayna, la première plateforme africaine d’Edtech & de crowdsourcing dédiée à l’apprentissage du développement informatique et à l’accès au marché du travail. 

Le programme I&P Accélération Technologies, démarré fin 2019, a déjà financé et accompagné cinq startups digitales africaines, en Côte d’Ivoire, au Mali et à Madagascar. Avec Sayna, une pépite malgache engagée auprès de la jeunesse africaine et axée sur la formation professionnelle et l’intégration des jeunes sur le marché de l’emploi, le programme ajoute une sixième entreprise à son portefeuille.

Lancée en 2018, Sayna ambitionne de répondre à un double enjeu : proposer des formations de qualité aux métiers du digital en Afrique, encore trop rares sur le continent, et offrir des débouchés professionnels aux jeunes en comblant le fossé entre la demande croissante des entreprises sur les thématiques digitales et l’offre de talents digitaux en Afrique (Développeur front-end / Développeur back-end / Devops / Testeur, etc.).

Miarakap et I&P Accélération Technologies vont apporter à Sayna leur soutien financier, technique et organisationnel pour développer les deux piliers de sa stratégie et ainsi décupler son impact : la plateforme de formation en ligne et la plateforme de “microtasking” (Cf. fiche entreprise). L’objectif d’ici 2024 est double : permettre à 8 000 personnes en Afrique d’intégrer l’industrie du digital grâce aux formations de Sayna et faire travailler plus de 3 500 personnes sur la plateforme de micro tâches en répondant au besoin informatique de plus de 300 PMEs et start-up dans le monde francophone.

Matina Razafimahefa, co-fondatrice et directrice générale de Sayna, a commenté : « En tant qu’équipe nous sommes très fiers de tout ce que nous avons accompli jusqu’ici. Nos réussites et nos échecs nous ont permis de comprendre véritablement notre marché afin de proposer aujourd’hui une solution qui pourra véritablement réinventer l’accès au marché du travail pour les développeurs junior. Le meilleur est devant nous ! »

Emmanuel Cotsoyannis, co-fondateur et directeur général de Miarakap, a ajouté : “Nous suivons l’aventure Sayna depuis ses débuts et avons récemment encouragé Matina dans son pivot stratégique vers un produit 100% en ligne, répondant à la fois aux besoins de formation de milliers d’apprenants potentiels et à ceux des entreprises en quête de solutions d’externalisation efficaces et responsables. Le financement d’I&P Accélération Technologies est une véritable opportunité qui pourrait permettre ensuite, nous l’espérons, de mettre en œuvre de nouveaux financements, cette fois-ci en capital, pour changer l’échelle de son projet”.

Le programme I&P Accélération Technologies, qui bénéficie du soutien de l’AFD à travers le Fonds d’amorçage by Digital Africa, poursuit son déploiement dans le cadre de sa mission qui consiste à contribuer à l’émergence des premières startups digitales africaines dans les pays où les solutions de financement sont encore rares. Doté de 2,5 millions d’euros, le programme, centré sur l’Afrique subsaharienne, vise à soutenir entre 10 et 15 startups.

David Munnich, directeur exécutif d’I&P Accélération et d’I&P Développement, a déclaré : “Le déploiement du programme avance bien avec désormais six entreprises en portefeuille et nous sommes ravis de soutenir des entreprises à fort potentiel de croissance et d’impact comme Sayna. L’approche originale, très adaptée aux conditions de terrain et aux besoins constatés localement, s’appuyant sur les compétences tech et digitales exceptionnelles des porteurs du projet, nous a convaincus.”

SHARE AFRICA lance son Forum Digital

SHARE AFRICA
SHARE AFRICA

Au terme des « Soirées de l’Innovation » qui avaient réuni depuis décembre 2020 diverses personnalités engagées en faveur d’une Afrique dynamique, entreprenante et soucieuse de bâtir un modèle de développement durable et innovant, la plateforme SHARE AFRICA donne rendez-vous à tous les passionnés d’Afrique à l’occasion de son Forum digital « Afrique positive, Afrique du XXIe siècle ».

Du 2 au 6 juillet prochain, entrepreneurs et économistes, scientifiques et penseurs, artistes et étudiants, responsables politiques et sportifs (re)penseront l’avenir du Continent à travers 4 thématiques clés : l’Afrique résiliente, l’Afrique verte, l’Afrique digitale et l’Afrique créative. Dans le cadre de ce Forum hors norme, la plateforme SHARE AFRICA accueillera également, en partenariat avec la maison de haute couture Balanciaga, l’« Africa Fashion Up », le grand concours des jeunes créateurs africain, qui donnera à voir l’ effervescence de la mode africaine.

Cette semaine-événement réunira des personnalités exceptionnelles et inspirantes, dont Jay Naidoo, ancien ministre de Nelson Mandela, activiste anti-apartheid, Cédric Charbit, directeur général de la maison de haute couture Balanciaga, Fatoumata Ba, médecine et chercheuse à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, Mory Sacko, chef cuisinier MoSuke (France/Mali), Diane Audrey Ngako, fondatrice de Visiter l’Afrique ou encore Moustapha Cissé, chercheur scientifique et chef du centre de recherche en intelligence artificielle de Google, à Accra au Ghana.

Au terme de cette semaine, plus de 40 panélistes auront échangé et partagé leurs analyses et solutions pour soutenir et accélérer l’avènement d’une Afrique innovante et moteur à l’échelle mondiale, dans des secteurs économiques aussi divers que structurants, du digital à l’industrie, de la mode à la médecine, de l’architecture à l’environnement, etc. Jeunes entrepreneurs ou dirigeants établis, toutes leurs expériences permettront de faire avancer la réflexion sur le modèle de développement durable et responsable désirable pour le Continent, au lendemain de la pandémie de la Covid-19 qui aura questionné les fondements de nos économies et de nos sociétés.

« Avec SHARE AFRICA, nous avons toujours désirons offrir un espace de réflexion positive et d’émulation collective qui permettent, à chacune et chacun, de soutenir la superbe dynamique que nous observons sur le Continent et au sein de la diaspora africaine. Jeunesse, entrepreneuriat, créativité et innovation seront les clés de cette Afrique du XXIe siècle : c’est un honneur de pouvoir les consacrer à l’occasion de notre Forum digital en donnant la parole à celles et ceux qui construisent cette Afrique optimiste et conquérante » déclare Kine Seck Mercier, présidente du comité consultatif de SHARE AFRICA.

Le programme complet du Forum Digital sera prochainement dévoilé dans son intégralité. Les premières informations sont disponibles ici. Les inscriptions sont ouvertes ici.

A propos de SHARE AFRICA

SHARE AFRICA est une plateforme d’actions et de projets qui vise à mettre en avant l’Afrique jeune, créative, innovante et verte en encourageant celles et ceux qui entreprennent et créent en Afrique.

SHARE AFRICA
SHARE AFRICA

Les lauréates WIA Young Leaders

WIA Young Leaders annonce les lauréates de sa première promotion
WIA Young Leaders annonce les lauréates de sa première promotion

L’initiative Women In Africa (WIA) a révélé cette semaine les membres de la première promotion du programme WIA Young Leaders. Élaboré en partenariat avec la Maison Dior, le leader mondial des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication Huawei et la banque d’affaires Lazard, le programme Young Leaders vise à accompagner et mettre en avant le potentiel de leadership des jeunes femmes africaines.

Cynthia Adediran Aïssy, Directrice Générale de KeyOpsTech et de Fruitizz CI ; Meganne Lorraine Ceday Boho, Manager Relations Clients et Médias chez African Media Agency, Présidente de La Ligue Ivoirienne des Droits des Femmes ; Dr. Nassifatou Koko Tittikpina, Responsable de la restructuration du Laboratoire National de Contrôle Qualité des Médicaments ; Néné Maïga, Directrice de cabinet du DG d’Orange Middle East and Africa et Nyama Marvel Gusona, Consultante Internationale pour l’autonomisation des jeunes à l’UNICEF : voici les lauréates qui composent la première promotion des WIA Young Leaders, identifiées parmi plus de 2000 candidatures et sélectionnées après des entretiens individuels avec un jury composé de 15 personnalités internationales.

Ces 5 Young Leaders ont été sélectionnées pour leurs parcours impressionnants et prometteurs, pour leur capacité de leadership exemplaire, pour leur projet professionnel et de vie, et pour leur engagement en faveur de l’Afrique.

Toutes partagent les mêmes valeurs et la vision d’une Afrique innovante et inclusive, où le monde des affaires est intimement lié à l’impact social. Elles aspirent à devenir décisionnaires aux plus hauts niveaux d’entreprises et d’organisations publiques, avec l’humilité, l’empathie, et la résilience qui les caractérisent. Leur force de conviction, alliée à un goût pour le travail en équipe, font d’elles les prochaines grandes leaders du paysage panafricain.

WIA et ses partenaires Dior, Huawei et Lazard s’engagent à accompagner les lauréates à atteindre leurs objectifs ambitieux. Un suivi personnalisé sera mis en place pour permettre d’identifier les besoins individuels des Young Leaders et de répondre avec précision à la montée en compétences de chacune d’entre elles.

La partie présentielle du programme se déroulera à Paris. Au cours de leur séjour en France, les Young Leaders auront l’occasion de faire de nombreuses rencontres, essentielles au développement de leur réseau. Elles auront également l’opportunité exclusive d’être accueillies au sein des bureaux de Huawei et du tout nouveau siège de la banque d’affaires Lazard Paris. Un évènement virtuel sera enfin organisé au retour de ce voyage, afin de permettre à la toute première promotion Young Leaders de WIA de partager son expérience.

Grâce à ce programme, les 5 Young Leaders auront la possibilité de développer leurs compétences, mais aussi d’être mises en réseau, de découvrir de nouvelles organisations, de rencontrer des personnalités phares des mondes des affaires, de la politique et des médias.

A PROPOS DE WIA INITIATIVE

Lancée en 2017, Women In Africa Initiative est la principale plateforme internationale consacrée au développement économique et au soutien des femmes africaines entrepreneuses et leaders. Ses différents programmes (WIA54, WIA Young leaders, WIA Code, WIA Mentoring) contribuent à la promotion d’une nouvelle génération de femmes africaines qui inventent un leadership inspirant pour changer positivement l’avenir du continent. Sa Fondation, WIA Philanthropy, a pour mission de soutenir, de mettre en lumière et en réseau les femmesafricaines actrices de l’économie: femmes entrepreneuses, leaders, managers et étudiantes !

A PROPOS DE DIOR Christian Dior est le couturier du rêve. Dès la fondation de sa Maison en 1946, consacrée par la révolution du New Look, son esprit visionnaire n’a eu de cesse de magnifier les femmes du monde entier. « Le tissu est le seul véhicule de nos rêves (…). La mode, en somme, est issue d’un rêve, et le rêve, c’est une évasion », écrivait-il. Au gré des saisons, cet héritage d’exception est réinventé par la passion et la modernité singulière des différents directeurs artistiques qui – de la haute couture aux parfums – font perdurer avec audace, la magie Dior, l’excellence de son savoir-faire et sa beauté du geste unique. Depuis l’arrivée de Maria Grazia Chiuri, en 2017, à la tête des collections féminines, la Maison s’engage plus que jamais au gré de dialogues créatifs et de programmes de mentoring prônant l’égalité des genres, la sororité et l’empowerment.

WIA Young Leaders annonce les lauréates de sa première promotion
WIA Young Leaders annonce les lauréates de sa première promotion

Chef de projet IT

Remote Work @Talenteum

Notre client Canadien est très fier de pouvoir être une entreprise modèle où ses employés sont au centre des processus. Notre mission quotidienne est de passionner nos employés et de leur assurer un équilibre entre leur vie personnelle et professionnelle. Il s’agit de notre façon de récompenser chacun pour son travail acharné.

Description du poste

Chez notre client, un «copilote» a comme rôle de cogérer une équipe et comme le nom le dit, la charge est séparée entre deux copilotes.

Si ça te parle de guider les membres de ton équipe ou bien de se retrousser les manches et de programmer un peu, c’est exactement ce qu’on cherche.

Pour donner un bon aperçu d’une journée, je dirais: 

  • Assurer la bonne gestion des différents projets et ses livrables
  • Assurer de bonnes relations avec le client interne
  • Assurer une gestion efficiente des effectifs de l’équipe
  • Être un catalyseur des meilleures pratiques
  • Programmer en C++ et connaitre le Java, .net et le JS 😉

Profil

Comment savoir si tu as le profil idéal? Je te laisse quelques pistes.

  • DEC ou BAC
  • 7 à 10 ans d’expérience en développement web
  • Français professionnel & anglais fonctionnel
  • Agent facilitateur au changement
  • Leadership participatif
  • Sens de l’organisation et autonomie
  • Facilité à vulgariser des situations complexes
  • Habile communicateur, esprit de synthèse, capable de rétroaction
  • Expérience à titre de chef d’équipe (atout)

Pour postuler c’est ici ? https://talenteum.com/je-suis-un-talent

Développeur web – Full Stack .Net

Remote Work @Talenteum

Notre client Canadien est très fier de pouvoir être une entreprise modèle où ses employés sont au centre des processus. Notre mission quotidienne est de passionner nos employés et de leur assurer un équilibre entre leur vie personnelle et professionnelle. Il s’agit de notre façon de récompenser chacun pour son travail acharné.

Description du poste

Tu aimerais participer à augmenter le niveau de maturité des produits?
Tu aimes le Front End, mais reste que tu as un petit parti pris pour le Back End?
Tu es une personne qui adore développer ses connaissances?
Notre équipe cherche un allié pour développer et maintenir les composantes de la logique de base

  • Des applications
  • Des bases de données
  • De l’intégration des données et autres applications,
  • Des API et des autres processus liés au back-end.
  • 60% BE – 40% FE

Nous cherchons un spécialiste d’interfaces web adaptatives, tant pour les sites web transactionnels que pour les applications web.

Quelqu’un qui participera à la conception des solutions web jusqu’à leur implantation. 

Profil du développeur web Full Stack idéal:

  • Expérience : 5 ans
  • AEC, DEC ou BAC
  • C# et ASP.NET
  • ASP classique et de technologies legacy de Microsoft 
  • Technologies client (AngularJS; Node.js; HTML5; CSS3)
  • Base de données SQL et procédures stockées
  • Outil de gestion de sources ( Git, Hg, SVN)
  • Techniques de programmation traditionnelles (expertise en orientation objet)
  • Atouts: Outils Microsoft (MVC, WCF, WebAPI, Unity, Entity Framework, NServiceBus)
  • Atouts: Patrons de conception (design patterns), orientation fonctionnelle, immuabilité, CQRS

Pour postuler c’est ici ? https://talenteum.com/je-suis-un-talent

Développeur web – Back End Java

Remote Work @Talenteum

Notre client Canadien est très fier de pouvoir être une entreprise modèle où ses employés sont au centre des processus. Notre mission quotidienne est de passionner nos employés et de leur assurer un équilibre entre leur vie personnelle et professionnelle. Il s’agit de notre façon de récompenser chacun pour son travail acharné.

Description du poste

L’équipe de Bonjour-Santé cherche son prochain développeur web!
Un joueur qui cherche des défis propres au Back-End.
Le programmeur Back End est responsable de créer et maintenir:

  • Composantes de la logique de base des applications
  • Des bases de données
  • De l’intégration des données et autres applications
  • Des API et des autres processus liés au back end

Le développeur web Back End idéal doit avoir:

  • Expérience 3 à 5 ans
  • Bonne connaissance d’une base de données SQL
  • Java, C#, Python, Ruby, Node.js
  • Bonne connaissance avec un éditeur de code performant
  • Connaissance et aisance avec un outil de gestion de sources (Git, Hg, SVN)
  • AEC, DEC ou Baccalauréat en informatique ou équivalent;

Pour postuler c’est ici ? https://talenteum.com/je-suis-un-talent

Les lauréats du concours Jeunes Talents des Rencontres de l’Océan Indien

LEs rencontres Océan Indien - Union Francophone UNION
Les rencontres Océan Indien - Union Francophone UNION

Des équipes du Sénégal, de la Côte d’Ivoire et du Burkina Faso sont gagnantes.

Depuis Le Grand Brief de ce mardi 8 juin, les candidats ont travaillé en autonomie pour produire des campagnes visant à sensibiliser le grand public sur les problématiques du climat

Un grand bravo aux 4 gagnants francophones :

GRAND PRIX – « Rendre visible l’invisible » 
Théodore Helft (France), Elysée Taboué (Côte d’Ivoire) et Ulysse Mouron (Sénégal) 
Agence Mc Cann Dakar

MENTION SPÉCIALE DU JURY – « Planet Life Matters » Franck-Olivier Goba (Côte d’Ivoire)
Agence Red Africa – Publicis Group

PRIX PÉDAGOGIQUE – EX-AEQUO
« Combien ça coûte ? »
Christian Nanou (Burkina Faso)
Agence Voodoo Group
« La création d’un Label d’optimisation de l’automobile au Niger » 
Yves Alexandre Bassono (Niger)
Agence Ag Partners

Les campagnes primées seront diffusées sur de nombreux supports partenaires : presse écrite, radio, télévision, affichage, numérique…

Merci à tous les participants francophones en provenance du monde entier ! 

Faure Essozimna Gnassingbé inaugure la Plateforme industrielle d’Adétikopé

Faure Essozimna Gnassingbé
Faure Essozimna Gnassingbé

Le Président de la République Togolaise, S.E.M. Faure Essozimna Gnassingbé, a procédé, dimanche 6 juin 2021, à l’inauguration de la Plateforme industrielle d’Adétikopé (PIA).

La réalisation de ce fleuron de la politique agro-industrielle du pays s’inscrit dans le cadre du Plan national de développement 2018-2022 (PND) et de la Feuille de Route Gouvernementale Togo 2025. Fruit d’un partenariat public-privé, cet écosystème intégré réparti sur 400 hectares et implanté à 15km au nord de la capitale jouera un rôle de catalyseur pour soutenir la croissance économique et l’intégration régionale.

Alimentée à 90% par des énergies renouvelables, cette zone industrielle intégrée va favoriser la transformation locale des matières premières notamment agricoles destinées à l’exportation, comme le coton, la noix de cajou, le soja. La PIA va accélérer l’intégration des filières et accélérer l’émergence de nouvelles industries à fort potentiel, dans les domaines de l’agro-alimentaire, du textile, de la pharmacie, des cosmétiques, de l’automobile et du recyclage. La PIA permettra à terme la création d’au moins 30 000 emplois et une montée en gamme de l’économie togolaise. 

Le chef de l’État, S.E.M. Faure Essozimna Gnassingbé, a affirmé : « La PIA témoigne une fois de plus de l’engagement du Togo pour l’industrialisation. Malgré le contexte difficile lié à la pandémie, le projet a démarré dans les temps. Il a été livré rapidement et est désormais opérationnel. La plateforme capitalisera sur les ressources naturelles abondantes de notre pays. Elle garantira que le Togo obtienne une meilleure part de la valeur ajoutée grâce au développement de l’industrie locale pour une croissance inclusive et créatrice d’emplois. Ce projet n’est qu’un exemple de ce qui peut être réalisé au Togo engagé dans une stratégie de développement solide combinant politique publique, investissements privés et soutien des bailleurs internationaux. »

Dans son allocution d’ouverture, le Premier ministre, Madame Victoire Tomégah-Dogbé, a déclaré : « Avec cette plateforme industrielle et le partenariat stratégique avec le groupe Arise IIP, nous allons engager une mutation structurelle de notre économie, qui va nous permettre d’atteindre nos objectifs en matière d’inclusion, de distribution équitable des bénéfices de la croissance et d’une meilleure protection sociale. »    

Monsieur Gagan Gupta, PDG d’ARISE IIP, le développeur du projet PIA, a commenté : « Le succès de cette plateforme industrielle illustre un partenariat réussi avec la République togolaise, laquelle a mis en place le cadre réglementaire nécessaire pour promouvoir l’industrialisation. Très peu de pays parviennent à transformer une vision en réalité, comme ici. Fin 2023, plus aucune balle de coton togolais ne sera exportée sans avoir été préalablement transformée, et la valeur des exportations textiles du Togo sera multipliée par 12 d’ici 2025, pour atteindre un milliard de dollars. Dans le domaine industriel, 600 motos électriques seront produites quotidiennement sur le site de la PIA dès le second semestre 2022, et une usine de recyclage sera également installée. »

L’inauguration de la Plateforme Industrielle d’Adétikopé intervient après celle, fin avril, de la centrale électrique de Kékéli, à Lomé-Port, opéré par le Groupe Eranove. Fruit, là aussi, d’une démarche partenariale, cet autre grand projet structurant va permettre d’augmenter de 50% la capacité de production électrique du pays ainsi que l’électrification de plus de 250 000 foyers (1,5 million de personnes).

Le Chef de l’État a également inauguré, vendredi 4 juin, le Lomé Data Centre, un hub technologique pour stocker et administrer des serveurs et des équipements informatiques d’entreprises et de l’administration. Ce nouvel équipement unique dans la sous-région, instrument indispensable à la consolidation de la souveraineté numérique de la République Togolaise, marque un jalon supplémentaire de la stratégie de transformation digitale du pays à l’horizon 2025.  

Toutes ces infrastructures contribueront à dynamiser l’économie et l’emploi au Togo, et exerceront un effet d’entraînement sur l’ensemble des secteurs. Confrontée à un choc d’une intensité exceptionnelle, avec la pandémie de Covid-19, l’économie togolaise a fait preuve d’une résilience remarquable en 2020, en réalisant 1,8% de croissance en dépit d’un contexte très dégradé. Le rebond de l’activité s’élèvera à 4,8% en 2021, selon les dernières prévisions gouvernementales, un chiffre appelé à progresser encore à l’horizon 2025. Reconnu parmi les pays les plus réformateurs du continent africain, le Togo a impulsé de profondes réformes pour augmenter l’attractivité du climat des affaires, la compétitivité du secteur privé et stimuler la création d’entreprises. Ces réformes lui ont permis de réaliser une progression de 59 places en deux ans au classement Doing Business de la Banque Mondiale. Garantissant à la fois la sécurité physique et juridique aux investisseurs, le Togo est une plateforme financière et logistique de premier ordre, comptant notamment les sièges de plusieurs groupes bancaires panafricains et disposant à Lomé du seul port en eaux profondes de la région qui a vu son fret augmenter en 2020.

Le leader Français des formations No-code arrive au Rwanda

NoCode Campus Kigali Nadia Mutoni
NoCode Campus Kigali Nadia Mutoni

En marge de la visite du président Macron au Rwanda, contournement officialise son partenariat avec l’académie No-Code Campus dédiée aux outils no-code bien sûr.  Si vous ne connaissez pas le no-code  sachez qu’il s’agit de l’une des dernières révolutions dans le développement  informatique.   Aujourd’hui, le no-code est en train de révolutionner la manière dont on conçoit les sites et applications mobiles.  Grâce à son partenariat avec contournement.fr, Nocode Campus propose désormais aux jeunes rwandais  francophones une formation aboutie qui leur permettra de devenir des nocodeurs.

Voici les propos recueillis auprès d’Erwan Kezzar le co-fondateur de Contournement.io, la formation de référence aux outils no-code en France. 

« On y apprend à « contourner » les obstacles techniques qui empêchent de lancer son site web, son appli ou autres outils numériques, via des formations en ligne et en face-à-face sur le no-code. 

La vision de Contournement est d’apprendre aux gens à faire eux-mêmes leurs projets, plutôt que de les déléguer à des expert-e-s, en tirant parti au maximum de la démocratisation des moyens de production numériques qu’ouvre le no-code.

No Code Campus
No Code Campus

Contournement fait un gros travail de sensibilisation, et lie souvent des partenariats solidaires (dans le cadre de l’association No-code for Good notamment).

Et c’est dans ce cadre que Contournement a décidé d’aider No-code Campus, en donnant aux élèves accès à certaines de ses formations gratuitement. 

En effet, le no-code est un domaine encore émergent, en plein développement, l’écosystème Français est en train de prendre une longueur d’avance, donc pourquoi pas les talents du Rwanda et d’autres pays du continent africain également ? 

La réappropriation des moyens de production numériques via les outils no-code est en effet une opportunité, avec un peu de motivation et de pratique, de s’appuyer sur de nouveaux domaines de création de richesse économique locale et à l’international.

D’autant que ces métiers ne requièrent pas d’avoir de niveau technique particulier à la base : avec de la motivation, de la logique, de la débrouillardise et de la persévérance, on peut atteindre un bon niveau en moins d’un mois. » 

C’est ainsi que la « French No-code »  s’invite au Rwanda à travers Contournement.io.

C’est donc une aubaine qui s’offre à la jeunesse rwandaise, puisqu’avec de telles connaissances, de nombreuses opportunités s’ouvrent à elle à la fin de la formation.  Cette collaboration entre No-code Campus  et Contournement marque une nouvelle étape dans les relations franco-rwandaises  en matière de développement informatique.

No Code Campus
No Code Campus

AfricArena au Sénégal 22 au 23 juin

Africarena 2020
Africarena 2020

AfricArena, en partenariat avec la DER/FJ – Délégation Générale à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes et le projet ITC United Nations #FastTrackTech Africa, est fier d’annoncer son Sommet pour l’Afrique de l’Ouest, qui aura lieu les 22 et 23 juin 2021, à Dakar, au Sénégal.

La conférence de deux jours présentera les pitchs de plus de 20 startups opérant dans la région, ainsi que des discours et des discussions de groupe des plus grands esprits du monde des affaires, de la technologie et de l’investissement en Afrique de l’Ouest.

“L’Afrique de l’Ouest est un écosystème solide et en pleine croissance – avec des startups technologiques incroyablement innovantes et une communauté d’investisseurs de plus en plus active. Ce programme de trois jours a pour but de réunir les principaux acteurs de l’écosystème et de promouvoir une collaboration qui fera progresser la région et le continent », a déclaré Christophe Viarnaud, fondateur d’AfricArena.

AfricArena (www.africarena.com) est un accélérateur d’écosystèmes technologiques africains. Par le biais d’une série d’événements (en direct et numériques), AfricArena accélère la croissance des startups technologiques et des écosystèmes dans lesquels elles opèrent en leur fournissant une plateforme où elles peuvent partager leur modèle économique, acquérir des réseaux précieux et obtenir des financements.

Pour Papa Amadou Sarr, Délégué général de DER/FJ, “le sommet AfricArena est le lieu incontournable pour une immersion en profondeur dans la technologie africaine. Pour cette édition régionale ouest-africaine, le Sénégal a l’honneur d’être le pays hôte grâce au soutien de la DER/FJ à cette initiative reconnue internationalement. Une manière de permettre aux startups ouest-africaines, aux fond VC, aux ESOs et autres acteurs majeurs de notre scène technologique et d’innovation de se réunir, de partager des expériences et des opportunités, de co-créer, de stimuler nos champions numériques et de renforcer l’exposition globale de notre écosystème. »

Une série d’événements régionaux

Cette année, AfricArena organise quatre événements hybrides dans quatre régions d’Afrique, jusqu’au sommet annuel AfricArena au Cap à la fin de l’année. Les événements régionaux réuniront des startups, des investisseurs et des entreprises opérant dans la région. Plus de 20 startups d’Afrique de l’Ouest seront sélectionnées pour participer à l’événement de Dakar. Tout en apportant une sensibilisation inestimable et des opportunités de networking à l’écosystème de la région, les événements serviront également de demi-finale, utilisée pour sélectionner les startups qui présenteront leur projet lors du Sommet Continental au Cap en décembre 2021.

Événements d’Afrique de l’Ouest

Le sommet de deux jours comprendra plus de 20 pitchs de startups ainsi que des présentations et des panels de discussions avec des leaders d’opinion de l’écosystème – les intervenants seront annoncés dans les semaines à venir.

La veille du Sommet, les startups seront également invitées à participer à un bootcamp d’une journée animé par un incubateur local, Impact Hub Dakar.

Les plus de 20 startups qui présenteront leurs solutions seront pour la plupart présélectionnées lors d’une série de sessions de présentation virtuelles qui auront lieu du 25 mai au 10 juin 2021 (la participation à ces événements numériques est gratuite, inscrivez-vous ici).

Parallèlement au Founders Bootcamp, se tiendra la très attendue Unconference des investisseurs d’Afrique de l’Ouest, sur invitation seulement, où des Investisseurs de start-ups axées sur l’Afrique et des fonds VC prendront part à des discussions et à des ateliers centrés sur le co-investissement et sur la manière de faciliter le processus d’investissement dans les start-ups technologiques du continent. Entre 20 et 30 investisseurs sont attendus.

« #FastTrackTech Africa soutient les entrepreneurs technologiques à travers l’Afrique de l’Ouest en leur offrant l’environnement, les compétences et les ressources nécessaires à leur croissance. Ces startups vont créer des emplois, du savoir et des technologies inclusives pour l’avenir. Elles contribuent également à la transformation numérique du continent et à l’atteinte des objectifs de développement durable en matière d’éducation, de santé, de travail décent, d’écologie et dans bien d’autres domaines. “AfricArena est un excellent partenaire pour nous soutenir en les aidant à générer des pistes commerciales et des investissements dans la région. Nous nous réjouissons de la réussite de cet événement, qui nous permettra de présenter et de célébrer l’écosystème technologique de l’Afrique de l’Ouest », a déclaré Robert Skidmores, chef de la compétitivité des secteurs et des entreprises à l’ITC.

Appel à projets du Social & inclusive business

Social and Inclusive Business Camp
Social and Inclusive Business Camp

Le Social & Inclusive Business Camp (SIBC) s’engage auprès des entrepreneurs à impact et lance son cinquième appel à candidatures, ouvert aux porteurs de projet de toute l’Afrique. Candidatez avant le 3 juillet 2021 pour avoir une chance de participer à l’aventure entrepreneuriale SIBC2021 !

Le social & inclusive business camp est devenu un rendez-vous clé pour les entrepreneurs sociaux africains. Depuis sa création en 2017 par le Campus AFD, le SIBC a accompagné dans leur passage à l’échelle près de 200 entrepreneurs ayant un impact social fort en Afrique.  Le SIBC a pour vocation d’accompagner, par des pédagogies innovantes et de la mise en réseaux avec d’autres entreprises, des mentors et des financeurs potentiels, les entrepreneurs dans le passage à l’échelle de leurs entreprises et de créer des liens durables entre les différents acteurs de l’écosystème.

UN PROGRAMME D’ACCOMPAGNEMENT DES ENTREPRENEURS LAUREATS

Les lauréats retenus à l’issue de l’appel à projets accéderont à un programme en trois dimensions afin de préparer au mieux les entrepreneurs à cette étape de développement :

  • Trois mois de formation en distanciel, construits comme un coaching entre pairs et regroupant classes virtuelles en direct, ressources en libre-accès et outils pratiques autour de 4 thématiques clés : le développement de son leadership et la construction de son équipe ; le passage à l’échelle ; la préparation à l’investissement et la mesure d’impact.
  • Une semaine de bootcamp durant laquelle la promotion d’entrepreneurs du SIBC se retrouve à Marseille pour approfondir les thématiques du programme, rencontrer investisseurs et partenaires potentiels et pitcher lors du sommet Emerging Valley.
  • Un dispositif de mentorat : les entrepreneurs participants bénéficient, en fil rouge, de l’accompagnement individuel d’un mentor issu des promotions précédentes, qui comme son « mentee » évolue dans le secteur de l’entrepreneuriat social et inclusif en Afrique, avec une expérience de changement d’échelle et/ou levée de fonds lui permettant de soutenir son mentee sur toute la durée du programme.

LA MISE EN RÉSEAU, UNE VALEUR AJOUTÉE DANS LE PARCOURS ENTREPRENEURIAL DES JEUNES PME AFRICAINES

En plus de formations thématiques visant à renforcer les compétences et capacités des entrepreneurs, le SIBC tire sa richesse de la force de sa communauté qui fédère un large réseau d’acteurs. La mise en réseau proposé par le programme s’articule autour de 3 axes :

Une communauté panafricaine d’alumni

Le SIBC s’engage pour fédérer cette communauté, en créant des ponts entre les promotions notamment à travers un parcours de mentorat dans lequel des alumni expérimentés s’engagent chaque année afin d’accompagner un participant tout au long de son parcours d’apprentissage, et des sessions collectives ouvertes à l’ensembles de la communauté SIBC. Le programme apporte ainsi sa pierre à l’édifice pour permettre aux entrepreneurs d’être mieux connectés entre eux et de développer des axes de collaboration (partenariats stratégiques, accès à de nouveaux marchés, contacts…).

Des rencontres inspirantes avec des entrepreneurs et experts tout au long du parcours d’apprentissage

L’échange entre pairs est au cœur de l’accompagnement du programme, et mobilise chaque année un grand nombre d’experts sur le continent : investisseurs, spécialistes des ressources humaines, coaches en management ou encore de nombreux dirigeants d’entreprises en croissance.

La création d’opportunités de financement lors du Bootcamp et du sommet EMERGING Valley

Les entreprises accèdent au sein du programme à un panel d’investisseurs et partenaires au sens large, leur permettant de nouer un premier contact clé et pouvant se concrétiser en un partenariat. Lors de l’édition 2020, 40 investisseurs et partenaires financiers ont répondu présent pour rencontrer la cohorte SIBC lors d’un événement « speed meetings ».

Vous souhaitez candidater à l’édition 2021 ? Rendez-vous dès maintenant sur la plateforme suivante afin de consulter les critères d’éligibilité et de déposer votre dossier. Le programme est ouvert aux entrepreneurs de toute l’Afrique,

Les candidatures sont ouvertes du 21 mai au 3 juillet 2021.

Calendrier :

  • 21 mai – 3 juillet 2021 : dépôt des candidatures
  • 19 Juillet 2021 : instruction des dossiers et sélection des 40 participant(e)s retenus par le consortium et comité de sélection
  • Fin juillet 2021 : annonce des candidats retenus
  • Fin août 2021 : début du programme et de la formation à distance
  • Début décembre 2021 : Bootcamp et sommet EMERGING Valley

Pour en savoir plus : https://www.socialbusinesscamp.com/

StarNews Mobile et Orange dans les contenus vidéo de créateurs locaux

Starnews Mobile
Starnews Mobile

StarNews Mobile, principal réseau vidéo mobile permettant aux célébrités et aux influenceurs de monétiser leurs bases de fans en Afrique, a annoncé son accord avec Orange Content, filiale de Orange S.A., pour donner l’accès à sa plate-forme vidéo de haute qualité aux 150 millions d’abonnés d’Orange dans 15 pays d’Afrique.

Grâce à cette alliance, StarNews Mobile et Orange rempliront leur engagement commun de fournir aux abonnés d’Orange le contenu vidéo local le plus pertinent, tout en créant un nouveau modèle de revenus pour les créateurs de contenu africain, talentueux, mais trop souvent négligés.

Le défi est de taille : l’Afrique compte 650 millions d’utilisateurs de téléphones mobiles, soit un nombre supérieur à celui des États-Unis et de l’Europe, et la grande majorité des Africains reçoivent leurs informations quotidiennes sur leur téléphone mobile, ce qui en fait l’un des marchés les plus importants et les plus dynamiques en matière de téléphonie mobile.

La vidéo mobile offre la meilleure expérience de contenu. Cependant, le coût d’un smartphone reste souvent prohibitif, pouvant atteindre près de 400 % du revenu mensuel dans de nombreux pays. En outre, le streaming vidéo utilise beaucoup de données, dont les prix restent élevés pour les consommateurs grand public. En raison de ces défis, les solutions actuelles de streaming mobile sont inadéquates pour le continent et les modèles économiques actuels sont incapables de fournir un revenu concret aux millions de créateurs de contenu sur le continent.

Cet accord avec Orange, premier opérateur de télécommunications en Afrique francophone, marque une étape importante dans la mise en place d’un modèle économiquement viable qui garantira la création de contenus locaux de qualité en Afrique et leur diffusion auprès des consommateurs.

« Le partenariat avec Orange représente un vrai coup d’accélérateur dans notre stratégie d’expansion, alors que nous continuons à créer des partenariats avec d’innombrables créateurs talentueux à travers le continent africain qui travaillent dur pour produire un contenu de grande qualité, qu’il s’agisse de musique, de sport, de comédie, de divertissement, de culture, etc., a déclaré Guy Kamgaing, PDG de StarNews Mobile. À mesure que les services de StarNews deviennent plus accessibles et offrent une expérience de streaming unique aux consommateurs grâce à un abonnement abordable, nous pensons que la consommation de contenu local sur mobile en Afrique va décoller de manière massive. Cela fait maintenant plus d’un an que nous travaillons avec Orange au Cameroun et ils nous ont montré leur volonté de soutenir ce mouvement. Grâce à la présence panafricaine d’Orange, nous serons en mesure d’offrir rapidement cette même opportunité à tout créateur de contenu local, de Douala aujourd’hui à Abidjan, Dakar, Bamako, Conakry ou Madagascar demain. Grâce à Orange, la création d’un écosystème de contenu local en Afrique va devenir une réalité. »

StarNews Mobile a construit un service qui excelle par sa simplicité, son accessibilité et l’attractivité de son contenu. Utilisant une technologie propriétaire pour faciliter un marché dual, StarNews Mobile aide les créateurs de contenu à gagner de l’argent grâce à leur talent tout en permettant aux consommateurs de profiter d’un contenu en streaming sur leurs téléphones mobiles à un prix avantageux. Les abonnés peuvent profiter du contenu d’une grande variété de chaînes, notamment des actualités quotidiennes, du divertissement, du sport, de la mode, de la cuisine et plus encore.

Lancé en Côte d’Ivoire en 2017, StarNews Mobile, est une opportunité pour tout créateur de contenu de se connecter avec des millions de jeunes fans enthousiastes à travers le continent et la diaspora tout en créant une nouvelle source de revenus durable. Le réseau StarNews représente un tremplin et un coup de projecteur pour les créateurs de contenus nouveaux et émergents d’Afrique et du monde entier.

Aujourd’hui, StarNews est disponible en Côte d’Ivoire, au Cameroun, au Congo, en Afrique du Sud et au Nigeria, et bientôt au Ghana, au Bénin et au Sénégal. StarNews a établi des partenariats avec de grands opérateurs mobiles panafricains tels que MTN, Moov et maintenant Orange afin de distribuer du contenu vidéo exclusif et de qualité directement aux utilisateurs.

Pour plus d’informations sur StarNews Mobile : https://www.starnewsmobile.com/

Starnews Mobile
Starnews Mobile

Des entreprises françaises valorisées au Rwanda

les entreprises françaises au Rwanda avec Emmanuel Macron
les entreprises françaises au Rwanda avec Emmanuel Macron

Une délégation de 15 dirigeants d’entreprises, dont la majorité représente de grandes sociétés basées en France, a exprimé hier son intérêt pour l’extension de l’empreinte de leurs entreprises au Rwanda, avec des domaines d’investissement identifiés comme la santé, le transport et la logistique, l’énergie, les TIC et l’agriculture.

La délégation, qui fait partie de la délégation accompagnant le Président français Emmanuel Macron dans sa visite de deux jours au Rwanda, a été reçue jeudi soir par Clare Akamanzi, le PDG de Rwanda Development Board (RDB) qui leur a présenté les opportunités disponibles dans le pays.

La délégation était composée de neuf entreprises – EUTELSAT, ATM Innov, EGIS, M2i Lifesciences, TACTIS-INNOPOLIS, GFI-INETUM, Digital Skills Foundation, POMA, HYDRONEO – qui explorent des opportunités d’investissement, et trois qui sont déjà au Rwanda – à savoir Sher Artelia, Bolloré Logistics, et Canall+.

« Nous sommes très désireux de commencer une nouvelle relation avec chacun d’entre vous et les entreprises qui sont ici aujourd’hui. J’espère que nous pourrons développer les relations que nous avons avec la France en matière d’investissement », a déclaré M. Akamanzi.

Jérôme Baconin, conseiller économique régional de la France pour l’Afrique de l’Est et l’Océan Indien, a déclaré que de nombreuses entreprises françaises s’intéressent au Rwanda, notamment en raison de la réputation mondiale du pays dans le domaine des affaires.

Il a déclaré que la visite du Président Emmanuel Macron est un encouragement pour les investisseurs français à venir au Rwanda et à investir.

Il a déclaré que la France et le Rwanda ont signé une feuille de route des projets qu’ils veulent réaliser ensemble.

« Ce que nous visons dans cette feuille de route, ce sont les projets dont l’aspect socio-économique a un fort impact positif sur la population dans le domaine du développement durable », a-t-il déclaré, citant la modernisation du système de santé et le développement des transports.

« Je pense que bientôt vous aurez de nouveaux investissements français au Rwanda », a-t-il déclaré.

Facilitation

Parlant des interventions que la France fournira aux entreprises françaises intéressées à investir au Rwanda, il a dit qu’elle fournira des subventions – s’élevant à 1 million d’euros par projet – pour soutenir des activités telles que des études de faisabilité ainsi que des phases pilotes de projets lorsqu’il est nécessaire de faire des essais à petite échelle pour s’assurer qu’ils fonctionnent avant de les entreprendre complètement.

« Les subventions pour les études de faisabilité sont destinées à évaluer, avec les autorités rwandaises, le meilleur type de projet à mettre en œuvre », a-t-il déclaré, ajoutant qu’elles soutiendront le modèle de financement du partenariat public-privé.

Kigali Sustainable city
Kigali Sustainable city

Christian Le Roux, le secrétaire général de M2i Lifesciences, a voulu savoir comment une entreprise peut s’établir au Rwanda.

« Nous sommes venus avec cette délégation afin de partager notre innovation dans la protection des cultures cultivées dans le pays contre les parasites. Comment pouvons-nous démarrer un partenariat, effectuer des essais et être en mesure de distribuer nos produits dans le pays ? », a-t-il demandé.

M. Akamanzi a déclaré que le RDB facilite la création d’entreprises et les met en relation avec les institutions disposant de connaissances techniques sur un produit, en fonction de sa nature, soulignant que toutes les questions liées à l’agriculture sont traitées en partenariat avec le ministère de l’Agriculture et des Ressources animales.

Adelin Kajangwe, responsable de la promotion des investissements au RDB, a déclaré que le Rwanda est performant en termes d’état de droit – bonne gouvernance, lutte contre la corruption – et dispose d’un environnement propice aux affaires.

En ce qui concerne les incitations, il a donné l’exemple du Rwanda qui offre une exonération fiscale de 7 ans aux grands investisseurs de plus de 50 millions de dollars dans des projets de développement importants.

Profil de certaines des entreprises :

Tactis

Fort d’une expérience de plus de 25 ans depuis 1995, Tactis réalise des projets de déploiement d’infrastructures numériques comprenant l’accès haut débit, les réseaux mobiles 4G, 5G, le Wifi, les dorsales en fibre optique, les câbles sous-marins, les communications spatiales, les datacenters, les radios professionnelles, les réseaux intérieurs, les réseaux de capteurs, la vidéoprotection, entre autres. www.tactis.fr

Tactis au Rwanda :
Tactis travaille avec le ministère de l’Innovation et des TIC du Rwanda, la ville de Kigali et leurs partenaires et œuvrent à l’amélioration de la durabilité de la ville de Kigali par la mise en place d’un projet numérique ambitieux : un portail citoyen innovant doublé de l’implémentation d’un réseau de capteurs pour contrôler la qualité de l’air. Ce projet sera réalisé grâce à un financement de la Direction Générale du Trésor Français. En savoir plus.

Capteurs et plateforme de gestion et de contrôle de la pollution à Kigali - Photo Thierry Barbaut
Capteurs et plateforme de gestion et de contrôle de la pollution à Kigali – Photo Thierry Barbaut

Egis

Egis est une société d’ingénierie active dans les secteurs du développement, des infrastructures de transport, de l’eau et de l’environnement. Elle travaille dans l’exploitation des routes et des aéroports.

En 2019, elle a réalisé un chiffre d’affaires annuel estimé à 1,22 milliard d’euros.

Eutelsat

Eutelsat est un opérateur de satellites. Assurant la couverture de l’ensemble du continent européen, du Moyen-Orient, de l’Afrique, de l’Asie et des Amériques, il est le troisième opérateur de satellites au monde en termes de revenus.

Les satellites d’Eutelsat permettent la diffusion de près de 7 000 chaînes de télévision, dont 1 400 en haute définition, et de 1 100 stations de radio vers plus de 274 millions de foyers recevant le câble et le satellite. Ils répondent également aux besoins des services de contribution à la télévision, des réseaux d’entreprise et des communications mobiles.

M2i Life Sciences

Il s’agit d’une entreprise spécialisée dans les technologies durables pour l’agriculture et la santé. Elle propose des produits de biocontrôle. Elle est notamment spécialisée dans la fourniture de phéromones pour la gestion écologique des nuisibles, qui est une alternative aux insecticides traditionnels.

Inetum

Inetum est une entreprise de services numériques, dont les activités comprennent les systèmes informatiques et le conseil en logiciels. Au 31 décembre 2018, l’effectif du groupe s’élève à 19 000 personnes, dont 10 000 en France.

Il a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 1,6 milliard d’euros en 2019.

Poma

C’est une entreprise qui fabrique des systèmes d’ascenseurs à câble, notamment des télésièges fixes et amovibles, des téléphériques, des transporteurs de personnes et des ascenseurs de surface. Elle a installé environ 7 800 appareils pour 750 clients dans le monde entier.

Son seul concurrent important est le groupe Doppelmayr Garaventa, basé en Autriche et en Suisse.

Hydroneo

Il s’agit d’une entreprise qui développe, finance, construit et exploite des installations d’énergie renouvelable de petite et moyenne taille. En tant qu’entreprise totalement intégrée, elle est engagée dans chaque étape de la chaîne de valeur d’un projet.

Elle a indiqué que son expertise dans les différentes phases d’un projet s’adapte constamment aux spécificités locales : identification du site, conception technique, responsabilité sociale et environnementale, financement, construction, exploitation et maintenance.

Thierry BARBAUT et Stéphane LELUX à Kigali
Thierry BARBAUT et Stéphane LELUX à Kigali

Les bourses du MIT pour des africains

MIT Massachusetts Institute of Technology
MIT Massachusetts Institute of Technology

Le Centre Legatum pour le Développement et l’Entrepreneuriat du Massachusetts Institute of Technology (Cambridge, MA) lance la bourse inaugurale Legatum Foundry Fellowship pour les entrepreneurs d’Afrique.

Les demandes de bourse seront ouvertes le 3 mai 2021 pour les entrepreneurs travaillant et vivant en Éthiopie, au Ghana, au Nigeria, au Kenya, au Rwanda, au Sénégal et en Ouganda.

Le Centre Legatum pour le Développement et l’Entrepreneuriat deMIT a lancé la bourse Foundry, un programme de leadership inédit destiné aux entrepreneurs accomplis qui réfléchissent à leur rôle dans le façonnement de l’avenir des écosystèmes d’innovation africains dans lesquels ils travaillent et vivent. À un point d’inflexion dans leur parcours entrepreneurial, les boursiers apprendront du corps professoral du MIT, comment entrer en contact avec des investisseurs et élargir leur réseau de pairs innovateurs. La bourse est ouverte aux entrepreneurs qui travaillent et vivent en Éthiopie, au Ghana, au Nigeria, au Kenya, au Rwanda, au Sénégal et en Ouganda.

S’inspirant de la philosophie du MIT, Mens et Manus (l’esprit et la main), la Foundry est un lieu où les entrepreneurs se réunissent pour réfléchir à leurs réalisations et façonner leur avenir en tant que leaders dans le domaine des affaires, de l’investissement et de la gouvernance. Le programme comprend un programme interactif en ligne suivi d’une session immersive de trois semaines qui rassemble la cohorte pour explorer les écosystèmes axés sur l’innovation.

La bourse de la Foundry offre une occasion unique d’apporter les ressources et les connaissances du MIT à ces écosystèmes d’innovation critiques et, surtout, offre également au MIT l’opportunité d’apprendre des leaders qui ont réussi et de leurs solutions innovantes.

Le professeur Fiona Murray, Directrice de la Faculté du Legatum Center, a décrit cette opportunité d’étendre le réseau d’innovation du MIT « [comme] un moment pour les boursiers de réfléchir à leur parcours [entrepreneurial] qui nous permet également d’apprendre d’eux. Ils peuvent utiliser cette expérience comme un tremplin pour passer à l’étape suivante du leadership à l’échelle de l’écosystème. »

« En tant qu’école dédiée à la formation de leaders innovants et dotés de principes qui améliorent le monde, le MIT Sloan se réjouit d’accueillir les boursiers du Legatum Foundry à Cambridge et dans la communauté du MIT », a déclaré David Schmittlein, John C Head III, doyen de la MIT Sloan School of Management.

Une collaboration entre le Legatum Center et la Fondation Mastercard

Grâce à cette collaboration avec la Fondation Mastercard, la bourse de la “Fonderie”  renforcera l’impact des leaders qui résolvent des problèmes complexes, créent des emplois et apportent des services essentiels à des millions de personnes grâce à des modèles d’entreprise axés sur l’innovation.

Avec la population jeune qui connaît la croissance la plus rapide au monde, l’Afrique abrite 4 des 5 économies à la croissance la plus rapide au monde, possède le taux d’urbanisation le plus rapide au monde, et possède une classe moyenne en pleine expansion qui devrait augmenter les dépenses des entreprises et des consommateurs. L’innovation et les solutions entrepreneuriales sont une composante essentielle de la croissance continue et de la prospérité des personnes et des sociétés sur le continent. Les entrepreneurs africains créent des entreprises qui offrent des leçons en matière d’inclusion, de durabilité et de création de valeur qui s’étendent bien au-delà du continent. En tant que réseau mondial d’entrepreneurs, d’investisseurs et de leaders d’opinion, « La Fonderie » du Legatum Center offre une plateforme permettant aux leaders de partager leurs histoires et d’envisager de nouvelles façons d’étendre leur impact dans leurs écosystèmes locaux et dans le monde entier.

Dina Sherif, Directrice exécutive du Legatum Center, déclare : « Pour propulser l’Afrique vers l’avant et rester compétitif au niveau mondial, nous avons besoin d’un entrepreneuriat axé sur l’innovation et d’écosystèmes entrepreneuriaux africains robustes. La bourse Foundry soutient les entrepreneurs africains pour qu’ils deviennent des leaders entrepreneuriaux qui travaillent avec diverses parties prenantes pour renforcer et améliorer leurs écosystèmes. »

La bourse Foundry est un programme compétitif destiné aux leaders entrepreneuriaux exceptionnels travaillant en Éthiopie, au Ghana, au Kenya, au Nigeria, au Rwanda, au Sénégal et en Ouganda. Le Legatum Center acceptera les nominations du 3 mai au 20 mai 2021. Une nomination n’est pas nécessaire pour postuler ; les entrepreneurs sont invités à soumettre une candidature directement. Tous les candidats doivent soumettre un dossier de candidature complet avant 23h59 EDT le 10 juin 2021 pour être pris en compte dans le programme.

Les informations relatives aux nominations et aux candidatures sont disponibles sur legatum.mit.edu/foundry-fellowship/. Une première cohorte de 15 boursiers sera sélectionnée pour ce programme entièrement financé.

Les demandes des médias doivent être adressées à Courtney Schoon à l’adresse cschoon@mit.edu.

À propos du Legatum Center for Development & Entrepreneurship du MIT

Le Centre Legatum pour le l’Entrepreneuriat et le Développement a été fondé en 2007 sur la conviction que l’innovation est la clé pour accroître la prospérité et construire des systèmes plus inclusifs dans les marchés émergents. Le centre favorise une prospérité plus inclusive en ouvrant la voie à la prochaine génération d’agents du changement qui, grâce à un leadership entrepreneurial fondé sur des principes, créeront de bons emplois, transformeront les systèmes et amélioreront les vies. Nous sommes une communauté mondiale basée au MIT, qui s’appuie sur le talent, les réseaux, la présence et l’expertise de l’Institut pour inspirer et équiper ceux qui veulent faire évoluer leurs idées vers un impact évolutif. Nous construisons des parcours inclusifs au sein du MIT, mais aussi entre le MIT et les écosystèmes des marchés émergents. Ces voies ne soutiennent pas seulement les entrepreneurs sur le terrain, elles alimentent également la recherche et le leadership intellectuel.

France Rwanda : BPI accroit la coopération économique

BPI France
BPI France

Bpifrance signe trois protocoles d’accord avec des organisations rwandaises afin de renforcer la coopération économique entre la France et le Rwanda et dynamiser leurs écosystèmes d’entreprises

Le 27 mai 2021, Bpifrance a signé trois protocoles d’accord destinés à renforcer la coopération économique et entrepreneuriale entre la France et le Rwanda, avec :

  • Rwanda ICT Chamber, afin d’accélérer la mise en relation des entreprises tech rwandaises avec les investisseurs et les entreprises françaises et européennes, à travers la plateforme EuroQuity[1], un service de Bpifrance qui vise à accompagner les entreprises innovantes dans leur recherche de financement et de partenariats commerciaux en France, en Europe et en Afrique ;
  • Imanzi Business Institute (IBI), pour mettre à disposition des entrepreneurs rwandais la plateforme de formation en ligne Bpifrance Université E-learning, afin d’accompagner les entrepreneurs à monter en compétence et à orienter leurs stratégies et axes de développement.
  • AGDF Corporate Trust (précédemment connu sous le nom d’Agaciro Development Fund), afin de conseiller le fonds souverain dans son développement et son positionnement stratégique mais aussi de développer des actions communes en termes d’investissements directs et indirects.

Pascal Lagarde, Directeur exécutif de Bpifrance en charge de l’International, de la Stratégie, des Etudes et  du Développement, a déclaré : « Bpifrance est depuis longtemps fortement impliqué dans l’accompagnement du développement d’un solide écosystème entrepreneurial et financier sur le continent africain. Nous nous félicitons de la signature de ces trois accords qui ouvrent la voie à des échanges fructueux avec le Rwanda, permettant ainsi de développer des opportunités pour nos entreprises de part et d’autre en termes d’innovation, d’exportation et d’investissement. »
 
Ces signatures se sont tenues en marge de la visite du Président de la République française, Emmanuel Macron le 27 mai dernier en république du Rwanda. Elles se font aussi en partenariat étroit avec Rwanda Finance Ltd, partenaire de Bpifrance et le bureau de Bpifrance Afrique orientale et australe basé à Nairobi.
 
Ces partenariats s’inscrivent dans le cadre des missions de Bpifrance, qui sont d’une part de développer des relations partenariales de long terme avec des fonds souverains étrangers afin de réaliser des opérations de co-investissement en France et à l’international, comme ici avec l’AGDF Corporate Trust. D’autre part, de renforcer les liens entre les écosystèmes financiers et entrepreneuriaux rwandais et français, afin de favoriser l’accès aux financements et les opportunités commerciales des entreprises, comme l’illustre la convention signée avec Rwanda ICT Chamber. Enfin, l’accord avec Imanzi Business Institue souligne la conviction portée par Bpifrance qui est celle de la nécessité d’accompagner les dirigeants des TPE et PME, en compétences et en ressources extra financières pour assurer la croissance de ces entreprises.
 
Le Rwanda a une économie stable et résistante avec un taux de croissance moyen de 8,6 % sur 10 ans. Il a également été classé premier pays d’Afrique pour la transparence de son gouvernement selon le rapport 2019 de Transparency International. Le pays offre un environnement favorable aux entreprises, d’excellentes infrastructures, une compétitivité au niveau des coûts et bénéficie d’un leadership fort avec la Vision 2035 et 2050 du gouvernement du Rwanda. Le Rwanda a également établi des relations commerciales avec d’autres marchés africains et est un acteur clé dans la création de l’Accord de libre-échange continental africain (AfCFTA).

Tactis valorisé sur le projet ville durable au Rwanda

En direct de #Kigali un projet passionnant et innovant bientôt présenté en détail et mis en avant lors de la visite historique du Président Emmanuel Macron ces 27 et 28 mai.

Une coopération franco-rwandaise sur un enjeu de #villedurable avec l’entreprise française Tactis en partenariat avec la ville de #Kigali et l’état du #Rwanda. Un projet de plusieurs volets dont un système ce capteurs de pollution répartis dans des points stratégique de la ville. Et un second projet : une application numérique à disposition des citoyens pour signaler des dysfonctionnements dans la ville auprès des agents de l’états. Des plateformes collaboratives à impact positif possible grâce à une implication conjointe des citoyens et politiques publiques. #dgtresor #fasep #infranum #smartafrica Fédération InfraNum
#Data protection de l’#environnement #civictechs #numérique #plateformes #cartographie

Le projet Kigali Ville Durable compte parmi les premiers projets de plateforme citoyenne visant à améliorer la durabilité et la qualité de vie des habitants d’une zone urbanisée sur le continent Africain. Selon Paula Ingabire, ministre des TIC du Rwanda : “Ce projet vient à temps non seulement pour l’ Afrique mais aussi pour les pays développés qui sont à la recherche de moyens pour être plus efficaces.

Réplicable à d’autres ville en Afrique, les ambitions de cette plateforme montrent à quel point le numérique peut apporter une réponse adaptée aux problématiques d’urbanisation et de boom démographique en Afrique. Pour rappel, à l’horizon 2050, plus d’1,2 milliard d’africains seront urbains, soit trois fois plus qu’aujourd’hui.

Tunisia Digital Summit

Tunisia Digital Summit 2021
Tunisia Digital Summit 2021

La 5ème édition de Tunisia Digital Summit se déroulera les 02 et 03 juin 2021 sous un format hybride : à la fois en présentiel à l’hôtel Laico Tunis et en virtuel via « TDS Online Event Platform » by Eventoo.

La conférence est placée sous l’égide du Ministère des Technologies de la Communication et sera inaugurée par le Chef du Gouvernement. Le thème de cette 5ème édition est : « Les défis de la transformation digitale Post Covid ».

TDS allie la force du présentiel avec l’immensité du virtuel.

Profitez de l’hybridation de TDS!

Un thème porteur au vu des mutations technologiques et organisationnelles accélérée par la perturbation de la Covid-19.Un format inédit sur deux jours pour découvrir et explorer les nouvelles avancées en matière d’innovation et des technologies émergentes : mobile, intelligence artificielle, robotique, Big Data, cloud, cybersécurité, expérience client…

TDS est le rendez-vous annuel phare de la transformation digitale, qui permettra à tous les acteurs du digital avec les experts nationaux et internationaux et les décideurs du secteur public et privé d’échanger sur les défis complexes de la transformation digitale induite par ce contexte inédit.

Le Comité organisateur du sommet veille à ce que les thématiques qui seront abordées soient riches en contenus et enrichissantes aussi pour les participants. Parmi les thématiques qui seront abordées :Livrer au rythme : ce que le secteur public a appris pendant la pandémie

LEADERSHIP À L’ÈRE DU NUMÉRIQUE

Le rôle du secteur financier post covid au secours de l’économie digitale

  • Accélération des services financiers numériques, de l’inclusion financière et de la monnaie numérique grâce au COVID
  • Le challenge des banques de demain : Investir dans la technologie
  • Données et Cybersécurité : les enjeux sont devenus stratégiques
  • Implémenter la technologie Cloud, pourquoi maintenant ?
  • Comment implémenter intelligemment l’Intelligence Artificielle IA?

 Autant de sujets que Tunisia Digital Summit va mettre en lumière lors de cette édition. Le choix de ces différents thèmes, qui n’est pas bien sûr fortuit, vise à alimenter la réflexion sur les défis de la transformation digitale Post Covid. 2000 participants sont attendus dont 500 en mode présentiel et 1500 en virtuel, 50 exposants à l’Hôtel Laico et en ligne sur TDS Event Platform vont vous informer des nouvelles solutions et innovations technologiques qui vont accompagner les 2300 visiteurs qui vont participer en mode physique et virtuel.

La seconde édition de TDS Hackathon “HACK4DATA” organisé en collaboration avec l’agence de promotion de l’industrie et de l’innovation (APII), Business and Decision et soutenue par la GIZ, permettra de connecter en direct 6 groupes d’étudiants les plus talentueux des écoles d’ingénieurs en Tunisie pour trouver des solutions digitales innovantes dans le domaine des Data Science, Data Analysis et Data Visualization autour de la thématique “Suivi de l’évolution de la pandémie du Covid” proposée par notre partenaire Business and Decision.

TDS 2021 propose un programme exceptionnel et diversifié qui vise à mettre l’innovation au cœur des deux jours de la rencontre. Le programme élaboré sous forme de 5 activités offrira aux participants différentes palettes : s’informer lors des conférences, fédérer les experts pour discuter des nouvelles tendances et idées que l’administration et les entreprises peuvent utiliser pour lancer des projets de transformation numérique, contracter des partenariats lors des séances B2B et lors des différents moments forts qui ponctueront les deux jours :les 5 activités de TDS se présentent comme suit : 

  1. TDS EXPO : Cette édition va offrir des espaces d’exposition physique à l’hôtel laico ainsi que des E-booth (espaces d’exposition en ligne).
  2. TDS Conférences : Deux journées de formation, d’inspiration, de conseils, de partage d’expériences et de témoignages à travers 9 panels & 18 keynotes et participation de 90 speakers internationaux et nationaux & autour de la thématique “Les défis de la transformation digitale Post Covid”.
  3. TDS Workshops et Master Class : Deux journées de formation et d’échange par des experts et des leaders internationaux et nationaux du digital qui vont proposer pas moins de 24 ateliers techniques et des formations sur des thématiques d’actualité et participation de 48 experts.
  4. TDS Hackathon : Permet d’attirer et de connecter des étudiants tunisiens les plus talentueux des écoles d’ingénieurs​, leur offre une atmosphère confortable et vivifiante, les encourage à utiliser leurs compétences et leur permet de développer des idées créatives et innovantes autour d’une thématique/problématique bien définie par notre Sponsor.
  5. TDS Networking : En plus du networking B2B réalisées physiquement au Laico-Hotel. TDS a mis en place la plateforme d’événement en ligne Eventoo.tn qui permet l’organisation du match-making ciblées et des rendez-vous en one-to-one en ligne entre les participants en mode physique et les participants en mode virtuel.

 Comme à l’accoutumée, une panoplie d’intervenants, d’experts nationaux et internationaux viendront animer TDS 2021. Cette année encore de nombreux partenaires participeront à cet événement au rang desquels figurent : l’agence de coopération internationale allemande pour la coopération (GIZ), 19 acteurs publics et privés et 30 startups.

Changenow 2021 Solutions pour la planète

CHANGENOW
CHANGENOW

CHANGENOW 2021
J-7 AVANT LE PLUS GRAND ÉVÉNEMENT
DES SOLUTIONS POUR LA PLANÈTE
 
●      ChangeNOW 2021, qui aura lieu en ligne les 27, 28 et 29 mai 2021, rend sa plateforme digitale accessible dès aujourd’hui pour découvrir les 1000 solutions et 500 intervenants à impact positif pour la planète.
●      L’espace de networking est également ouvert, pour préparer en amont des RDV en ligne avec des innovateurs, investisseurs, grands groupes et acteurs du changement.
●      De nouveaux intervenants exclusifsannonces ministérielles et temps forts à ne pas manquer à découvrir dans moins de 7 jours !
●      Le programme complet à découvrir :ici et les accréditations média ici.
 
LES NOUVEAUX INTERVENANTS EXCLUSIFS ANNONCÉS 
De nouveaux intervenants internationaux confirment leur présence en ligne. Parmi eux :
 
●      Jean Michel Blanquer, Ministre de l’Education Nationale et Olivia Grégoire, Secrétaire d’État à l’Économie Sociale et Solidaire, seront présents pour lancer officiellement des programmes liés à la transition écologique et sociale. Barbara Pompili, Ministre de l’Écologie, interviendra également dans le cadre de la Grande cause environnement de Make.org.
●      Sir Richard Branson, entrepreneur britannique et fondateur de Virgin annoncera la coalition 1000 Ocean Startups : un rassemblement de l’écosystème mondial d’incubateurs, d’accélérateurs et de VC soutenant les startups pour l’impact sur l’océan.
●      Emmanuel Faber, dirigeant d’entreprise français et ancien PDG du groupe Danone. 
●      Otto Scharmer, maître conférencier au MIT et auteur de la Théorie du U, qui propose des innovations de rupture en adéquation avec le besoin d’un nouveau modèle de société qui ne repose pas sur les expériences passées.
●      Frédéric Laloux, l’auteur du livre “Reinventing Organizations”, best-seller qui remet en question les modèles de management classiques.
●      Pavan Sukhdev, économiste Indien et Directeur monde de WWF, le Fonds mondial pour la nature.
●      Kat Borlongan, Directrice de la mission French Tech et spécialiste de l’innovation numérique. Kate Borlongan interviendra dans le cadre du récent lancement de French Tech for the Planet.
●      Gabriela Hearst, Directrice de la création de la maison Chloé et personnalité emblématique de la mode durable
●      Stéphane Le Foll, ancien ministre et porte-parole du gouvernement, Maire du Mans et Président de l’initiative 4 pour 1000, qui consiste à fédérer les acteurs volontaires du public et du privé dans le cadre du Plan d’action Lima-Paris.
   
 
UNE PLATEFORME DE NETWORKING MONDIAL POUR LE SECTEUR DE L’IMPACT PENDANT 3 JOURS 
ChangeNOW est un temps fort unique pour échanger directement avec les innovateurs, les investisseurs, les grands groupes et les acteurs du changement.
Pendant 3 jours, les visiteurs disposant d’un Pass business ou Investor pourront :
 
●      Echanger en direct avec les exposants et les partenaires, et rejoindre des tables de networking pour créer de nouvelles connexions pour leur activité
●      Planifier des réunions d’affaires avec les participants, les solutions, les partenaires, ainsi que les acteurs clés de l’écosystème
●      Étendre leur réseau dans l’impact, avec des recommandations de contacts personnalisées, grâce à un outils de matchmaking performant
●      Accéder aux chiffres clés des exposants, pour optimiser leurs recherches et répondre à leurs enjeux
 
La plateforme de networking est ouverte. Les RDV peuvent être planifiés dès à présent ici.
 
UNE PROGRAMMATION SUR LE CINÉMA ENGAGÉ ACCESSIBLE GRATUITEMENT 
ChangeNOW 2021 organise également un Festival du Film, qui permettra à tous les participants d’avoir accès à une sélection officielle de films à impact, directement sur la plateforme de ChangeNOW 2021. Les films seront accessibles pendant les 3 jours de l’événement.
Deux temps forts sont également organisés :
 
–        PREMIÈRE MONDIALE de BREAKING BOUNDARIES le 29 mai à 18H00 : Sir David Attenborough et Johan Rockström, scientifique mondialement reconnu pour ses travaux sur le concept des 10 limites planétaires, présenteront le documentaire « Breaking Boundaries : The Road to a Cleaner, Healthier and More Peaceful World » avant sa sortie sur Netflix le 4 juin 2021.Pré-inscription obligatoire – première mondiale limitée aux 2000 premiers inscrits.
Les échanges avec Sir David Attenboroug et Johan Rockström restent ouverts à tous.
 
–        KISS THE GROUND de Joshua Tickell, Rebecca Harrell Tickell : Le documentaire revient sur les nouvelles pratiques agricoles et la force d’un travail réalisé en harmonie avec la nature. Le vendredi 28 mai à 19H, Stéphane le Foll, répondra aux questions des visiteurs et ouvrira la discussion autour de l’agriculture régénératrice.
 
Parmi les autres films de la sélection officielle : MRS F de Chris Van Der Vorm, un documentaire qui revient sur l’histoire du plus grand bidonville sur l’eau au Nigeria. SCHOOL OF HOPE de Mohamed El Aboudi, quiretrace l’histoire d’une tribu ancestrale qui a décidé de rester vivre sur ses terres désertiques et donner une éducation alternative aux enfants. Enfin, EVER SLOW GREEN de Christophe Pohl raconte l’histoire d’une forêt tropicale en pleine expansion à Auroreville, en Inde du Sud et aux habitants qui ont décidé d’y consacrer leur vie.
 
En parallèle des diffusions, des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel présenteront leurs actions afin d’accélérer le changement et l’impact dans l’industrie cinématographique lors d’un marché du film, le Samedi 29 mai, de 9H45 à 13H00. Trois thématiques seront abordées, avec des personnalités emblématiques du secteur : la production de films durables, le rôle des documentaires, et les clés de l’écriture de scénario pour réfléchir à la manière d’écrire un film afin de changer le monde. Cette séquence se terminera avec une séance de pitch en partenariat avec le festival Atmosphères.Plus d’information sur la programmation ici
 
UNE JOB FAIR DE L’IMPACT ET UN PROGRAMME SUR LA QUÊTE DE SENS AU TRAVAIL – samedi 29 mai 
●      ChangeNOW My Job, le salon de recrutement dédié à l’impact, se tiendra le samedi 29 mai sur la plateforme de l’événement, avec des centaines de postes à pourvoir dans des entreprises engagées. Les participants pourront envoyer des CV et planifier des entretiens  avec les recruteurs et les formateurs en accord avec leurs valeurs, afin de trouver leur prochain emploi.
●      “Finding your purpose in life” le 29 mai à 10H45  avec Satish Kumar, Schumacher College ; et Tom Rippin, On Purpose.
●      “Construire une carrière engagée”  le 29 mai à 12H15 avec le témoignage des étudiants de de Pour un Réveil Écologique, une discussion de Théo Curin & Malia Metella avec Claire Pétreault, créatrice des Pépites Vertes, et la présentation du nouveau Classement des Universités et Ecoles pour changer le monde avec Ghita Chami de Les Echos Start, Catherine Saire de Deloitte – cabinet auditeur du classement, et Santiago Lefebvre, fondateur et CEO de ChangeNOW et porteur du projet.

UX/UI Designer H/F

Le service Digital de notre client cherche son designer front-end   
Intégré dans une équipe d’une trentaine de personnes, vous intervenez sur les missions suivantes :  Travailler sur l’identité graphique des logiciels Contribuer en permanence à l’amélioration/optimisation de l’expérience utilisateur sur nos produits Traduire des besoins fonctionnels en interfaces utilisateurs (personae, user journeys, experience maps) Conception initiale des interfaces (mockups, wireframes, prototypes…) pour les différents produits Déclinaison des écrans en UI et accompagner les équipes de développement dans l’intégration de celles-ci (voir directement faire l’implémentation en fonction de vos compétences) Participer à la création des supports de communication métier présentant les produits, fonctionnalités 

Profil De formation BAC +2/5, vous justifiez d’une bonne expérience sur de l’UI/UX sur différents terminaux.   Vous avez une parfaite maîtrise des outils de création d’interface et de prototypage : Figma, Sketch, Suite Adobe Creative, Invision, Balsamiq…   Vous avez une grande capacité d’adaptation, vous êtes capable de jongler entre différents besoins et problématiques métiers.   Vous aimez travailler en équipe pluridisciplinaire et êtes à l’aise aussi bien dans les tâches créatives que techniques.  

https://talenteum.com/je-suis-un-talent

Ingénieur Full-stack , Front et Back

En tant que membre de l’équipe IT de notre client leader dans son domaine, vous travaillerez sur de nombreux projets.  Vous êtes en charge de concevoir, développer, livrer et maintenir notre plateforme SaaS.
Vous contribuez à la création et au déploiement d’application web / mobiles élégantes, scalables et riches fonctionnellement.  Plus précisément  En lien avec l’équipe Product Management et UX/UI Design, vous êtes en mesure de comprendre les besoins fonctionnels et techniques de nos clients Vous collaborez en mode agile avec plusieurs équipes Vous développez des systèmes performants à forte tolérance de panne capable de supporter les pics de charges Vous développez des APIs standardisées et documentées : REST FTW Vous participez à la création d’applications web / mobiles PWA: offline, mobile first Vous implémentez les métriques pour fournir une visibilité sur l’état des systèmes Vous automatisez les processus de déploiement et êtes responsable de maintenir la plateforme en conditions opérationnelles: une forte culture DevOps s’est installée dans nos équipes ? Vous êtes force de proposition et contribuez à enrichir la plateforme de notre client.

Vous avez 3 années  d’expérience  minimum sur un poste similaire. De bonnes capacités à mentorer est un plus ?  Idéalement  Vous avez apprivoisé le langage Java. On utilise Java 11 pour info, Vous maitrisez Angular ou vous êtes décidés à le prendre en main. Nous sommes actuellement en version 9+, Vous surfez avec les langages Javascript ou TypeScript, Vous maitrisez Spring ou vous êtes motivés pour le prendre en main, Vous savez développer des algos et des services web. Vous avez des bonnes notions d’architecture logicielle, Vous savez produire des APIs REST côté back. et/ou. Savoir en consommer peut être utile côté front  ! Dans l’équipe de développeurs, 1/3 sont full-stack, 1/3 full-front et 1/3 full-back Vous avez idéalement une expérience positive de Continuous Integration ou une envie de se mettre au Test Driven Development #craft Une expérience en développement dans les nuages vous facilitera l’onboarding : Google Cloud Platform, Amazon Web Services, Azure ou autre. Venez comme vous êtes ☁️ Vous travaillez en environnement Agile sur des cycles de développement, des démos et des rétros, des revues de code, du mob programming, des backlog grooming, des mises en productions régulières…

Bien entendu, difficile voire impossible de maitriser tous ces sujets, c’est une cible qu’on peut se fixer pour progresser dans les métiers du développement, alors si certaines cordes ne sont pas encore sur l’arc on le fera ensemble ? Et si c’est le cas, car il existe quelques exceptions, alors on déroule le tapis rouge !  Anglais requis

https://talenteum.com/je-suis-un-talent

Ingénieur QA

En tant que membre de l’équipe qualité logicielle de notre client leader dans son domaine, vous travaillerez sur de nombreux projets, contribuant à la haute qualité du produit final. 

Votre Mission :  Créer et mettre en œuvre la stratégie de test, qui consiste à : 
Développer des tests fonctionnels automatisés efficaces, réutilisables et durables,

Veiller au bon fonctionnement des scripts d’automatisation dans de multiples navigateurs et plateformes,
Créer des plans de test et guider la planification des tests en rassemblant les exigences, fonctionnelles et non fonctionnelles (projections de la capacité du système, volumes de flux de l’API, serveurs, réseau, capacités de stockage, temps de réponse des pages, etc.),
Exécuter les tests, y compris des scénarios manuels si besoin,
Travailler en méthode Agile et contribuer à publier des rapports sur les résultats des tests, Contribuer à l’analyse des causes fondamentales des erreurs pour déterminer le plan de correction à appliquer, Collaborer étroitement avec les développeurs et les autres ingénieurs QA pour produire des produits de grande qualité.

Votre Profil  Idéalement, vous avez :  Une connaissance approfondie des méthodes QA et des bonnes pratiques
De l’expérience avec les outils :  De gestion des tests (X-ray, Zephyr, Test Rail) De gestion des défauts (JIRA, Redmine) D’automatisation de test open-source (Cypress, Selenium, Protractor) De test de performance/charge (Gatling, JMeter, BlazeMeter, LoadRunner) Tests fonctionnels de l’API Restful
Une solide experience dans :  Le langage de développement (Javascript, Java ou Python)
Les outils de développement logiciel (Git, SQL, etc.)
Un bon niveau d’anglais aussi bien à l’oral qu’à l’écrit Des connaissances pratiques des tests automatisés pour appareils mobiles; Une bonne capacité à gérer et à hiérarchiser des projets multiples et diversifiés.

Serait un plus :  Certifications ISTQB Une attitude proactive, souple et motivée !
Anglais requis

https://talenteum.com/je-suis-un-talent

Afrobytes : Innover pour améliorer la Résilience Africaine

Afrobytes
afrobytes

La cinquième édition d’Afrobytes, l’événement International de la Tech Africaine se tiendra le 25 Mai 2021 à l’occasion de la journée Internationale de l’Afrique. Le thème de cette année sera “Innover pour améliorer la Résilience Africaine”.

Avec des panels de discussions interactifs, des sessions de networking en ligne et une présence des startups en TV avec le Show TV WAN 2021, Afrobytes souhaite contribuer à accélérer la diffusion de l’innovation africaine au sein et au-delà du continent.

Pour Ammin Youssouf « le format virtuel proposé sera idéal pour rassembler et connecter des publics autrefois contraints par des questions logistiques. » Selon Haweya Mohamed, « l’extension du format aux chaînes de télévision offrira la possibilité de diffuser l’innovation dans toute l’Afrique. »

Au programme cette année :
– Le format “Pitch My Country”, proposera des focus sur 3 marchés: le Ghana, le Maroc et le Nigéria. Les acteurs de l’innovation de ces pays partageront les recettes du succès de leurs écosystèmes.
– Des panels de conversation sur l’Éducation, l’Inclusion financière et l’Agriculture, seront proposés en plus d’une présentation de solutions innovantes dans ces secteurs au grand public lors du Show TV WAN.
– L’exploration de nouvelles perspectives business: comment faire en sorte que le secteur agricole bénéficie plus amplement du boom mondial du secteur de la cosmétique naturelle?
– De multiples occasions de networking.

En réunissant les acteurs de l’innovation, les artistes, les personnalités, les institutions et le grand public sur une même plateforme événementielle, Afrobytes et WAN souhaitent faire de la Journée Internationale de l’Afrique le rendez-vous annuel de l’accélération de la transformation du continent.

Rendez-vous en ligne le 25 mai prochain dès 14h (heure de Paris) pour se connecter aux acteurs de la Nouvelle Economie Africaine et enrichir son réseau business.
Programme et billetterie pour Afrobytes : https://www.afrobytes.com/book-your-pass

A propos de Afrobytes:
Afrobytes est basée à Paris et a été fondée par Haweya Mohamed et Ammin Youssouf. Depuis 2016,  Afrobytes organise des conférences et des marketplaces à l’international permettant de connecter les acteurs innovants Africains aux autres écosystèmes. Le travail des fondateurs est aujourd’hui reconnu internationalement et tous deux sont classés dans des publications de référence comme le top 100 “Creative Business” de Fast Company ou encore le top 50 “Most Daring Entrepreneurs » d’Entrepreneur Magazine.
 
Demandes d’interview et d’accréditations:  contact@afrobytes.com
 
Réservations Afrobytes 2021: https://www.afrobytes.com/book-your-pass
 
LinkedIn: https://www.linkedin.com/company/afrobytes/
 
Twitter: https://twitter.com/SocialAfrobytes

Sommet du 18 mai

Emmanuel Macron - En Marche Afrique
Emmanuel Macron - En Marche Afrique

Le Président de la République Emmanuel Macron recevra à Paris une quinzaine de dirigeants africains, plusieurs hauts responsables européens ainsi qu’une dizaine de représentants d’organisations internationales pour un sommet sur la relance de l’économie en Afrique, très ralentie par la pandémie, a annoncé la présidence française.

Appel à un new deal

Emmanuel Macron

L’objectif est de mettre en place des moyens financiers capables de relancer l’économie de ce continent, qui n’a connu que 130.000 morts du Covid selon les chiffres officiels mais dont le PIB devrait connaître en 2021 sa première récession en 25 ans, avec un recul de 2,1%.

La croissance devrait revenir en 2022, mais à un rythme inférieur à celle des pays plus développés, avec un risque de « divergence », souligne l’Elysée.

D’où l’initiative du chef de l’Etat français d’un tel sommet pour attirer les investissements en Afrique vers les secteurs publics et privés, pénalisés par des primes de risque qui font grimper les taux d’intérêt.

La France propose de faire profiter l’Afrique de droits de tirage spéciaux (DTS) du Fonds monétaire international, des instruments de change qui permettent notamment de financer des importations.

Le FMI devrait décider en juin une émission massive de DTS de 650 milliards de dollars, dont 34 milliards pour l’Afrique (24 milliards pour l’Afrique subsaharienne).

« Ces montants ne seront pas suffisants. Nous réfléchissons à la manière d’utiliser des DTS des pays avancés pour les pays à bas revenu », a déclaré la présidence française, suggérant aussi une vente de l’or du FMI pour alimenter des prêts à taux zéro aux pays africains.

Autres pistes, des allègements de dettes en réunissant autour d’une table à la fois créanciers publics et privés, un mécanisme dont le Tchad a déjà demandé à bénéficier.

Google avec les startups africaines

Google Africa
Google Africa

Poursuite de notre engagement en faveur de la croissance de l’écosystème des startup africaines

Depuis ces dernières années, les « success stories » des start-up africaines se multiplient. Cette formation très attendue est essentielle pour encourager le développement de l’esprit d’entreprise en Afrique, gage de la réussite de ce continent. Selon le Rapport Africa Internet Economy 2020, réalisé avec le soutien de Google et de l’IFC, l’économie générée par Internet en Afrique devrait stimuler l’économie du continent de 5,25 % au cours des cinq prochaines années. Le rapport indique que le ralentissement de l’économie dû à la COVID-19 ne freinera pas les prévisions de croissance de l’économie de l’internet en Afrique, qui devrait contribuer à près de 189 milliards de dollars du PIB de l’Afrique d’ici 2025, avec une augmentation estimée à 712 milliards de dollars à l’horizon 2050.

Les développeurs et les start-up implantés en Afrique jouent un rôle crucial dans la transformation de l’économie du continent, en créant de nouvelles opportunités et en ouvrant la voie au développement économique et social. Chez Google, nous mesurons pleinement le talent et le potentiel numériques exceptionnels de l’Afrique, c’est pourquoi nous nous engageons à apporter un soutien essentiel aux jeunes entreprises africaines. Cette année, nous allons ouvrir les candidatures pour la 6e promotion de l’accélérateur de start-up Google Africa Google for Startups Accelerator Africa nous offrons également de nouvelles bourses d’études destinées aux développeurs en partenariat avec Pluralsight et Andela.

Aujourd’hui, nous faisons deux annonces lors d’un événement virtuel où nous accueillons les médias, des acteurs clés de ce secteur, des responsables politiques, des dirigeants de start-up et des investisseurs qui contribuent à la croissance de l’écosystème technologique africain. Sous le hashtag #Build4Africa, cet événement permet de passer en revue les tendances qui se dessinent dans l’économie de l’Internet, en accordant une attention particulière au soutien apporté aux développeurs et aux start-up installés en Afrique.

Les candidatures pour la 6e promotion du programme accélérateur de start-up (Google for Startups Accelerator Africa), programme de trois mois qui devrait débuter le 21 juin 2021, seront ouvertes jusqu’au 14 mai 2021. Les candidatures à ce programme en ligne (qui comprend trois sessions de formation intensive, un dispositif de mentorat et une assistance pour les produits Google) sont ouvertes. Dix-sept pays d’Afrique, dont l’Égypte, l’Éthiopie, le Ghana, le Kenya, le Nigeria le Sénégal. L’Afrique du Sud, la Tanzanie, la Tunisie, l’Ouganda et le Zimbabwe sont concernés. L’objectif est de soutenir le développement des start-up dans leurs phases cruciales de croissance.

Les nouvelles bourses pour le développement des applications Android, Web et Google Cloud seront proposées aux développeurs de niveau débutant et intermédiaire résidant en Afrique. Ce sont au total 40 000 bourses qui seront accordées aux développeurs répartis entre les filières de développement mobile et cloud. À l’issue de la formation, les 1000 premiers étudiants recevront une bourse complète pour obtenir une certification en développement Android ou Cloud.

L’année dernière, en raison de la pandémie de COVID-19, la première formation en distanciel du programme Google for Startups Accelerator a démarré avec 20 start-up installées dans sept pays qui ont suivi un parcours virtuel de 12 semaines pour redéfinir leur offre, en bénéficiant d’un dispositif de mentorat et d’ateliers.

Ces dernières années, notre objectif a été de soutenir les communautés de développeurs en Afrique subsaharienne.

  • En 2020, le premier Google Developers Space d’Afrique (un hub réservé aux développeurs, aux entrepreneurs et aux start-up implantés en Afrique) a été lancé à Lagos, au Nigeria. Cette initiative fait suite à l’engagement pris par Sundar Pichai devant les entrepreneurs africains en juillet 2017. Cet espace est le lieu où les entrepreneurs, les développeurs, les investisseurs en capital-risque et les investisseurs peuvent se connecter et collaborer les uns avec les autres.
  • Onze start-up ont également été sélectionnées l’année dernière pour participer à la première session entièrement numérique de Google for Startups Accelerator, consacrée aux Objectifs de développement durable (ODD). Ces 11 entreprises ont été sélectionnées sur la base de leur vision pour relever les défis des ODD définis par l’ONU, notamment la pauvreté, les inégalités, le climat, la dégradation de l’environnement, la prospérité, la paix et la justice.
  • Par le biais de Groupes de développeurs Google (GDG) et de Women Techmakers nous proposons des formations qui correspondent aux compétences professionnelles requises dans la vie réelle. Il existe 173 GDG actifs qui offrent aux développeurs la possibilité de se rencontrer sur des thématiques communes lors de conférences et d’ateliers pratiques.
  • Des groupes communautaires mettent en place des activités comme Study Jams. Ces groupes de travail sont animés par des développeurs pour des développeurs. On compte aujourd’hui plus de 120 communautés actives de développeurs réparties dans 25 pays d’Afrique subsaharienne.

Nous sommes heureux de poursuivre notre aventure avec les communautés de start-up et de développeurs d’Afrique, car nous sommes convaincus que l’écosystème des start-up africaines est un moteur essentiel de la croissance économique de ce continent. La croissance de tous les acteurs de l’espace technologique est collective ; la réussite de l’un ouvre la voie à celle des autres.

Nitin Gajria, directeur général de Google Afrique et Onajite Emerhor, responsable de l’accélérateur Google for Startups Africa

Le NOCODE un outil de digitalisation

Le NoCode Campus de Kigali
Le NoCode Campus de Kigali

Un cas d’usage vu à travers l’exemple de Nocode Campus au Rwanda

Un outil démocratique, accessible, rapide et économique !

Ces qualités sont les piliers du no-code qui rendent son utilisation très intéressante. Ces dernières années, le no-code a pris une ampleur considérable dans le numérique.

Ces outils permettent de créer des sites web et des applications sans besoin de connaissances en langage informatique. Il est donc accessible au plus grand nombre et constitue une solution rapide pour le développement des applications tout en donnant la possibilité de baisser les coûts.

Malgré l’absence de connaissances en langage informatique, le responsable d’une petite structure peut apprendre à créer son site web avec un de ces outils qui sont très intuitifs et se prennent en main rapidement. Autre exemple : avec un simple formulaire réalisé sur Tally et connecté à un tableur Google Sheets, un agronome, peut compléter un rapport de visite directement sur son smartphone depuis le champ. Les données sont synchronisées et disponibles pour l’équipe au bureau, qui peut les analyser et prévoir des actions rapidement. C’est un gain de temps considérable, au lieu de prendre des notes sur papier et les recopier en fin de journée sur son ordinateur.

NOCODE CAMPUS

NOCODE CAMPUS est la première école dédiée au no-code au Rwanda, pionnière dans le numérique sans code.  Une initiative portée par Nadia Mutoni, une jeune femme adepte du no-code. Elle a accueilli une cinquantaine d’étudiants depuis sa création en 2020. Ils /elles ont pu être initiés aux outils no-code (Aife, Webflow, Dorik, GlideApps, Canvas, Siteoly, etc.). Dévoué à aider les talents de demain, le centre dispense ses cours gratuitement aux jeunes de 18 à 30 ans à la bibliothèque municipale à Kigali et également en ligne en raison de la crise sanitaire. Au bout de 10 jours de formation, des projets divers de sites web et un menu digital, entre autres, sont nés.

Le NoCode Campus
Le NoCode Campus

NOCODE CAMPUS met également à leur disposition des ordinateurs qui sont des dons de particuliers ou d’organisations partenaires. Grâce à ces prêts, les jeunes peuvent continuer à développer leur pratique.

Par ailleurs les jeunes filles sont encouragées à rejoindre la formation afin qu’elles soient plus représentées dans le numérique.

A terme, explique la fondatrice de NOCODE CAMPUS : « nous aimerions travailler avec les petites et moyennes entreprises au Rwanda ainsi que dans la région des Grands Lacs pour résoudre des problématiques locales bien spécifiques. Trop souvent les outils importés, qui ont été développés pour d’autres régions du monde, notamment les pays occidentaux, ne sont pas adaptés à notre région. Ils peuvent être par exemple trop coûteux et donc inaccessibles aux petites structures qui n’en voient pas toujours l’utilité.

Selon elle, le no-code est une solution pour lutter contre le chômage : nos jeunes peuvent eux-mêmes inciter leurs camarades à apprendre ces outils, tout comme devenir entrepreneurs eux-mêmes et créer des emplois. »

En savoir plus sur https://www.nocodecampus.com/

UN EXEMPLE CONCRET : SHORAWEZE

Shoraweze signifie « sponsor and harvest » en kinyarwanda. Cette initiative est née en 2021 de la volonté de l’équipe de NOCODE CAMPUS de trouver une vraie solution à cette problématique concrète qui touche de très nombreux petits producteurs et agriculteurs : le manque de moyens financiers pour investir et augmenter leurs revenus. SHORAWEZE propose de mettre en lien ces producteurs avec des sponsors issus de la diaspora rwandaise et désireux de contribuer au développement de l’agriculture rwandaise.

L’équipe NOCODE CAMPUS précise : « certes, d’autres plateformes offrent déjà ce genre de service. L’innovation de SHORAWEZE est que la web application créée pour cette mise en lien est entièrement issue du no-code avec l’outil Noloco. Tout le projet a été réalisé en moins d’un mois, et sans recourir à des recherches de fonds ou de personnels techniques pour la programmation, donc en interne et en autonomie.

Cette problématique que nous voulons résoudre avec SHORAWEZE est commune à de nombreux pays en Afrique et sur d’autres continents. Le modèle pourrait donc facilement être dupliqué dans d’autres régions du monde et à moindre coûts. Tellement d’initiatives peuvent être lancées par les citoyens en utilisant le no-code. Ils peuvent apporter leurs solutions aux problématiques identifiées et devenir des initiateurs du changement. Une seule personne a donc le pouvoir d’impacter le plus grand nombre. Au delà de l’échelle individuelle, des organisations plus grandes et des gouvernements peuvent aussi utiliser le no-code.

Nous voulons que le no-code se développe car c’est un levier puissant de digitalisation de l’économie en Afrique ».

LES LIMITES DU NOCODE

A ce jour, chaque outil no-code offre son service spécifique avec lequel une sorte de création est réalisable (ex : Dorik pour des sites web vitrine seulement, GlideApps pour des applications, etc.). L’utilisateur est donc limité à l’offre de l’outil, ainsi qu’à son univers et son environnement propres.

Le code permet une plus grande liberté.

Mais des solutions sont déjà trouvées et d’autres sont en cours de développement pour pallier les limites de certains outils du no-code. En effet, des outils no-code permettant de lier les outils entre eux ont déjà été lancés (ex : Zapier, Integromat). Dittofi permet même de créer son outil puis d’exporter le code entier et de le modifier par la suite.

Malgré quelques limites, le no-code est donc une solution qui peut paraître idéale pour le développement d’activités, notamment économiques, des entreprises du continent africain.

Pour en savoir plus et échanger, rejoignez le groupe « No-code For Africa » sur LinkedIn.

Vous pouvez également Contacter NOCODE CAMPUS pour dupliquer le concept dans votre pays.

Auteures : Nadia MUTONI et Epiphanie PROST

https://tally.so/

https://www.aife.ai/

https://webflow.com/

https://dorik.com/

https://www.glideapps.com/

https://www.canva.com/

https://siteoly.com/

https://shoraweze.com/

https://noloco.io/

https://www.nocodecampus.com/showcase

http://brachettokigali.aife.me/

https://www.linkedin.com/groups/9033290/

nocodecampus@gmail.com

L’Union Francophone en solution pour réguler les GAFA

Union Francophone
Union Francophone

L’UNION Francophone, présidée par Christian CAPPE et l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF), représentée par son Secrétaire Général Jacques KRABAL, ont passé un accord pour élaborer un Livre-Blanc programme qui sera acté le 21 mai et présenté aux Chefs d’État lors du Sommet de la Francophonie à Djerba les 20 et 21 novembre.

Les deux organisations se mobilisent ensemble pour une cause commune : la défense et la promotion de la francophonie dans le monde. Cet engagement se traduit par l’organisation de rencontres récurrentes pour organiser un marché commun informel, économique mais également politique, entre les pays de l’espace francophone.

À ce titre, les deux organisations adressent l’ensemble des questions posées par le sujet brûlant de la régulation des acteurs numériques : la souveraineté des États francophones, la sécurité numérique, la fiscalité, l’établissement de règles publicitaires équitables et la rémunération des médias. Elles travaillent ensemble à la construction d’un livre-blanc programme qui sera finalisé à l’occasion des 3 èmes Rencontres de l’Océan Indien organisées à l’île de la Réunion du 18 au 21 mai 2021. Cet évènement sera l’occasion d’auditionner un certain nombre de personnalités et de soumettre des propositions à une délégation de parlementaires, de figures politiques et de dirigeants d’entreprise de l’espace francophone.
 

La volonté est « d’unir les États Francophones », au même titre que l’Union Européenne et les États Unis, face à un enjeu géopolitique de souveraineté culturelle, économique et de survie des médias dans un marché mondial de la publicité digitale de près de 308 milliards d’euros, dominé à 85% par Google et Facebook. Et cela est sans compter l’émergence des BATX en Asie.

Pour Christian Cappe, président de l’UNION Francophone, « le moment est décisif et nous oblige à agir. La question de la gouvernance numérique est au cœur des débats politiques en France, dans l’Union Européenne et même dernièrement aux États-Unis. Les pays francophones, unis, peuvent avoir une voix commune afin de voir émerger des réglementations qui défendraient nos intérêts communs ».

À propos de l’UNION Francophone : L’UNION Francophone est une jeune organisation qui s’est lancée pour créer un marché commun entre acteurs de la communication, de la publicité, des médias et du numérique entre pays francophones. Elle anime aujourd’hui une communauté de plus de 3450 professionnels, 400 jeunes talents de la Publicité, répartis dans 18 pays et a organisé 8 manifestations en 3 ans. Elle a reçu le soutien de l’Union européenne, du Gouvernement français, et de plusieurs collectivités territoriales (Occitanie, Réunion, Hautes-Pyrénées…). Son opération « Stop aux Infox » avait été saluée par le Président de la République en mars 2019.

À propos de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF) : L’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF) est l’Assemblée consultative de la Francophonie. Elle est constituée de sections membres représentant 90 parlements ou organisations interparlementaires, répartis en 4 régions : Afrique, Amérique, Asie-Pacifique et Europe. L’APF est un lieu de débats et d’échanges. Elle prépare et adopte des résolutions sur des sujets qui intéressent la communauté francophone qui sont ensuite transmises aux chefs d’États et de gouvernements lors des Sommets de la Francophonie. L’APF joue également un rôle de coopération et de solidarité auprès des parlements francophones.

HEC Paris lance Challenge + à Abidjan

HEC Paris
HEC Paris

Au mois d’octobre 2021, HEC Paris lancera – à travers son Bureau de représentation en Afrique de l’Ouest et Centrale – le programme Challenge +, pionnier dans la formation et l’accompagnement de projets innovants à fort potentiel de croissance.

Lancée par HEC Paris dès 1990, cette formation a su se renouveler jusqu’à s’imposer aujourd’hui encore comme l’un des programmes phares d’HEC Paris pour l’entrepreneuriat innovant.
Le programme Challenge + a été conçu par HEC Paris pour aider des porteurs de projets, des scientifiques et des ingénieurs, à élaborer leur business plan et les accompagner dans leur stratégie de développement. Sa formule pédagogique novatrice associe formation, diagnostic, conseil et suivi personnalisé.

La formation, unique du fait de la diversité de son réseau et de la qualité de ses experts, présente depuis sa création des résultats probants :
• 750 projets innovants accompagnés,
• 8 introductions en bourse,
• 800 brevets déposés,
• 1,2 milliard d’euros levé auprès d’investisseurs publics et privés.


Challenge + apporte aux participants une connaissance approfondie des enjeux économiques et managériaux de notre époque. Pour répondre aux besoins grandissants que nourrissent les entrepreneurs africains, désireux d’être en phase avec les meilleurs standards internationaux, HEC Paris lance une nouvelle formule du programme Challenge + en Afrique, sous un format inédit.

Challenge + en distanciel et en présentiel

Le programme, hybride et d’une durée de 172 heures, sera déployé à la fois en distanciel (40h délivrées en commun avec la promotion de Paris), et en présentiel à Abidjan, avec un réseau d’experts professionnels dédié aux problématiques du continent : stratégies de croissance, marketing et développement commercial, droit des startups, dispositifs de financement, modélisation et ingénierie financière…
A raison de 2 ou 3 jours par mois sur une période de 8 mois, la nouvelle formule de Challenge + est destinée aux entrepreneurs du continent porteurs d’un projet innovant à fort potentiel de développement.

Selon Etienne Krieger & Redda Ben Geloune, co-directeurs académiques du programme : « Le lancement du programme Challenge + à Abidjan témoigne de la dynamique entrepreneuriale dans laquelle l’Afrique s’inscrit chaque jour un peu plus. Notre mission sera donc d’aider les entrepreneurs et porteurs de projet innovant en leur donnant les outils nécessaires pour impacter positivement l’Afrique en créant des entreprises qui gagnent. Grâce à ce programme capitalisant plus de trente années d’expérience, les futurs étudiants pourront bénéficier à la fois des conseils avisés des professeurs d’HEC Paris, de l’expertise d’entrepreneurs locaux qui ont une connaissance des spécificités du marché africain mais également du réseau international de nos Alumni. Challenge + sera un levier puissant pour les entrepreneurs qui veulent contribuer au positionnement de l’Afrique comme moteur de l’économie mondiale et de facto, faire de ce continent qui a tant de potentiel un endroit meilleur pour les générations futures ».

Pour Alexis John Ahyee, Directeur du Bureau HEC Paris en Afrique de l’Ouest et Centrale : « Le programme Challenge + Abidjan marque la volonté d’HEC Paris de contribuer à la mise en place d’un écosystème entrepreneurial performant, capable de relever les défis du continent en termes de création d’entreprises innovantes et de création d’emploi. C’est une belle opportunité pour les entrepreneurs et porteurs de projets d’Afrique. »
Daouda Coulibaly, le Président des Alumni d’HEC Paris en Côte d’Ivoire souligne : « Ce programme d’excellence, qui est une véritable opportunité pour notre sous-région, fournira tous les outils nécessaires à un entrepreneuriat innovant et performant et permettra aux entrepreneurs du continent d’être à la même échelle que leurs homologues des pays développés. La Communauté d’HEC Alumni de Côte d’Ivoire, qui regroupe de nombreux entrepreneurs, apportera sa contribution et son expérience à la réussite de Challenge + ».

Engagée dans l’entrepreneuriat depuis plus de 40 ans, HEC Paris est la 1ère Business School européenne dans le domaine de l’Innovation digitale, entrepreneuriale, intrapreneuriale et sociétale.
Pour répondre aux aspirations d’une nouvelle génération d’étudiants et aux besoins des entreprises, 100 % des étudiants d’HEC Paris, quels que soient leurs cursus, sont formés à l’innovation et à l’entrepreneuriat.
L’Innovation & Entrepreneurship Center a été créé pour rendre visibles les nombreuses initiatives de recherche, de formation, d’accompagnement et de sensibilisation d’HEC Paris dans ces domaines.
Pour plus d’information, consultez : https://www.hec.edu/fr/hec-challenge-plus-afrique


À propos d’HEC Paris
Spécialisée dans le domaine de la recherche et de l’enseignement en management, HEC Paris offre une gamme complète et unique de formations aux décideurs de demain : le programme de la Grande Ecole, les Mastères Spécialisés, les MSc, la Summer School, le MBA, l’Executive MBA, TRIUM Global Executive MBA, le Doctorat ainsi qu’une large gamme de programmes pour cadres et dirigeants. Créée en 1881 par la Chambre de commerce et d’industrie de Paris, HEC Paris rassemble 140 professeurs permanents, plus de 4 500 étudiants et 8 000 cadres et dirigeants en formation chaque anné

Préparer les systèmes de santé aux chocs

étude santé : Preparing Healthcare Systems for Shocks from Disasters to Pandemics
étude santé : Preparing Healthcare Systems for Shocks from Disasters to Pandemics

Avec La Banque Mondiale

  • Un nouveau rapport préconise des mesures pour mieux préparer les systèmes de santé aux chocs, depuis les flambées d’infections saisonnières jusqu’aux pandémies et aux catastrophes climatiques.
  • Ces recommandations se fondent sur les enseignements tirés des expériences de gestion des risques de catastrophes et des situations d’urgence pour mettre en avant cinq domaines d’action prioritaires destinées à améliorer la fiabilité et la résilience des services de santé.
étude santé : Preparing Healthcare Systems for Shocks from Disasters to Pandemics
étude santé : Preparing Healthcare Systems for Shocks from Disasters to Pandemics

Les systèmes de santé sont en première ligne pour assurer des soins critiques en cas d’urgence.

Un nouveau rapport de la Banque mondiale (a), intitulé en anglais Frontline: Preparing Healthcare Systems for Shocks from Disasters to Pandemics, préconise différentes actions pour mieux préparer les systèmes de santé à répondre à tout un éventail de chocs allant de l’accroissement saisonnier des besoins sanitaires jusqu’aux pandémies, aux dérèglements climatiques et aux catastrophes. La production du rapport a été financée par un programme conjoint Japon-Banque mondiale destiné à généraliser la gestion du risque de catastrophe dans les pays en développement (a) (ou Japan Program). 

Qu’il s’agisse de réagir à des épidémies de choléra provoquées par des inondations, de soigner les victimes de séismes ou de zoonoses, les systèmes de santé jouent un rôle primordial dans la limitation des maladies et des décès résultant de situations d’urgence. La capacité des pays à fournir des soins essentiels fiables en cas d’urgence est essentielle pour protéger le bien-être des populations. Par exemple, les données de l’Organisation mondiale de la santé (a) pour 80 pays montrent qu’environ 1,4 million de personnes en moins ont été soignées pour la tuberculose en 2020 par rapport à l’année précédente, en raison des perturbations dues à la pandémie.

« Dans la phase de relèvement post-COVID, nous devons renforcer la préparation aux crises futures en mettant en place des systèmes de santé solides au moyen de la couverture sanitaire universelle, sur la base de notre expérience de cette pandémie. Les connaissances sur la résilience face aux catastrophes naturelles sont utiles pour « reconstruire en mieux » et renforcer la préparation aux pandémies. C’est pourquoi la coordination entre les initiatives mondiales pour la santé et la gestion des risques de catastrophe est aujourd’hui plus essentielle que jamais », explique Masashi Tanabe, directeur de la Division des banques multilatérales de développement au Bureau international du ministère japonais des Finances.

Pourtant, dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, le manque de ressources et de moyens a fait que, même avant la pandémie, de nombreux systèmes de santé avaient du mal à faire face aux besoins courants. Dans les années à venir, les catastrophes, les changements climatiques, les pandémies, les évolutions démographiques et les maladies chroniques vont encore accroître la pression sur ces systèmes déjà mis à rude épreuve.

« Lorsque des services de santé surchargés et fragiles sont désorganisés à la suite d’une catastrophe, les conséquences peuvent compromettre les acquis du développement humain pendant des décennies et leurs effets se répercutent souvent au sein des populations et d’une génération à l’autre. Nous devons renforcer la résilience de ces systèmes pendant les périodes de calme afin qu’ils puissent résister aux situations critiques », souligne David Wilson, directeur de programme au pôle Santé, nutrition et population de la Banque mondiale. Selon certaines estimations des effets de la COVID-19 (a), une alimentation inadaptée et l’interruption de services de santé de base font bondir les taux de mortalité maternelle et infantile de 39 et 45 %, respectivement, dans les pays les plus pauvres.

Un cadre structuré pour bâtir des systèmes de santé résilients

En janvier 2021, en pleine pandémie, un séisme de magnitude 6.2 a frappé les îles indonésiennes des Célèbes. Les quatre principaux hôpitaux de la région ont été touchés (a), les bâtiments effondrés ou endommagés entravant sérieusement les opérations de secours et la prise en charge des victimes. De tels événements soulignent l’importance de garantir la résilience des personnels, des bâtiments, des chaînes d’approvisionnement et des équipements médicaux afin d’assurer la continuité des soins en cas d’urgence.

« Renforcer la résilience des systèmes de santé est un impératif pour le développement durable, pour gérer les chocs systémiques tels que les pandémies ou les catastrophes et pour limiter les pertes en vies humaines. Assurer des soins efficaces et sans perturbation en cas de choc exige que les services de santé soient coordonnés aux systèmes généraux de gestion des urgences et de réponse aux catastrophes d’un pays, et aussi qu’ils puissent compter sur la qualité des infrastructures de base telles que l’eau, les transports et l’électricité », observe Sameh Wahba, directeur mondial du pôle Développement urbain, gestion du risque de catastrophe, résilience et foncier de la Banque mondiale.

Le rapport, financé par la Facilité mondiale pour la prévention des catastrophes et le relèvement (a) qui gère le Japan Program, s’appuie sur les leçons tirées des expériences de gestion des risques de catastrophe et des situations d’urgence pour proposer cinq domaines d’actions prioritaires destinés à améliorer la fiabilité et la résilience des services de santé.

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Interdépendance des systèmes de santé, de la gestion des catastrophes au sens large et des infrastructures vitales. Ce cadre de résilience repose sur la capacité à gérer efficacement les besoins courants.

1. Socle : les systèmes de santé qui gèrent efficacement les besoins courants sont plus résistants aux chocs. Il est nécessaire de renforcer l’ensemble des composantes fondamentales, telles que des équipements adaptés, un personnel qualifié, des systèmes d’information efficaces et des protocoles de gestion et d’exécution performants. Des investissements réguliers et des mesures politiques sont indispensables pour garantir que les systèmes de santé puissent offrir des services inclusifs, abordables et de qualité.

2. Établissements de santé : demande, capacités et préparation aux chocs. Les plans d’urgence peuvent se révéler essentiels pour disposer des capacités, des compétences, du personnel, de l’équipement, de la gestion, des fournitures et des protocoles nécessaires dans des contextes d’urgence. Par ailleurs, les établissements de santé eux-mêmes doivent être résilients à des chocs comme des inondations ou des tremblements de terre.

3. Systèmes de santé : stratégies pour améliorer la capacité d’intervention et la coordination. Lorsque les ressources sont limitées, il est impossible d’équiper immédiatement chaque établissement selon les normes les plus exigeantes. L’amélioration des canaux de communication, les approches fondées sur les données pour la prestation de services coordonnés et les unités de soins mobiles peuvent être une réponse aux pics de demande, en assurant une réponse organisée au niveau du système et de la région. Il est également nécessaire d’anticiper les contraintes en matière de ressources et de capacités, et de disposer de plans d’urgence pour les approvisionnements critiques.

4. Réponse d’urgence intégrée : coordination avec les services de réponse aux catastrophes et de protection civile. La préparation aux situations d’urgence des systèmes de santé doit être étroitement coordonnée avec les systèmes généraux de gestion des urgences et d’intervention en cas de catastrophe d’un pays, tels que l’armée, la protection civile et les groupes communautaires, chacun ayant un rôle et un mandat clairement définis pour réagir aux crises. C’est là une condition primordiale lorsque les besoins de base (nourriture, abri, etc.) et les services publics (sécurité, filets sociaux, soins de santé, etc.) doivent être fournis simultanément à la suite d’une catastrophe.

5. Des infrastructures vitales pour des services de santé résilients. Des infrastructures de qualité sont indispensables à l’efficacité des services de santé, a fortiori en cas de catastrophe ou de pandémie. En effet, des systèmes résilients dans les domaines de l’eau, de l’électricité, des transports, des communications et du numérique sont essentiels pour garantir une capacité de traitement adaptée, un accès équitable aux soins et le bon fonctionnement des chaînes logistiques. La résilience des services de santé repose sur l’interdépendance de ces infrastructures vitales.

Cette crise offre aux pays l’occasion de renforcer la résilience de leurs systèmes de santé, avec l’objectif plus large d’œuvrer en faveur d’un processus de relèvement et de développement vert, résilient et inclusif. La Banque mondiale travaille avec ses partenaires pour apporter un soutien technique et opérationnel adapté à la nécessité de limiter les perturbations dans l’offre de soins en cas de choc et de prévenir les conséquences à long terme sur les conditions de vie et les moyens de subsistance des populations.

Numériser plus de paiements en Afrique de l’Ouest

Numériser les paiements - Better than cash Alliance
Numériser les paiements - Better than cash Alliance

Au Sénégal, 9 travailleurs sur 10 sont payés en espèces et exclus de toute assurance maladie. Ce sont surtout des temporaires. Cette situation offre de réelles opportunités d’innovation financière et d’inclusion sociale. En effet, 77% des travailleurs temporaires interrogés seraient prêts à accepter des paiements électroniques si cela leur donnait accès à une assurance maladie ou d’autres services à forte valeur ajoutée. C’est un des constats majeurs de la publication  (bit.ly/3x4h1hf) lancée ce jour par le Sénégal, avec le soutien de Better Than Cash Alliance (Nations Unies) (BetterThanCash.org), la Banque mondiale et l’Agence Nationale des Statistiques et de la Démographie.

Le paiement électronique stimule la production et la consommation à l’échelle nationale. Par exemple, si 50% des temporaires sénégalais étaient payés sur un compte bancaire ou mobile, cela ajouterait plus de 45 milliards de francs CFA additionnels au PIB par an (environ 80 millions de dollars USD). Le paiement électronique des travailleurs ouvre des perspectives supplémentaires dans de nombreux domaines. Il accélère l’inclusion digitale et financière de la population, accroît la compétitivité pour les entreprises, augmente la liquidité pour le système financier. Afin de débloquer l’ensemble de ces potentiels, l’Agence de Développement des PME (ADPME) va renforcer son fonds d’appui aux PME grâce à un apport additionnel de la Banque mondiale de 20 millions de dollars (environ 11 milliards de francs CFA). Ces fonds visent à renforcer les initiatives de numérisation des PME, y compris pour soutenir leurs projets de paiements électroniques des travailleurs.

Un leadership régional s’élève en faveur des paiements numériques des travailleurs

Le Président Macky SALL du Sénégal et la Reine Máxima des Pays-Bas, en qualité de Mandataire spéciale du Secrétaire Générale des Nations Unies pour la promotion de services financiers accessibles à tous qui favorisent le développement (UNSGSA), ont lancé un appel à leurs pairs , au secteur privé et la société civile en les invitant dans leur avant-propos à : « utiliser ce rapport pour garantir que les paiements numériques soient au centre d’une reprise durable et équitable ». « Notre engagement reste entier pour agir ensemble à l’avancement de l’agenda pour une reprise inclusive » ont ajouté les deux leaders. Afin de montrer l’exemple, en fin 2020, le Président du Burkina Faso, Roch Marc Christian Kaboré, avait lui aussi décrété la numérisation des paiements des travailleurs de l’administration burkinabé. Dès l’apparition de la crise de la COVID dans l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), la BCEAO avait réagi avec des décisions (bit.ly/32qH1Ft) visant à réduire la circulation du cash dans les 8 pays. Ces actions ont eu des impacts concrets qui commencent à changer la vie des entreprises et des travailleurs.

Numériser les paiements et faire progresser la couverture maladie universelle

Pour les employeurs, les avantages sont d’éviter les contraintes relatives à la gestion de quantités importantes de cash

Si recevoir un salaire est souvent synonyme de cotisations à une assurance maladie, à l’échelle mondiale au moins 61 % des travailleurs sont dans l’informel (bit.ly/3mZXr0T) sans aucune assurance adéquate d’après l’Organisation International du Travail (OIT). En effet, en fonction des pays, il n’existe pas toujours d’obligation légale pour que les employeurs cotisent à une quelconque assurance pour leurs travailleurs informels – non salariés, une situation dont les femmes souffrent que les hommes.

Pour relever ce challenge d’inclusion, l’Agence Nationale de la Couverture Maladie Universelle du Sénégal a déployé une ambitieuse plateforme (bit.ly/3n11ji9) de paiements digitaux. Elle a noué des partenariats avec des fintechs et les entreprises privées, pour associer l’accès à la couverture maladie universelle (CMU) aux paiements numériques – avec un ciblage spécifique pour les femmes. Des champions nationaux comme le géant agricole SODAGRI ou encore les PME QUALIOCEAN et KOSSAM SDE montrent l’exemple, par l’enrôlement de leurs travailleurs temporaires à la CMU. Ce sont ainsi plus de 200.000 travailleurs qui accéderont désormais à des soins de santé de qualité subventionnés par l’État sénégalais.

Si 81 % des entreprises nationales ont moins de 20 salariés, elles emploient en moyenne des centaines voire des milliers de travailleurs temporaires dans leurs chaines d’approvisionnements. Les salariés sont généralement bancarisés, mais 93 % des contrats précaires sont payés en espèces. Ce sont ces derniers qui sont systématiquement exclus du système de santé formel.

Réussir le pari de la transition aux paiements électroniques

Trois obstacles ont limité la numérisation des paiements en Afrique : la taille du secteur informel pouvant atteindre 90 % de l’économie, le taux d’inclusion financière historiquement faible et, surtout, le fait que 21 % des travailleurs africains touchent une paie qui les maintient sous le seuil de pauvreté.

Tout cela a fortement évolué, l’inclusion financière a bondi depuis 2010 (bit.ly/3sp6SIw) avec l’arrivée des émetteurs de monnaies électroniques et les fintech.

La Compagnie Sucrière du Sénégal, premier employeur privé du pays, a réussi le pari de numériser les paiements de près de 8.000 travailleurs grâce à un partenariat avec des fintech locales. « Nous voulions une numérisation des paiements sans la bancarisation, qui n’est pas adaptée à ces populations à faibles revenus » avait déjà fait remarquer Claude Fizaine, le Secrétaire Général de la société dans une interview à un media africain (bit.ly/2QBZ7l4). Il avait également indiqué « pour les employeurs, les avantages sont d’éviter les contraintes relatives à la gestion de quantités importantes de cash, ainsi que toutes les dérives qui peuvent se greffer à sa distribution. De plus, cela permet d’offrir aux employés concernés des outils adaptés à leur situation financière et familiale, ce qui ne peut qu’avoir des répercussions positives sur leurs vies personnelle et professionnelle ».

Les innovations de l’UEMOA devraient continuer à inspirer le reste de l’Afrique. Depuis 2012, elle est la locomotive du continent en matière de croissance et de stabilité économique (bit.ly/3x7nR5B). Les exemples du Sénégal et de ses voisins renforcent l’agenda global (bit.ly/3v7Q62t) de l’OIT qui pourrait bien faire des paiements électroniques des travailleurs un nouveau standard mondial pour la promotion du travail décent.

Numériser les paiements - Better than cash Alliance
Numériser les paiements – Better than cash Alliance
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